Je ne suis pas trop d'accord avec @Hilda-Van-Holp au sujet des robes qui sont toutes pareils. Par contre, là où je la rejoins, c'est concernant le costume du marié. Il est vraiment difficile de trouver / voir quelque chose de vraiment original. Je trouve ça dommage car ça donne l'impression que le marié doit s'effacer pour laisser toute la magie à la mariée. Or, c'est un jour de partage où les deux conjoints devraient être mis sur un pied d'égalité en terme de joie et d'apparence et de tenue d'exception.
du coup, j'en profite pour partager deux clichés..
Quels sont les meilleurs moments de votre année 2023 ?
Je n'ai pas eu le sentiment d'avoir de grands moments forts au cours de cette année.
Que retenez-vous de positif mais aussi de moins bon dedans ?
2023 a été une année de type Montagnes Russes. Notre déménagement dans une maison a été l'un des points positifs. Mais ça a été le symbole, pour moi, d'une acceptation et d'un renoncement : nous n'avons pas les fonds nécessaires pour acheter et nous finirons sans doute notre vie en tant que locataires. Or, j'aurais aimé devenir propriétaire d'un bien immobilier. Ma princesse a entamé une année scolaire qui devra se terminer sur un choix d'orientation scolaire qui n'est pas si facile à faire et ça génère du stress. Mon Prince a bénéficié d'un module de formation visant à l'aider dans l'acquisition de compétences liées au monde du travail. Nous espérions que ça déboucherait sur le module suivant complémentaire qui aurait du l'aider à se choisir une orientation professionnelle et une entreprise à intégrer avec un apprentissage... Mais les choses ne sont sont pas déroulé selon le plan. Il n'est pas vraiment près pour l'étape suivante qui est donc repoussée. En voie de conséquence, nous voilà à nouveau en mode "recherche d'une solution" pour l'aider à trouver "quelque chose" qui puisse l'aider, lui donner une raison de sortir de la maison... et lui donner le temps de mûrir et de se trouver un projet pro.
Du côté familial : La santé de ma maman s'est précarisé. Elle nous a fait de grosses frayeurs et je me suis sentie très impuissante. Le poids des kilomètres qui nous séparent a lourdement pesé sur mes épaules cette année.
Que vous a-t-elle apporté ? (Changements, réussites, accomplissements, projets, voyages...)
Pas de voyage cette année. Un choix assumé pour des raisons de logistiques et de gestion de plannings. Mais, malgré tout difficile à vivre finalement (d'autant plus que dans ma famille, on a finit par m'en faire le reproche). Juste quelques sorties aux restaurants pour "profiter de nos vacances". Et notre tentative d'aller passer un weekend prolongé en Slovénie pour découvrir l'une des magnifiques gorges du parc national Slovène s'est terminé en échec critique : il a tant plus que l'accès aux gorges étaient fermé.
Du côté des réussites : j'ai réussi à convaincre Mnemmeth d'aller ouvrir une assurance-vie à mon nom. Au cas-où, mais aussi et surtout pour que le moment venu - i.e. l'âge de la retraite, on puisse compenser un peu le fait que je n'aurais sans doute droit qu'au minimum. On a pris un produit financier raisonnablement à risques pour assurer un minimum de bénéfices dans une petite quinzaine d'année.
Nous avons également ouvert un compte qui reçoit, toutes les fins de mois, une somme prédéfinie et qui va nous servir à mettre quelques sous de côté pour nos projets de voyage (Irlande, retour en Ecosse, Japon...)
et au final qu'en retenez-vous ?
J'en retiens que j'attends 2024 avec une certaine impatience, dans l'espoir qu'elle sera plus positive. Nous avons d'ores et déjà des projets pour juillet 2024, pour l'anniversaire de Mnemmeth et je ne souhaite rien de plus que de les voir s'accomplir sans accrocs.
Je viens de finir la lecture de la Saga du Commonwealth de Peter F. Hamilton.
