Il y a un truc que tu devrais prendre en compte afin de t'aider à avancer :
quand un mec parle des ses conquêtes féminines, ça en fait un mec cool.
quand une fille fait la même chose, ça en fait une salope.
Si elle n'ose pas te parler ouvertement de son passé, du nombre de ses conquêtes, de la façon dont les choses se sont déroulées (avec des ruptures plus ou moins simples et plus ou moins franches) c'est peut-être qu'elle a peur de te laisser une mauvaise impression et que tu "juges" son comportement de manière négative et que ça te repousse.
si tu as tendance à la jalousie, ce que tu avoues d'ailleurs, et qu'elle a su rester en bon termes avec deux ou trois de ses conquêtes, alors peut-être qu'elle n'ose pas t'en parler.
Si tes sentiments pour elles sont sincères, alors laisse-lui son jardin secret, fait preuve de davantage de confiance. La jalousie ne me semble pas une bonne base pour construire un couple et encore moins le faire durer.
Aujourd'hui, notre petite Lara a accepté de monter dans la voiture de son propre gré. Elle est toujours nerveuse et inquiète lorsque l'on roule, mais elle semble s'habituer petit à petit à ce mode de déplacement.
Le café – entre tradition et … tradition.
Surtout ne passez pas en Autriche, sans prendre le temps de vous arrêter quelques minutes dans un « Café » (le lieu aussi nommé Kaffeehaus) pour savourer un « Kaffee » (la boisson).
Ne faite pas l’erreur, toutefois de vous contenter de demander un « café » au serveur. En France, évidemment, on comprendrait que vous voulez un espresso. En Autriche, il vous faudra préciser quel type de café vous souhaitez qu’on vous serve entre les différentes appellations suivantes :
Mokka - Café noir sans lait ni sucre, préparé à la machine à expresso
Kleiner Schwarzer (ou kleiner Mokka) Mokka simple dans une petite tasse
Grosser Schwarzer (ou grosser Mokka) Mokka double dans une grande tasse
Kleiner Brauner Un Mokka simple avec du lait ou de la crème fouettée dans une petite tasse
Grosser Brauner Un Mokka double avec de la crème fouettée dans une grande tasse
Melange Moitié café, moitié lait servi avec de la mousse de lait
Häferlkaffee Café filtre avec beaucoup de lait servi dans une « Häferl » (grande tasse)
Franziskaner Melange (moitié café, moitié lait) avec de la crème fouettée à ne pas mélanger avec…
… le Cappuccino venu d’Italie et qui consiste en un espresso surmonté d’une mousse de lait. Il est à noter que dans certains lieux, on vous proposera un peu de * * Schlagober (crème fouetté) à la place de la mousse de lait.
Verlängerter* Kleiner Schwarzer allongé avec la même quantité d’eau chaude
Einspänner Un petit Mokka dans un verre avec beaucoup de crème fouettée (c’est le café que l’on appelle « viennois » en France)
Fiaker Un grand Mokka dans un verre avec beaucoup de sucre et un doigt de slivovitz ou de rhum
Alors, tous les cafés ne proposent pas toute la variété des cafés imaginables en Autriche, évidemment. En cas de doute, fiez-vous à la carte.
Quelques spécialités hors catégories.
les Mozartkugeln (boules de Mozart), une institution. Ces petites confiseries rondes sont faites de pâte d’amande et de nougat à la pistache, puis recouvertes de chocolat noir.
Les liqueurs au chocolat Mozart : Mélange de chocolat, mais aussi de crème, les liqueurs au chocolat Mozart apportent directement des notes fortes de cacao en bouche. Le chocolat d’origine belge se fait bien ressentir. À cela s’ajoutent aussi de légers arômes de vanille et une saveur mielleuse combinée avec l’acuité de l’alcool qui provient d’un distillat de betterave.
L’huile de pépin de courges : mais attention, pas n’importe quelles courges. Celles qu’ils utilisent proviennent de Styrie. Cette huile est traditionnellement servie avec les salades (de mâche – de préférence) avec une pointe de vinaigre de cidre. Elle est consommée, chez les hommes, dans le but de limiter les risques de cancer de la prostate.
