Le jour où, mort de honte, vous vous êtes senti très seul
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On l'a tous vécu un jour.
.Mais pour quelle raison ? -
J'ai mis en carte blanche (et je n'ai même pas honte !)
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Quand je me suis croûté en cours de sports, personne n’a rigolé, mais, c’était encore plus horrible....
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Je suis tombée dans un Escalator et pour me retenir je me suis accroché à la jupe de la femme qui était devant moi
Je me suis tellement vautrée que la femme a eu pitié de moi grand grand moment de solitude -
@Dylan merde ça c'est horrible !
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@Amy94 a dit dans Le jour ou,mort de honte,vous vous êtes senti très seul.. :
Je suis tombée dans un Escalator
C'est ma hantise ça, pas vous ? Je me demande si c'est que moi hein, mais dès que je prends un escalator (donc quand même super souvent), j'imagine toujours à quel point ce pourrait être douloureux et sanglant de tomber. Quand je vois des gamins qui jouent à cavaler dedans (yen a toujours, on se demande où sont les parents ) ça me fait aussi peur pour eux. C'est un bon terrain de film d'horreur. Déjà le nom : "Escalator".
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Eh bien moi,c'était il y a longtemps,et qd j'y repense je suis mal de revivre cet incident!
On devait aller en petit groupe d'amies passer un W.E à Tunis;on prenait le train ensemble,le taxi pour Orly,et y avait plus qu'à!
Perso,c'était mon premier voyage en avion,donc j'étais attentive à tout,et on embarque;je ne savais pas que les jeunes tunisiens de Paris allaient à Tunis en W.E,mais ils étaient nombreux,bruyants,chahuteurs,la "Vérité si je mens " en récré.
Et on va décoller,on attache la ceinture,l'hôtesse fait sa démonstration de gilet ds un brohaha pas possible,et puis elle montre la mini trappe ,ou on fait descendre l'oxygène.......Et je l'ouvre,croyant suivre les instructions.........
Et là,l'horreur!L'hotesse pousse un hurlement,le pilote arrive,c'est la stupeur,on me crie dessus,on exige que toutes les cigarettes soient immédiatement éteintes,et moi,j'étais écrasée au fond de mon fauteuil,essayant de laisser passer l'orage!
Heureusement que le vol était court! -
@Amy94 le tiens a un niveau encore plus élevé d’horribilité
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@Shanna « Escalator » digne d’un nom de film d’horreur
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Mon premier job, sur une station-service sur l'A10 au niveau d'Orléans. Formation sécurité incendie, où le gars nous explique tout à fond, notamment que les voitures qui brûlent le plus vite ce sont les Audi (bourrées de plastique apparemment).
Plus tard en revenant sur mon poste, je libère une pompe, sans prêter attention, puis 5 minutes après quelqu'un rentré dans la boutique, je regarde, vois une Audi à la pompe, et je me mets à chanter "Au feu les pompiers, y a la Audi qui brûle !" Relativement fort
Le client qui venait de rentrer lui il a moins rigolé quand il a dit venir payer le carburant de ladite Audi -
@Dylan merci
c'est plutôt drôle à raconter -
@Shanna c'est vrai que je me suis toujours dis que ça devait faire super mal
Bah effectivement je me suis bien éclaté les genoux -
Souvenir d'un appel que j'avais passé à mon médecin traitant il y a bien une quinzaine d'années. J'étais patraque, j'avais eu un gros sentiment de vertige limite malaise, et je l'ai appelé pour lui demander conseil et voir s'il me prenait (il prenait sans RDV mais du coup bien souvent son cabinet était blindé jusqu'a 20h, et comme on était déjà en fin de journée je ne voulais ni passer 2 heures à attendre, ni lui rajouter une personne ce qui l'aurait fait finir encore plus tard alors que ça pouvait peut-être attendre le lendemain)
Bref, je lui parle de mes symptômes et lui me dit "effectivement, il vaut mieux faire un saut."
Bon tout le monde aura compris "venir faire un saut au cabinet"
Sauf que sur le coup j'ai fait un petit saut pieds joints et je lui ait dit que ça ne me faisait pas plus de vertiges de sauter...
Moment de solitude XXL ...
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On appelle ça le déni ^^
(aucun souvenir)
ou c'est que j'y ai mis des mots (maux) -
Quand j'ai porté une robe identique à celle-ci pour aller à une soirée et que la fermeture éclair a lâché en plus de la robe qui a rétrécie après que l'on m'ait jetée, habillée, dans la piscine. La détresse absolue !
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@tequila la détresse n’était pas là pour tout le monde je suppose
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Il y a un truc qui vient de me revenir en mémoire. Un bon moment génant, mais je le mets sous spoiler car c'est un peu adulte (rien de bien choquant toutefois, mais le spoiler par sécurité ^^)
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Dans la thématique "mort de honte" j'en ai une.
Je veux pas trop spoiler mais je tiens à dire que le mot "prout" ou "caca" seront un peu le fil rouge de l'histoire donc par avance je tiens à m'excuser de toutes images nauséabondes qui parviendraient à votre cerveau.
En fait c'était un matin au travail. Presque comme toutes les autres matinées.
Presque?
Pas tout à fait.
Ce jour-là, un grand cérémonial d'hypocrisie était prévu dans l'entreprise.