Petite fiche :
La saga comprend deux livres : L'Étoile de Pandore et L'Étoile de Pandore : Judas démasqué
Les éditions françaises proposent un découpage en 4 tomes : l'étoile de pandore et l'étoile de Pandore 2 suivis de Judas déchaîné et Judas démasqué. Auteur : Peter F. Hamilton Genre : Science-fiction / Space Opéra Date de parution : 2004 Pays : Royaume-Uni
En 2380, l'humanité a colonisé six cents planètes, toutes reliées entre elles par des trous de ver. Le Commonwealth Intersolaire s'est développé en une société tranquille et prospère, dans laquelle la « régénération» permet à chaque citoyen de vivre pendant des siècles. C'est alors qu'un astronome est témoin d'un incroyable événement cosmique : la disparition d'une étoile à un millier d'années-lumière. Le Commonwealth décide d'en savoir plus. Contre l'avis d'une partie de l'opinion, il construit le premier vaisseau spatial plus rapide que la lumière : le Seconde Chance. Sa mission sera de découvrir quelle menace pèse sur l'espèce humaine...
The year is 2380. The Intersolar Commonwealth, a sphere of stars some four hundred light-years in diameter, contains more than six hundred worlds, interconnected by a web of transport "tunnels" known as wormholes. At the farthest edge of the Commonwealth, astronomer Dudley Bose observes the impossible: Over one thousand light-years away, a star... vanishes. It does not go supernova. It does not collapse into a black hole. It simply disappears. Since the location is too distant to reach by wormhole, a faster-than-light starship, the Second Chance, is dispatched to learn what has occurred and whether it represents a threat. In command is Wilson Kime, a five-time rejuvenated ex-NASA pilot whose glory days are centuries behind him.
Opposed to the mission are the Guardians of Selfhood, a cult that believes the human race is being manipulated by an alien entity they call the Starflyer. Bradley Johansson, leader of the Guardians, warns of sabotage, fearing the Starflyer means to use the starship's mission for its own ends.
Pursued by a Commonwealth special agent convinced the Guardians are crazy but dangerous, Johansson flees. But the danger is not averted. Aboard the Second Chance, Kime wonders if his crew has been infiltrated. Soon enough, he will have other worries. A thousand light-years away, something truly incredible is waiting: a deadly discovery whose unleashing will threaten to destroy the Commonwealth... and humanity itself. Could it be that Johansson was right?
Nous sommes en 2380. Le Commonwealth intersolaire, une sphère d'étoiles d'environ quatre cents années-lumière de diamètre, contient plus de six cents mondes, interconnectés par un réseau de "tunnels" de transport appelés trous de ver. Aux confins du Commonwealth, l'astronome Dudley Bose observe l'impossible : à plus de mille années-lumière, une étoile... disparaît. Elle ne se transforme pas en supernova. Elle ne s'effondre pas dans un trou noir. Elle disparaît tout simplement. Étant donné que l'emplacement est trop éloigné pour être atteint par un trou de ver, un vaisseau plus rapide que la lumière, la Seconde Chance, est envoyé pour savoir ce qui s'est passé et si cela représente une menace. Aux commandes, Wilson Kime, un ex-pilote de la NASA rajeuni à 5 reprises et dont les jours de gloire sont des siècles derrière lui.
Les Gardiens de l'Individuité s'opposent à la mission, un culte qui croit que la race humaine est manipulée par une entité extraterrestre qu'ils appellent le Starflyer / l'Arpenteur. Bradley Johansson, chef des Gardiens, met en garde contre le sabotage, craignant que le Starflyer n'utilise la mission du vaisseau à ses propres fins.
Poursuivi par un agent spécial du Commonwealth convaincu que les Gardiens sont fous mais dangereux, Johansson s'enfuit. Mais le danger n'est pas écarté. A bord du Second Chance, Kime se demande si son équipage a été infiltré. Bientôt, il aura d'autres soucis. A mille années-lumière, quelque chose de vraiment incroyable attend : une découverte mortelle dont le déchaînement menacera de détruire le Commonwealth... et l'humanité elle-même. Se pourrait-il que Johansson ait raison ?