Le chocolat Zotter - la fabrique de ce chocolat se situe à moins d’une heure de route de chez moi. Ils y fabriquent toutes sortes de chocolat à croquer ou à fondre (dans du lait chaud). Il y en a vraiment pour tous les goûts : des amateurs de chocolats noirs (voire très noir) à ceux qui préfèrent les chocolats au lait plus doux en passant par ceux qui aiment les goûts exotiques et inhabituels (Caramels, fruits, pâtes d’amandes, alcool divers, piments ou noix).
les gaufrettes Männer - dans le même ordre d’idée que la chocolaterie susmentionnée, vous trouverez également en Autriche des gaufrettes légères et croustillantes : Ces gaufrettes légères et aérées, également appelées gaufrettes napolitaines (Neapolitaner) peuvent être trouvées dans toute l’Autriche et l’Europe, mais Manner Wien est une spécialité typiquement viennoise ; vous remarquerez d’ailleurs sur son emballage rose emblématique, la cathédrale Saint-Étienne comme logo de l’entreprise Manner. Les gaufrettes se composent de 5 couches de gaufrettes et de 4 couches de chocolat à la noisette.
Enfin, en vrac et vous serez peut-être surpris… L’Autriche est la terre natale de la boisson Latella (eh non, ce n’est pas italien ), du chocolat Milka et des Pèz !
J'ai regardé la première saison et une partie de la deuxième.
C'est une série intéressante mais qui, une fois encore, donne une approche de l'autisme biaisée.
A savoir qu'une fois encore, la personne autiste est également doté d'une forme de douance - une capacité à solutionner des problèmes médicaux graves et exceptionnels dans cette série.
Alors que ce n'est pas systématique. On trouve les même proportions de personnes dites "à haut potentiel" dans le cadre d'un Trouble autistique que dans le reste de la population.
toutefois, lorsqu'il s'agit de parler de ses difficultés relationnelles et sociales, l'autisme est plutôt bien retranscrit. Dans son besoin d'habitudes, de rituels et ses difficultés à s'adapter aux humeurs changeantes des autres et à accepter leurs décisions aussi.
Une chose qu'il faut bien garder en tête lorsqu'on regarde cette série, c'est que la série met en scène une personne autiste. Elle ne résume pas les troubles autistiques dans leur globalité. La série peut donc donner des pistes, des indices et amener à une certaine compréhension de l'autisme, mais ne dépeint pas l'autisme dans sa globalité. Chaque personne dans le spectre développera ses propres limites, ses propres points forts et points faibles, ses propres craintes, ses propres capacités, sa propre manière de vivre son autisme de manière plus ou moins marquée et plus ou moins visible. C'est d'ailleurs pourquoi on ne parle pas d'un Autisme, mais du spectre (dans le sens éventail) autistique.
Le tronc est commun (altération des interactions sociales et de la communication ; intérêts restreints et répétitifs) mais l'arbre ne développera pas les même branches.
J'ai cessé de regarder par manque de temps et aussi parce que finalement, ça reste une série médicale et que finalement, c'est le genre de série qui me lasse assez rapidement. (Seule exception à la règle : Dr House).
ça m'agace !
J'envoie un mail disant expressément : "je suis flexible, pourriez-vous me faire des suggestions de dates pour un rendez-vous?" Et on me répond : "vous pouvez m'appeler à ce numéro pour fixer un rendez-vous."
mais punaise, si j'avais voulu utiliser mon tel pour fixer ce rendez-vous, j'aurais pas commencé la conversation avec un mail.
Je n'aime déjà pas les conversations téléphoniques. Et j'ai toujours un mal fou à comprendre les dates à l'oral.
Je viens de finir la lecture de la Saga du Commonwealth de Peter F. Hamilton.
Petite fiche :
La saga comprend deux livres : L'Étoile de Pandore et L'Étoile de Pandore : Judas démasqué
Les éditions françaises proposent un découpage en 4 tomes : l'étoile de pandore et l'étoile de Pandore 2 suivis de Judas déchaîné et Judas démasqué. Auteur : Peter F. Hamilton Genre : Science-fiction / Space Opéra Date de parution : 2004 Pays : Royaume-Uni
En 2380, l'humanité a colonisé six cents planètes, toutes reliées entre elles par des trous de ver. Le Commonwealth Intersolaire s'est développé en une société tranquille et prospère, dans laquelle la « régénération» permet à chaque citoyen de vivre pendant des siècles. C'est alors qu'un astronome est témoin d'un incroyable événement cosmique : la disparition d'une étoile à un millier d'années-lumière. Le Commonwealth décide d'en savoir plus. Contre l'avis d'une partie de l'opinion, il construit le premier vaisseau spatial plus rapide que la lumière : le Seconde Chance. Sa mission sera de découvrir quelle menace pèse sur l'espèce humaine...
