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    • Un Ancien Utilisateur
      Un Ancien Utilisateur @Astyanax dernière édition par

      @Astyanax il y a ce topic, et puis il y a celui-ci aussi et enfin ce topic-ci

      Là ce topic se veut très général, mais effectivement il y en a déjà plusieurs sur le thème des citations.

      Voila, et suffisait de rechercher le mot citation dans le forum pour trouver ça.

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
      • Kachina
        Kachina Banni dernière édition par

        @WaveRider : tu nous as autorisés à nous faire plaisir ! alors voilà je te prends au mot!
        Ci-après une citation de Pierre Berloquin(ingénieur, créateur de casse-tête, écrivain ...........Cf! fiche wiki) dont j'ai fait mienne depuis longtemps........😀 😉

        "Parler pour ne rien dire est grave. Parler pour ne pas rire, est Impardonnable"

        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 4
        • Un Ancien Utilisateur
          Un Ancien Utilisateur dernière édition par

          Citations personnelles :

          • La nature a doté l'homme d'un plus gros cerveau. C'est bien, cela lui permet de faire de plus grosses conneries ! Peut-être qu'il aurait mieux valu agrandir sa conscience avant...

          • En 1789, des sans-culottes en colère ont fait la révolution pour virer du pouvoir les oppresseurs qui les faisaient vivre dans la misère. Aujourd'hui, les gens portent des culottes mais y'a plus rien dedans, alors ils offrent le pouvoir à des oppresseurs et les remercient de leur accorder une misère pour vivre...

          Artig 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
          • Egon
            Egon dernière édition par

            « J'ai toujours imaginé l'âme humaine comme une maison du Trésor à pièces multiples, les unes pleines de choses précieuses et les autres vides. Beaucoup d'hommes, la majorité des hommes, passent toute leur vie dans les petites salles vides aux portes toujours ouvertes parce que les autres sont fermées à double tour et que les clés n'en sont accessibles qu'à ceux qui ont le courage d'affronter le feu des pires tourments. Moi le vide et les ténèbres m'ont toujours fait peur. C'est pour cela que j'ai toujours chercher à trouver les clés de mes trésors. Mais les trésors eux-mêmes sont trompeurs. Dès qu'on en a trouvé un, on a envie de découvrir les autres, les plus cachés, ceux que peut-être seule la mort est à même de nous révéler. Mais cela ne nous empêche pas de les désirer de toute l'avidité des avares... C'est peut-être là une convoitise bien vaine... Mais sans elle, la vie n'aurait aucune valeur et ne se différencierait en rien de celle du moindre insecte ! Je sens qu'aujourd'hui je viens de trouver un nouveau trésor et que je dois être prêt à tous les sacrifices pour le sauvegarder ! »

            In La Forêt des pendus de Liviu Rebreanu

            Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
            • ayamé
              ayamé Banni dernière édition par ayamé

              Extrait de " Journal d'une mère indigne " de Manuèle Peyrol :
              " Et alors, puisque nous avons gagné les uns par rapport aux autres la liberté de mouvement, que nous allons encore mieux
              apprendre à respecter nos libertés et nos évidences ?
              Le voilà, l'amour-sésame, l'amour-solution : il est à naître chaque matin....
              Et vous, défiez-vous de la bergère qui invente les chemins de vos pâturages.
              Et que votre troupeau se disperse à l'écart des sentiers battus. je ne suis pas si sûre de moi, je ferai de mon mieux.
              A vous de résister, à vous d'écouter en vous l'autre voix, la voix majeure, votre voix qui doit dicter sans appel,
              celle que je vous souhaite et dont j'assure provisoirement l'intérim. ..
              Le temps est plus riche quand on le passe dans sa peau. "
              journal d'une mère indigne.jpg
              Ce livre m'a beaucoup aidée, et en tant que fille, et en tant que mère 🙂 .

              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
              • WIshoushou
                WIshoushou dernière édition par

                "On y va, par Toutatis!"
                Abraracourcix, Obelix et Cie, tome 23, p. 46.

                Ca compte quand même!

                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                • Egon
                  Egon dernière édition par

                  « Mais nos souvenirs demeurent collectifs, et ils nous sont rappelés par les autres, alors même qu’il s’agit d’événements auxquels nous seul avons été mêlé, et d’objets que nous seul avons vus. C’est qu’en réalité nous ne sommes jamais seul. Il n’est pas nécessaire que d’autres hommes soient là, qui se distinguent matériellement de nous : car nous portons toujours avec nous et en nous une quantité de personnes qui ne se confondent pas. J’arrive pour la première fois à Londres, et je m’y promène à plusieurs reprises, tantôt avec un compagnon, tantôt avec un autre. Tantôt c’est un architecte, qui attire mon attention sur les édifices, leurs proportions, leur disposition. Tantôt c’est un historien : j’apprends que cette rue a été tracée à telle époque, que cette maison a vu naître un homme connu, qu’il s’est passé, ici ou là, des incidents notables. Avec un peintre, je suis sensible à la tonalité des parcs, à la ligne des palais, des églises, aux jeux de lumière et de l’ombre sur les murs et les façades de Westminter, du Temple, sur la Tamise. Un commerçant, un homme d’affaires m’entraîne dans les voies populeuses de la Cité, m’arrête devant les boutiques, les librairies, les grands magasins. Mais quand même je n’aurais pas marché à côté de quelqu’un, il suffit que j’aie lu des descriptions de la ville, faites de tous ces divers points de vue, qu’on m’ait conseillé d’en voir tels aspects, plus simplement encore, que j’en aie étudié le plan.

