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    Et si on s'échangeait des poèmes et des jolis mots ?

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    • Music
      Music Banni dernière édition par

      @Melodia @agathe Je ne peux que confirmer 😊

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
      • Un Ancien Utilisateur
        Un Ancien Utilisateur dernière édition par Un Ancien Utilisateur

        "Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien." (Pierre Desproges) 🐶💖😁

        Music 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
        • Music
          Music Banni @Invité dernière édition par

          @Melodia C'est une citation concernant l'Homo Sapiens ou uniquement le genre ?

          Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
          • Un Ancien Utilisateur
            Un Ancien Utilisateur @Music dernière édition par

            @Music C'est surtout à la base une citation humoristique (j'avais oublié de préciser l'auteur en l'envoyant), donc à ne pas prendre au pied de la lettre 😉

            Music 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
            • Music
              Music Banni @Invité dernière édition par

              @Melodia Mais j'aime les chiens moi, parfois plus que certains humains 😊

              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
              • agathe
                agathe dernière édition par

                Dans le silence de la nuit, les étoiles murmurent.
                Piccolo Claire

                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                • IsraelionBimboTacos
                  IsraelionBimboTacos Banni dernière édition par

                  Par ce Poème plein de tendresse
                  Je te souhaite un bon anniversaire Emma
                  Tu es une belle princesse
                  Une femme pleine de sagesse, une fille extra
                  Joyeux Anniversaire Emma d’amour
                  Que ce jour soit aussi doux que le velours
                  Que ce jour d’anniversaire soit une porte
                  Porte ouverte vers un bonheur qui te transporte
                  Au pays de la vie belle faite de merveilles
                  Que le Destin te préserve et sur toi veille
                  Bon Anniversaire Belle Emma Je t’aime

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                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                  • Cygoris
                    Cygoris dernière édition par Cygoris

                    Quand c'est l'homme qui prend la mer

                    Homme & Mer-2048.jpg

                    L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 5
                    • pompon
                      pompon dernière édition par

                      OIP (4).jpg

                      Cygoris 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                      • Cygoris
                        Cygoris @pompon dernière édition par

                        @pompon Plus une maxime qu'un poème, non ?

                        L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                        • ayamé
                          ayamé Banni dernière édition par ayamé

                          Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés.
                          Chacun d'eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon...
                          Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres, mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher.
                          Chose curieuse à noter : aucun de ces voyageurs n'avait l'air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos. On eût dit qu'il la considérait comme faisant partie de lui-même. Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d'aucun désespoir. Sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière d'un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient avec la physionomie résignée de ceux qui sont condamnés à espérer toujours...Et pendant quelques instants, je m'obstinai à vouloir comprendre ce mystère.
                          Mais bientôt l'irrésistible Indifférence s'abattit sur moi, et j'en fus plus lourdement accablé qu'ils ne l'étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères
                          .
                          Charles Baudelaire. Recueil : Le Spleen de Paris (1869).

                          Baudelaire, poète défini comme maudit, fascine autant qu'il terrifie.
                          Perso, j'aime ce texte parce que je me dis : tant que je ne suis pas indifférente, je suis vivante. Quant à mes chimères, j'ai encore le pouvoir de choisir celles que je peux supporter sans cheminer " la physionomie résignée " 🙂 .
                          ( Voilà : une réflexion personnelle puisque cela semble être bien vu ).

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                          • Music
                            Music Banni dernière édition par Music

                            Il devrait n’être point de désespoir pour toi

                            Il devrait n’être point de désespoir pour toi
                            Tant que brûle la nuit les étoiles,
                            Tant que le soir répand sa rosée silencieuse,
                            Que le soleil dore le matin.
                            Il devrait n’être point de désespoir, même si les larmes
                            Ruissellent comme une rivière :
                            Les plus chères de tes années ne sont-elles pas
                            Autour de ton cœur à jamais ?
                            Ceux-ci pleurent, tu pleures, il doit en être ainsi ;
                            Les vents soupirent comme tu soupires,
                            Et l’Hiver en flocons déverse son chagrin
                            Là où gisent les feuilles d’automne.
                            Pourtant elles revivent, et de leur sort ton sort
                            Ne saurait être séparé :
                            Poursuis donc ton voyage, sinon ravie de joie,
                            Du moins jamais le cœur brisé

                            Emily Brontë (Novembre 1839)

                            bronte-phatpuppy.jpg

                            Cygoris 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 4
                            • Cygoris
                              Cygoris @Music dernière édition par

                              @Music Très beau.
                              J'ai eu une pensée pour les conflits actuels 😔

                              L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                              • Cygoris
                                Cygoris dernière édition par

                                "Il ne me reste que des larmes,
                                Ces quelques notes venues d'autrefois,
                                Et le chant de nos prières,
                                Nos cœurs qui espèrent,
                                Et le vide sous mes pas.

                                Il ne me reste que les cendres
                                De mon village plongé dans le silence.
                                Je ne suis qu'une blessure,
                                Un cœur sans armure.
                                Comment survivre après ça ?

                                Mais je suis là, je n'oublie pas
                                Dans mon village balayé par l'histoire.
                                Et je vis là, n'oubliez pas
                                Effacée des cartes et des mémoires.