The year is 2380. The Intersolar Commonwealth, a sphere of stars some four hundred light-years in diameter, contains more than six hundred worlds, interconnected by a web of transport "tunnels" known as wormholes. At the farthest edge of the Commonwealth, astronomer Dudley Bose observes the impossible: Over one thousand light-years away, a star... vanishes. It does not go supernova. It does not collapse into a black hole. It simply disappears. Since the location is too distant to reach by wormhole, a faster-than-light starship, the Second Chance, is dispatched to learn what has occurred and whether it represents a threat. In command is Wilson Kime, a five-time rejuvenated ex-NASA pilot whose glory days are centuries behind him.
Opposed to the mission are the Guardians of Selfhood, a cult that believes the human race is being manipulated by an alien entity they call the Starflyer. Bradley Johansson, leader of the Guardians, warns of sabotage, fearing the Starflyer means to use the starship's mission for its own ends.
Pursued by a Commonwealth special agent convinced the Guardians are crazy but dangerous, Johansson flees. But the danger is not averted. Aboard the Second Chance, Kime wonders if his crew has been infiltrated. Soon enough, he will have other worries. A thousand light-years away, something truly incredible is waiting: a deadly discovery whose unleashing will threaten to destroy the Commonwealth... and humanity itself. Could it be that Johansson was right?
Nous sommes en 2380. Le Commonwealth intersolaire, une sphère d'étoiles d'environ quatre cents années-lumière de diamètre, contient plus de six cents mondes, interconnectés par un réseau de "tunnels" de transport appelés trous de ver. Aux confins du Commonwealth, l'astronome Dudley Bose observe l'impossible : à plus de mille années-lumière, une étoile... disparaît. Elle ne se transforme pas en supernova. Elle ne s'effondre pas dans un trou noir. Elle disparaît tout simplement. Étant donné que l'emplacement est trop éloigné pour être atteint par un trou de ver, un vaisseau plus rapide que la lumière, la Seconde Chance, est envoyé pour savoir ce qui s'est passé et si cela représente une menace. Aux commandes, Wilson Kime, un ex-pilote de la NASA rajeuni à 5 reprises et dont les jours de gloire sont des siècles derrière lui.
Les Gardiens de l'Individuité s'opposent à la mission, un culte qui croit que la race humaine est manipulée par une entité extraterrestre qu'ils appellent le Starflyer / l'Arpenteur. Bradley Johansson, chef des Gardiens, met en garde contre le sabotage, craignant que le Starflyer n'utilise la mission du vaisseau à ses propres fins.
Poursuivi par un agent spécial du Commonwealth convaincu que les Gardiens sont fous mais dangereux, Johansson s'enfuit. Mais le danger n'est pas écarté. A bord du Second Chance, Kime se demande si son équipage a été infiltré. Bientôt, il aura d'autres soucis. A mille années-lumière, quelque chose de vraiment incroyable attend : une découverte mortelle dont le déchaînement menacera de détruire le Commonwealth... et l'humanité elle-même. Se pourrait-il que Johansson ait raison ?
Mon avis :
Le livre est présenté comme un Space Opéra. On s'attend donc plus ou moins à voyager entre les étoiles, à découvrir des mondes, des cultures et suivre un héro (ou un groupe de héro) en train de.. plus ou moins sauver le monde, voire la galaxie et de défendre une juste cause.. Mais.. en fait, c'est pas tout à fait ça.
Il faut le reconnaitre, c'est un récit complexe, avec de nombreux personnages et on se demande pendant un long moment comment les différents récits vont bien pouvoir se mêler pour nous raconter finalement UNE histoire. Mais c'est justement ça que j'ai apprécié dans ces livres : la richesse de l'univers, la diversité des personnages et le fait que, finalement, on ne se retrouve pas à suivre un seul et unique héros (ou un groupe de héros) mais que, au contraire, l'auteur se soit appliqué à nous tisser un récit ou chaque personnage aura son rôle à jouer (en bien ou en mal) à un moment donné de l'histoire.