                  Supposons que je me promène tout seul. Dira-t-on que, de cette promenade, je ne peux garder que des souvenirs individuels, qui ne sont qu’à moi ? Cependant, je ne m’y suis promené seul qu’en apparence. En passant devant Westminter, j’ai pensé à ce que m’en avait dit mon ami historien (ou, ce qui revient au même, à ce que j’en avais lu dans une histoire). En traversant un pont, j’ai considéré l’effet de perspective que mon ami peintre m’avait signalé (ou qui m’avait frappé dans un tableau, dans une gravure). Je me suis dirigé, en me reportant par la pensée, à mon plan. La première fois que j’ai été à Londres, devant St. Paul ou Mansion House, sur le Strand, aux alentours des Court’s of Law, bien des impressions me rappelaient les romans de Dickens lus dans mon enfance : je m’y promenais donc avec Dickens. À tous ces moments, dans toutes ces circonstances, je ne puis dire que j’étais seul, que je réfléchissais seul, puisqu’en pensée je me replaçais dans tel ou tel groupe, celui que je composais avec cet architecte, et, au-delà de lui, avec ceux dont il n’était que l’interprète auprès de moi, ou avec ce peintre (et son groupe), avec le géomètre qui avait dessiné ce plan, ou avec un romancier. d’autres hommes ont eu ces souvenirs en commun avec moi. Bien plus, ils m’aident à me les rappeler : pour mieux me souvenir, je me tourne vers eux, j’adopte momentanément leur point de vue, je rentre dans leur groupe, dont je continue à faire partie, puisque j’en subis encore l’impulsion et que je retrouve en moi bien des idées et façons de pensée où je ne me serais pas élevé tout seul, et par lesquelles je demeure en contact avec eux. »

                  In La Mémoire collective de Maurice Halbwachs.

                  Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                  • Myra flore
                    Myra flore dernière édition par

                    2df45f3a-a0d1-476d-8cfc-440c271ef9b0-image.png
                    Chacune de nos lectures est une graine qui germe...Jules Renard

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                    • Un Ancien Utilisateur
                      Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                      "Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu." 🙂

                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                      • Artig
                        Artig @Invité dernière édition par

                        @Un Ancien Utilisateur a dit :

                        • La nature a doté l'homme d'un plus gros cerveau. C'est bien, cela lui permet de faire de plus grosses conneries ! Peut-être qu'il aurait mieux valu agrandir sa conscience avant...

                        sacrée phrase.

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                        • LeaPierce
                          LeaPierce dernière édition par

                          En pleine lecture d'un livre :
                          "Sur Tinder, une femme a 50% de chance de matcher avec une autre personne. Tandis qu'un homme a 2% de chance de matcher."

                          Woaw. C'est assez choquant comme différence.

                          le taxidermiste Egon 2 réponses Dernière réponse Répondre Citer 1
                          • le taxidermiste
                            le taxidermiste @LeaPierce dernière édition par le taxidermiste

                            @leapierce Ah tinder ce monde merveilleux 🙂

                            Effectivement c'est un lieu où les femmes trient et où les hommes tentent tout (gros résumé généralisant 🙂 )

                            Memento mori.

                            LeaPierce 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                            • LeaPierce
                              LeaPierce @le taxidermiste dernière édition par

                              @le-taxidermiste ça vaut pour quasiment tous les sites de rencontres de ce que j'ai entendu.

                              le taxidermiste 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                              • le taxidermiste
                                le taxidermiste @LeaPierce dernière édition par

                                @leapierce Ah ben ça c'est simple en fait il doit y avoir 10 hommes pour une femme sur la plupart des sites de rencontres 🙂

                                L'offre et la demande sont en grand déséquilibre.

                                Memento mori.

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                • Egon
                                  Egon @LeaPierce dernière édition par

                                  @leapierce C'est quoi le bouquin ?
                                  Sinon, oui c'est un sujet que j'ai beaucoup vu revenir sur Reddit notamment. Les mecs se plaignent qu'ils ont nettement moins de matchs que les filles et que tout est fait pour qu'ils prennent un abonnement dans l'espoir de débloquer un peu plus de matchs via les options payantes.