Mon avis :
Le livre est présenté comme un Space Opéra. On s'attend donc plus ou moins à voyager entre les étoiles, à découvrir des mondes, des cultures et suivre un héro (ou un groupe de héro) en train de.. plus ou moins sauver le monde, voire la galaxie et de défendre une juste cause.. Mais.. en fait, c'est pas tout à fait ça.
Il faut le reconnaitre, c'est un récit complexe, avec de nombreux personnages et on se demande pendant un long moment comment les différents récits vont bien pouvoir se mêler pour nous raconter finalement UNE histoire. Mais c'est justement ça que j'ai apprécié dans ces livres : la richesse de l'univers, la diversité des personnages et le fait que, finalement, on ne se retrouve pas à suivre un seul et unique héros (ou un groupe de héros) mais que, au contraire, l'auteur se soit appliqué à nous tisser un récit ou chaque personnage aura son rôle à jouer (en bien ou en mal) à un moment donné de l'histoire.
Les personnages ne sont pas manichéens. Il ne sont pas caricaturaux non plus - enfin, pas trop. Ils évoluent. Ils ont leurs qualités, leurs défauts, leurs points forts, leurs points faibles. Certains sont courageux, d'autres moins. Et ils sont plus ou moins respectables, également.
L'auteur parvient avec brio à mêler la SF avec le récit policier, la romance (sans sombrer dans le culcul), le thriller psychologique ou encore la stratégie (tant politique que militaire) - et il y a même une touche de mystique (à la limite de la fantasy).
et tout ça fait que j'ai aimé.
ça change des scénarios classiques, je trouve.
Une chose à ne pas oublier lorsqu'on lit les livres : le découpage des éditions française qui proposent 4 tomes au lieu de 2 dans la V.O. Mine de rien, ça change l'approche que l'on peut avoir du récit et de l'évolution de l'histoire. Quand on ferme le tome 1 des éditions française, en réalité, on a pas terminé le livre.. on en est juste à la moitié et la bascule scénaristique, la vraie, n'a pas encore eu lieu.
Il y en avait plein non loin de notre logement de fonction (quand mon père était chef de gare) et j'aimais beaucoup aller voir les roseaux "en fleur" surtout lorsque, en fin de saison, ils finissaient par "éclore" en million de petites graines que le vent soufflait sur le paysage. ça faisait comme de flocons de neige, j'aimais beaucoup.
Auteur : Anne-Claire Duval
Broché (23 août 2023)
Editions : Ynnis éditions
Nombre de page : 205
Âge de lecture : A partir de 8 ans
4e de couverture :
Le pays du matin calme regorge de récits fondateurs. Depuis des siècles, ils transmettent des valeurs comme la sagesse, le dévouement, le courage et la bienveillance. De la création du monde à la naissance des astres, des frères et sœurs aux destins entremêlés aux créatures fantastiques qui peuplent les montagnes, découvrez ces histoires extraordinaires. Une lecture pour tous !
Mon avis :
Ce livre est un très bon moyen de faire plus ample connaissance avec la culture coréenne. Le livre présente 12 récits toujours accompagnés d'une courte introduction et d'une brève conclusion qui permettent de comprendre à la fois le contexte historique et culturel, et l'impact que l'histoire peut avoir encore de nos jours sur la culture, la société et le mode de pensée des coréens.
Le livre n'est pas très épais, rapide à lire et reste très certainement en surface, mais c'est une belle approche.
Aujourd'hui, notre petite Lara a accepté de monter dans la voiture de son propre gré. Elle est toujours nerveuse et inquiète lorsque l'on roule, mais elle semble s'habituer petit à petit à ce mode de déplacement.
Sur la plage, les pieds enfouis dans le sable, les yeux plantés sur l'horizon, elle s'autorise un soupir. Elle avait tant besoin de ces vacances ! Mais alors qu'elle est là, sur cette île qui l'a fait rêvé toute sa vie, la magie n'opère toujours pas. Son humeur reste morose, son âme préoccupée, son coeur maussade. Elle ferme les yeux, inspire profondément et tente désespéramment de chasser de ses pensées toutes les considérations d'ordre professionnel.
Elle n'a rien emporté avec elle pour une fois : ni son ordi, ni son portable. Il n'y a pas l'ombre d'un dossier dans sa valise. Manifestement, ça ne suffit pas d'avoir laissé tout ça derrière elle.