Les personnages ne sont pas manichéens. Il ne sont pas caricaturaux non plus - enfin, pas trop. Ils évoluent. Ils ont leurs qualités, leurs défauts, leurs points forts, leurs points faibles. Certains sont courageux, d'autres moins. Et ils sont plus ou moins respectables, également.
L'auteur parvient avec brio à mêler la SF avec le récit policier, la romance (sans sombrer dans le culcul), le thriller psychologique ou encore la stratégie (tant politique que militaire) - et il y a même une touche de mystique (à la limite de la fantasy).
et tout ça fait que j'ai aimé.
ça change des scénarios classiques, je trouve.
Une chose à ne pas oublier lorsqu'on lit les livres : le découpage des éditions française qui proposent 4 tomes au lieu de 2 dans la V.O. Mine de rien, ça change l'approche que l'on peut avoir du récit et de l'évolution de l'histoire. Quand on ferme le tome 1 des éditions française, en réalité, on a pas terminé le livre.. on en est juste à la moitié et la bascule scénaristique, la vraie, n'a pas encore eu lieu.
Auteur : Anne-Claire Duval
Broché (23 août 2023)
Editions : Ynnis éditions
Nombre de page : 205
Âge de lecture : A partir de 8 ans
4e de couverture :
Le pays du matin calme regorge de récits fondateurs. Depuis des siècles, ils transmettent des valeurs comme la sagesse, le dévouement, le courage et la bienveillance. De la création du monde à la naissance des astres, des frères et sœurs aux destins entremêlés aux créatures fantastiques qui peuplent les montagnes, découvrez ces histoires extraordinaires. Une lecture pour tous !
Mon avis :
Ce livre est un très bon moyen de faire plus ample connaissance avec la culture coréenne. Le livre présente 12 récits toujours accompagnés d'une courte introduction et d'une brève conclusion qui permettent de comprendre à la fois le contexte historique et culturel, et l'impact que l'histoire peut avoir encore de nos jours sur la culture, la société et le mode de pensée des coréens.
Le livre n'est pas très épais, rapide à lire et reste très certainement en surface, mais c'est une belle approche.
Je suis assez d'accord.
Pourtant, c'est un de mes mots préféré. Il est tellement empreint d'optimisme et de confiance en l'avenir. De confiance en soi, aussi, quand on se l'applique à soi-même. Je suis, et j'en suis fière, une femme plutôt résiliente. Lorsque je tombe, je ne reste jamais très longtemps au sol, je me relève toujours, d'une façon ou d'une autre.
Mais le mot, depuis quelques mois et tellement mis à toutes les sauces et utilisé dans tellement de contextes différents qu'il perd à la fois sens et impact.
Depuis mon inscription sur ce forum, j'ai vu passer le sujet maintes fois.
Maintes fois, je me suis demandé ce que je pourrais bien répondre à la question.
Longtemps j'ai hésité.
Et puis, finalement, je me suis dit qu'entre les futiles" j'aime pas les brocolis" et "j'aime pas le Rap", il y avait peut-être un truc plus profond et utile à dire.
Alors, me voilà, me voici, pour vous informer que je ne supporte pas l'hypocrisie.
Et je ne supporte pas les gens incapables d'entendre et d'encaisser la moindre petite critique.
Alors, ne vous y trompez pas. Je ne suis pas parfaite, il m'arrive aussi d'être susceptible et de grogner, tempêter voire fulminer si on vient me faire un reproche (surtout si je ne le trouve pas justifié). Mais je préfère toujours la franchise et l'honnêteté. Et si, après être venu me reprocher quelque chose, on argumente posément et calmement et qu'on me laisse le temps de digérer un peu l'information et de réfléchir, alors, la plupart du temps, je suis capable d'entendre ce qu'on a à me dire.
Et je l'avoue, je ne supporte pas les gens qui, sous des couverts de "tact" ou de "diplomatie" vous font de grands sourire polis mais qui vous critiquent une fois que vous n'êtes plus à portée d'oreille. Tout comme je ne supporte pas les gens incapables de se remettre en question ou d'entendre un autre point de vue que le leur.