                                  Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                                  Kallindra LeaPierce 2 réponses Dernière réponse Répondre Citer 2
                                  • Kallindra
                                    Kallindra @Egon dernière édition par

                                    @egon Faut le voir comme l'entrée en boîte de nuit, les mecs paient pas les filles parce que c'est bien connu de manière commerciale, là où y-a d'la meuf, les mecs suivent et paient ^^

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                    • LeaPierce
                                      LeaPierce @Egon dernière édition par

                                      @egon

                                      Polyamour et d'eau fraîche par (entre autres) Cookie kalkair, le même que pour Pénis de table. C'est pas le sujet central mais il en parle brièvement que pour lui, ça a toujours été une galère et que les statistiques jouent pas en sa faveur.

                                      Je te confirme pour le coup de l'abonnement, apparemment c'est un classique. Triste.

                                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                      • Egon
                                        Egon dernière édition par

                                        "C'est comme ça : si la vie se vit prospectivement, elle ne se comprend, en revanche, que rétrospectivement. Vous vous retournez et découvrez - avec respect ou effroi - un canevas que vous ne pensiez pas avoir créé."

                                        In Le Conquérant de Jan Kjaerstad.

                                        Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                        • Myra flore
                                          Myra flore dernière édition par

                                          57f6f87d-4d1a-481e-a04f-77ccdff90cc6-image.png

                                          Cygoris 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 5
                                          • Cygoris
                                            Cygoris @Myra flore dernière édition par

                                            @myra-flore a dit dans Partagez tout ce que vous voulez :

                                            57f6f87d-4d1a-481e-a04f-77ccdff90cc6-image.png

                                            👍 Très beau
                                            Merci.

                                            Sur mes cahiers d’écolier
                                            Sur mon pupitre et les arbres
                                            Sur le sable sur la neige
                                            J’écris ton nom

                                            Sur toutes les pages lues
                                            Sur toutes les pages blanches
                                            Pierre sang papier ou cendre
                                            J’écris ton nom

                                            Sur les images dorées
                                            Sur les armes des guerriers
                                            Sur la couronne des rois
                                            J’écris ton nom

                                            Sur la jungle et le désert
                                            Sur les nids sur les genêts
                                            Sur l’écho de mon enfance
                                            J’écris ton nom

                                            Sur les merveilles des nuits
                                            Sur le pain blanc des journées
                                            Sur les saisons fiancées
                                            J’écris ton nom

                                            Sur tous mes chiffons d’azur
                                            Sur l’étang soleil moisi
                                            Sur le lac lune vivante
                                            J’écris ton nom

                                            Sur les champs sur l’horizon
                                            Sur les ailes des oiseaux
                                            Et sur le moulin des ombres
                                            J’écris ton nom

                                            Sur chaque bouffée d’aurore
                                            Sur la mer sur les bateaux
                                            Sur la montagne démente
                                            J’écris ton nom

                                            Sur la mousse des nuages
                                            Sur les sueurs de l’orage
                                            Sur la pluie épaisse et fade
                                            J’écris ton nom

                                            Sur les formes scintillantes
                                            Sur les cloches des couleurs
                                            Sur la vérité physique
                                            J’écris ton nom

                                            Sur les sentiers éveillés
                                            Sur les routes déployées
                                            Sur les places qui débordent
                                            J’écris ton nom

                                            Sur la lampe qui s’allume
                                            Sur la lampe qui s’éteint
                                            Sur mes maisons réunies
                                            J’écris ton nom

                                            Sur le fruit coupé en deux
                                            Du miroir et de ma chambre
                                            Sur mon lit coquille vide
                                            J’écris ton nom

                                            Sur mon chien gourmand et tendre
                                            Sur ses oreilles dressées
                                            Sur sa patte maladroite
                                            J’écris ton nom

                                            Sur le tremplin de ma porte
                                            Sur les objets familiers
                                            Sur le flot du feu béni
                                            J’écris ton nom

                                            Sur toute chair accordée
                                            Sur le front de mes amis
                                            Sur chaque main qui se tend
                                            J’écris ton nom

                                            Sur la vitre des surprises
                                            Sur les lèvres attentives
                                            Bien au-dessus du silence
                                            J’écris ton nom

                                            Sur mes refuges détruits
                                            Sur mes phares écroulés
                                            Sur les murs de mon ennui
                                            J’écris ton nom

                                            Sur l’absence sans désir
                                            Sur la solitude nue
                                            Sur les marches de la mort
                                            J’écris ton nom

                                            Sur la santé revenue
                                            Sur le risque disparu
                                            Sur l’espoir sans souvenir
                                            J’écris ton nom

                                            Et par le pouvoir d’un mot
                                            Je recommence ma vie
                                            Je suis né pour te connaître
                                            Pour te nommer

                                            Liberté.

                                            Paul Eluard

                                            L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                                            Myra flore 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
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