                                Je me souviens du rire des enfants,
                                La voix des hommes quand
                                Ils partaient aux champs,
                                Les fêtes des moissons,
                                L'odeur dans les maisons
                                Les éclats d'amour et de joie.

                                Quand ils sont arrivés,
                                Cachés derrière leurs armes,
                                Ils étaient des milliers,
                                Ils souriaient à nos larmes !
                                Ils ont voulu détruire,
                                Nos croyances et nos âmes
                                Avec des mots de haine
                                Que l'on ne connaissait pas.

                                Je suis ici ce soir
                                Au milieu de ces ruines
                                Pour vous parler d'espoir
                                Et vous chanter la vie.
                                Et je fais le serment
                                Quand séchera le sang
                                De reconstruire ma ville
                                Bien plus belle qu'avant
                                Mais... n'oubliez pas !"


                                Et pourtant :

                                Ce sont les paroles de la chanson "N'oubliez pas"
                                Lisa Angell (2015)

                                L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                                • Kachina
                                  Kachina Banni dernière édition par

                                  l’après-midi flambe à travers la fenêtre
                                  à l’heure de la sieste
                                  il est interdit de parler au poète
                                  do not disturb
                                  because
                                  je fais l’amour avec des mots
                                  derrière la porte
                                  et dans mon lit

                                  il ne faut pas déranger le poète
                                  il n’y a pas de réponse au numéro que vous avez composé
                                  je m’absente du monde momentanément
                                  je laisse la misère de côté
                                  le temps de me dire
                                  pousse la porte du pied
                                  prends ton pied

                                  il est interdit de parler au poète
                                  jusqu’au mois d’août
                                  because je suis in the bed
                                  avec des mots
                                  des mots sans pieds ni tête
                                  des mots aboiements de lune aux chiens
                                  des mots frissons d’iguanes éblouis par des roses
                                  des mots tuiles qui me tombent sur la tête
                                  car je ne sais pas jouer la comédie
                                  des mots sables mouvants
                                  des mots clous de crucifixion
                                  et de Pâques ressuscitées
                                  des mots flagellations sur des cuisses dénudées
                                  des mots promissions
                                  des mots Place de l’Opéra
                                  ou Place Saint-Pierre
                                  ou Place où tu voudras
                                  between Brooklyn and Africa

                                  il est interdit de disturb le poète
                                  Je n’y suis pour personne
                                  quand les mots courent dans ma tête
                                  et marchent dans mon sang
                                  trois petits tours et puis s’en vont
                                  attendez la fin de l’été

                                  il fait un temps à mettre un poème à la rue

                                  (Michèle Voltaire Marcelin. Poète et Peintre Haitienne)

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                                  • TheBigNul
                                    TheBigNul Banni dernière édition par

                                    Le Burger King etait bon
                                    Mais n'égale pas ta voix, ce doux son

                                    De toutes ma vie je n'ai connu de personne plus chouette
                                    Pour toi, je suis capable de me retenir de péter sous la couette

                                    À cause de ta beauté toutes les femmes te détestent
                                    Mais ne prête pas attention à ces jalouses, à ces pestes

                                    Mon souhait le plus cher est de faire avec toi ma vie
                                    Du moins tant que tu t'occupes bien de mon zizi

                                    Bon sang, c'est beau, je ne savais pas que j'étais poète en plus d'être beau et vert.

                                    adff26d4-8ba3-46d0-813b-2e8bd5c85bf7.jpg

                                    Kachina 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                    • Kachina
                                      Kachina Banni @TheBigNul dernière édition par Kachina

                                      @TheBigNul les deux dernières strophes sont…. m’ont …..oh mais comment te dire ? Oh mince ! les mots me manquent .
                                      Bref! Que de poésie ! Que de jolis mots !🙃

                                      TheBigNul 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                      • TheBigNul
                                        TheBigNul Banni @Kachina dernière édition par

                                        @Kachina merci ! Elles viennent du coeur ! 😍😢

                                        Kachina 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                        • Kachina
                                          Kachina Banni @TheBigNul dernière édition par Kachina

                                          @TheBigNul si c’est du cœur alors tu me rassures😜sur le coup j’ai douté

                                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                          • Cygoris
                                            Cygoris dernière édition par

                                            Il n'y a plus de communication chez les cous tordus

                                            Omniprésent :
                                            il est partout. Dans notre poche, notre voiture, notre appartement.
                                            Il nous accompagne dans les transports qui ont été communs.

                                            Omnipotent :
                                            il est notre compagnon, nous y mettons tous nos ami(e)s, nos sentiments, nos agendas, nos souvenirs et nos photos intimes ou de vacances.

                                            Omniscient :
                                            véritable couteau suisse du 21e siècle, sans lui on est perdu.
                                            Son écran est devenu une véritable extension biologique.
                                            Par la technologie, l’humanité s’est éloignée d'elle-même.

                                            Omniabsorbant :
                                            On s’est enraciné dans notre modernité.
                                            On allume notre mobile (s'il était, éteint) et nous voilà à nouveau greffer sur notre virtualité.
                                            Nous vivons notre quotidien dématérialisé.
                                            Malgré la sédentarisation de notre mode de vie, subsiste le rêve d’un nomadisme effréné.

                                            Et au final ? il nous bouffe notre âme.

                                            Antoine GEIGER

                                            L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
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