Titre : After Auteur : Auriane Velten
première parution (broché) : avril 2021 chez Mnemos.
2nde parution (poche) : 1er sept 2022 chez Gallimard Nb de pages : 228 (broché) ou 275 (poche).
Prix : Utopiales 2021
le 4e de couverture :
La Terre d'après... À l'abri d'un baobab, une société utopique, soudée par des règles strictes et bienveillantes, semble profiter d'une vie paradisiaque, totalement apaisée et égalitaire.
Pourtant, l'un des membres de cette communauté ne peut s'empêcher de se poser mille et une questions, sur tout, y compris sur l'avant. Une particularité qui fait de Cami la personne idéale pour remplir une mission d'exploration - sous surveillance. C'est donc avec Paule que Cami part pour les terres renoncées, une zone inhabitée et hostile, en quête d'une mémoire oubliée. Rapidement, leurs découvertes dépassent l'entendement, et les déroutent au-delà de ce qui peut être imagine.
Ce voyage risque bien de bouleverser leur vie... et l'humanité.
Mon avis :
J'ai acheté ce livre pour plusieurs raisons. D'une part il s'agissait d'un livre écrit par une femme, cette femme était française, le livre était dans la catégorie SF, il était très récent et il avait reçu un prix littéraire.
J'étais curieuse. Vraiment très curieuse.
Et j'ai été, je dois l'avoué, particulièrement séduite.
C'est un petit livre, un court récit qui se lit très vite. Le style est agréable et l'auteur ne s'embarrasse pas du superflux. Elle garde l'essentiel et c'est très bien comme ça.
J'avoue, j'ai compris très vite à "qui" on avait à faire. Et j'ai eu peur que ça ne gâche la suite de ma lecture. Mais en réalité, j'ai fini par me rendre compte que ce j'avais si vite intégré n'était pas un "vrai" secret et qu'on le comprenne au chapitre deux ou 4, peu importe puisque ce qui importe, en vrai, c'est le cheminement, l'évolution des personnages, l'évolution de leurs sentiments, leurs émotions, leur voyage vers la connaissance du soi, des autres et... de l'humanité.
L'auteur est titulaire d'une licence de sociologie et anthropologie et ça se sent.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce livre. Une vraie petite perle qui vaut le détour et dont je recommande la lecture.
toujours faire preuve de tact, surtout aucun mépris, quand on veut dire à quelqu'un qu'on n'apprécie pas ce que lui aime.
Je passe d'ailleurs énormément de temps et d'efforts pour expliquer à mes enfants que lorsqu'on aime pas quelque chose, il ne faut pas dire : "c'est pas bon / beau" ou "c'est nul, c'est moche, c'est pas intéressant..." mais plutôt "moi, je n'aime pas" ; "ça ne me séduit pas" ; "ce n'est pas à mon goût" ; "ce n'est pas mon genre"... etc.
Oui, c'est normal, ce que tu ressens.
Ce qui n'est pas normal, par contre, c'est que tu te sentes obligé de faire semblant.
Ton mari et tes enfants peuvent tout à fait comprendre. Ne leur cache pas ta peine. Ne leur cache pas le fait que ce soit difficile pour toi et que tu as besoin de leur aide ou, pour le moins de leur compréhension.
Chercher à relativiser, c'est une bonne chose.
Mais c'est quoi, pour toi : être raisonnable ?
Dans les circonstances que tu nous expose que tu ai peur de perdre tes parents ne me semble pas déraisonnable. Il ne faut pas chercher à masquer ou repousser cette peur. Il faut l'accepter. Elle est normale. Mais il ne faut pas que tu cherches à l'affronter toute seule. Parles-en. A ton mari. "Maris et femmes pour le meilleur et pour le pire... etc." tu te souviens ? Eh bien voilà, c'est le moment pour ton homme de t'apporter le soutien dont tu as besoin.
Être une bonne mère et une bonne épouse, ça ne veut pas dire qu'il te faut être une femme "parfaite", toujours disponible, toujours souriante, toujours en forme et toujours de bonne humeur. Tu es une épouse et une mère, mais tu es et reste un être humain, avec ses forces, ses faiblesses, ses hauts et ses bas. N'ai pas honte ni peur de faire part de ta détresse au gens que tu aimes et qui t'entoure.