J'avais "la joie" d'inaugurer le fonctionnement d'une nouvelle machine nécessaire pour la "sacro-sainte productivité" de l'entreprise.
Un bijou d'un million d'euros qui nécessitait ce matin-là la présence en grande pompe du préfet de ma région, de 2-3 journalistes et des "huiles" du coin venues pour se faire mousser et dire "vous voyez nous les élus locaux on est gentil on vous donne du taf alors sucez-nous".
Bref, bon ce matin-là j'étais pas très jouasse. Les premiers symptômes de diarrhée étaient apparu la veille.
Comment vous dire sans paraître quelque peu grossier?
Mon froc c'était un peu Fort Alamo en période de disette option 14 juillet.
Ce matin-là j'ai donc reçu les "consignes" des chefs etc "réponds aux questions" "soit gentil" "accueille les bien" etc.
J'ai répondu "ouais ouais" un peu en mode "je me branle un peu" préoccupé que j'étais par l'idée de passer la journée avec des effluves de lavande dans le derrière.
(Vous remarquez l'effort qui ai fait pour ne pas trop paraître degueulasse dans les propos)
Evidemment passer les "ouais ouais" aux consignes, chassez le naturel il revient au galop.
Vous connaissez la suite alors envoyons la sauce sans trop tarder:
Les huiles et les convives de prestiges se sont ramenés un peu plus tard.
Moi je travaillais et n'écoutant que mon courage et ma routine, je ne retenais aucune de mes poussées anales. Un flot ininterrompu de gaz à effet de serres envahissait "le couloir de la mort" à savoir l'unique voie d'accès pour venir à ma rencontre sur cette machine infernale.
Soulagé de mes méfaits à répétition je me suis machinalement retourné et ce fut le drame: L'assistance entrait de plein fouet dans la zone interdite.
Je revois ces cons s'avancer en toute quiétude vers moi pour me serrer la main avec enthousiasme.
L'enthousiasme disparu assez rapidement et les narines des invités de marque furent mises à l'amende rapidement.
Lien de cause à effet je ne sais pas mais ils ne restèrent pas très longtemps.
Après coup je me suis dis "merde c'était très gênant quand même".
J'attends toujours mon article de journal. -
@tequila et que la fermeture éclair a lâché
Franchement c'est une de mes hantises !
Je compatis !
Et depuis tu oses remettre des robes comme ça ou du coup tu n'en as plus jamais remise ? -
@Koursk a dit dans Le jour où, mort de honte, vous vous êtes senti très seul :
Dans la thématique "mort de honte" j'en ai une.
Je veux pas trop spoiler mais je tiens à dire que le mot "prout" ou "caca" seront un peu le fil rouge de l'histoire donc par avance je tiens à m'excuser de toutes images nauséabondes qui parviendraient à votre cerveau.
En fait c'était un matin au travail. Presque comme toutes les autres matinées.
Presque?
Pas tout à fait.
Ce jour-là, un grand cérémonial d'hypocrisie était prévu dans l'entreprise.
J'avais "la joie" d'inaugurer le fonctionnement d'une nouvelle machine nécessaire pour la "sacro-sainte productivité" de l'entreprise.
Un bijou d'un million d'euros qui nécessitait ce matin-là la présence en grande pompe du préfet de ma région, de 2-3 journalistes et des "huiles" du coin venues pour se faire mousser et dire "vous voyez nous les élus locaux on est gentil on vous donne du taf alors sucez-nous".
Bref, bon ce matin-là j'étais pas très jouasse. Les premiers symptômes de diarrhée étaient apparu la veille.
Comment vous dire sans paraître quelque peu grossier?
Mon froc c'était un peu Fort Alamo en période de disette option 14 juillet.
Ce matin-là j'ai donc reçu les "consignes" des chefs etc "réponds aux questions" "soit gentil" "accueille les bien" etc.
J'ai répondu "ouais ouais" un peu en mode "je me branle un peu" préoccupé que j'étais par l'idée de passer la journée avec des effluves de lavande dans le derrière.
(Vous remarquez l'effort qui ai fait pour ne pas trop paraître degueulasse dans les propos)
Evidemment passer les "ouais ouais" aux consignes, chassez le naturel il revient au galop.
Vous connaissez la suite alors envoyons la sauce sans trop tarder:
Les huiles et les convives de prestiges se sont ramenés un peu plus tard.
Moi je travaillais et n'écoutant que mon courage et ma routine, je ne retenais aucune de mes poussées anales. Un flot ininterrompu de gaz à effet de serres envahissait "le couloir de la mort" à savoir l'unique voie d'accès pour venir à ma rencontre sur cette machine infernale.
Soulagé de mes méfaits à répétition je me suis machinalement retourné et ce fut le drame: L'assistance entrait de plein fouet dans la zone interdite.
Je revois ces cons s'avancer en toute quiétude vers moi pour me serrer la main avec enthousiasme.
L'enthousiasme disparu assez rapidement et les narines des invités de marque furent mises à l'amende rapidement.
Lien de cause à effet je ne sais pas mais ils ne restèrent pas très longtemps.
Après coup je me suis dis "merde c'était très gênant quand même".
J'attends toujours mon article de journal.le " merde c'etait gênant quand même " à la fin de ton récit tombe à pic"