Tu as le droit de ne pas être bien et le droit de demander à ce que, pour une fois, on te soutienne.
Juste.. imagine un centre d'urgence médicale qui acceptent tous les hommes... sauf les barbus, sous prétexte que certaines personnes souffrent de pogonophobie (peur des poils sur le visage)...
Qu'en penserais-tu ?
j'aimerais ajouter une chose..
L'argument concernant les phobies causées par des traumas..
Comment crois-tu qu'ils font aux urgences ? comment crois-tu qu'ils gèrent ?
Une personne arrive, blessée tant physiquement que moralement à la suite d'une agression. Cette personne se retrouve confrontée à une personne qui lui rappelle son / ses agresseur(s) et elle panique. Comment font les infirmières et les médecins ? Ben, je vais te dire : il gèrent.. ils trouvent un moyen d'aider et de soigner, malgré tout. Et il n'y a pas de règle exclusive dans les urgences. Si on commençait à établir une liste des personnes mal-venues sous prétexte que ça pourrait faire peur à un patient, qui crois-tu que l'on pourrait encore accueillir / accepter dans un hôpital ?
Et puis.. tiens, une petite dernière.. tu en fais quoi, du coup, du serment d'Hypocrate ?
Pour ma part, j'ai assisté à 3 concerts :
Mon premier, il y a 20 ans, pour aller voir les Cranberries.
Puis, plus récemment, à Vienne, j'ai pu voir Mark Knopfler.
Enfin, le dernier en date, c'était pas plus tard que cet été - tout début juillet - pouar assister au méga concert de P!nk ! Avec en premières parties : Gayle, puis The Script. Un super spectacle, une super émotion, un méga souvenir. Avec ma fille en plus. C'était son premier concert.
je suis nulle en cuisine et maladroite aussi. Et pour repasser j'y suis nulle.
C'est bon pour une femme??
Ce n'est bon ni pour une femme, ni pour un homme.
Il est dommage pour n'importe qui, de ne pas avoir d'aptitudes en cuisine ou en repassage. Ceci dit, l'un comme l'autre ne sont pas sans solution. ce sont tous les deux des domaines dans lesquels on peut s'améliorer. MAIS le désir de s'améliorer dans ces domaine doit être motivé par l'envie de manger mieux et meilleur et d'avoir des vêtements bien repassés. Et certainement pas parce que, en tant que femme, on se doit de savoir faire ces choses là !! C'est réducteur et sexiste de penser que ce sont des aptitudes / tâches exclusivement féminines. Une femme a tout à fait le droit de ne pas être douée en cuisine ou en repassage. Elle peut l'être dans d'autres domaine (mécanique, bricolage, peinture... etc).
Chacun a le droit d'avoir ses points forts et ses points faible et l'essentiel, c'est de s'accepter tel que l'on est et de trouver autours de soi des personnes capables de nous accepter tel que l'on est.
Ce que j'aime bien, chez cette actrice, c'est qu'elle est capable de jouer un palette de rôle très riche et variée qui ne s'appuie pas systématiquement sur sa plastique et son magnifique sourire.
Je mets mon article dans la section Arts mais c'est évidemment plus large que ça !
Ma question porte sur les boutiques que l'on trouve quasi-systématiquement à la sortie des musées et des expositions. On y trouve des goodies de nature, tailles et prix variés avec un lien plus ou moins direct avec le musée ou l'exposition auxquels ils sont liés.
Moi, perso, j'ai carrément du mal à ressortir de ces boutiques sans avoir acheté au moins un petit quelque chose. J'aime investir dans un bouquin (si la boutique propose quelque chose d'intéressant, pertinent et abordable), mais, à défaut, j'aime bien prendre une carte postale, un marque page ou encore un crayon ^^ (je raffole des stylos)
Et vous, vous passez tout droit sans même prendre le temps de regarder ? vous accordez au moins un petit coup d'oeil ou vous fouillez la boutique en quête d'un souvenir (et s'il vous arrive de ne rien trouver d'intéressant, vous êtes déçus ?)
Ceci étant dit, puisqu'on peut faire dire ce qu'on veut aux chiffres..
j'ai noté que j'avais plus de like que de messages... ça veut dire que mes paroles doivent être d'une sagesse extraordinaire, n'est-ce pas ?