D'un air las, elle regarde un groupe d'inconnu s'installer non loin d'elle. Ils rient, plaisantent et se chahutent gentiment. Comme elle ne se sent pas d'humeur, elle esquisse quelques pas pour s'éloigner. Et c'est alors qu'elle se fige. Des notes de musiques viennent de s'élever dans les airs et de l'atteindre, en plein coeur. Elle ne connait pas le morceau. Elle le découvre.
Sur son visage, les rides s'estompent au fur et à mesure que la mélodie la pénètre et l'envoute. Elle sourit. Elle rit. Elle danse. Libre, enfin !
Il y a un truc que tu devrais prendre en compte afin de t'aider à avancer :
quand un mec parle des ses conquêtes féminines, ça en fait un mec cool.
quand une fille fait la même chose, ça en fait une salope.
Si elle n'ose pas te parler ouvertement de son passé, du nombre de ses conquêtes, de la façon dont les choses se sont déroulées (avec des ruptures plus ou moins simples et plus ou moins franches) c'est peut-être qu'elle a peur de te laisser une mauvaise impression et que tu "juges" son comportement de manière négative et que ça te repousse.
si tu as tendance à la jalousie, ce que tu avoues d'ailleurs, et qu'elle a su rester en bon termes avec deux ou trois de ses conquêtes, alors peut-être qu'elle n'ose pas t'en parler.
Si tes sentiments pour elles sont sincères, alors laisse-lui son jardin secret, fait preuve de davantage de confiance. La jalousie ne me semble pas une bonne base pour construire un couple et encore moins le faire durer.
ça m'agace !
J'envoie un mail disant expressément : "je suis flexible, pourriez-vous me faire des suggestions de dates pour un rendez-vous?" Et on me répond : "vous pouvez m'appeler à ce numéro pour fixer un rendez-vous."
mais punaise, si j'avais voulu utiliser mon tel pour fixer ce rendez-vous, j'aurais pas commencé la conversation avec un mail.
Je n'aime déjà pas les conversations téléphoniques. Et j'ai toujours un mal fou à comprendre les dates à l'oral.
Il n'aura peut-être pas échappé à certains que je participe activement et régulièrement à l'atelier d'écriture du forum, où Kachina aime nous appeler "ses plumes".
Le café – entre tradition et … tradition.
Surtout ne passez pas en Autriche, sans prendre le temps de vous arrêter quelques minutes dans un « Café » (le lieu aussi nommé Kaffeehaus) pour savourer un « Kaffee » (la boisson).
Ne faite pas l’erreur, toutefois de vous contenter de demander un « café » au serveur. En France, évidemment, on comprendrait que vous voulez un espresso. En Autriche, il vous faudra préciser quel type de café vous souhaitez qu’on vous serve entre les différentes appellations suivantes :
Mokka - Café noir sans lait ni sucre, préparé à la machine à expresso
Kleiner Schwarzer (ou kleiner Mokka) Mokka simple dans une petite tasse
Grosser Schwarzer (ou grosser Mokka) Mokka double dans une grande tasse
Kleiner Brauner Un Mokka simple avec du lait ou de la crème fouettée dans une petite tasse
Grosser Brauner Un Mokka double avec de la crème fouettée dans une grande tasse
Melange Moitié café, moitié lait servi avec de la mousse de lait
Häferlkaffee Café filtre avec beaucoup de lait servi dans une « Häferl » (grande tasse)
Franziskaner Melange (moitié café, moitié lait) avec de la crème fouettée à ne pas mélanger avec…
… le Cappuccino venu d’Italie et qui consiste en un espresso surmonté d’une mousse de lait. Il est à noter que dans certains lieux, on vous proposera un peu de * * Schlagober (crème fouetté) à la place de la mousse de lait.
Verlängerter* Kleiner Schwarzer allongé avec la même quantité d’eau chaude
Einspänner Un petit Mokka dans un verre avec beaucoup de crème fouettée (c’est le café que l’on appelle « viennois » en France)
Fiaker Un grand Mokka dans un verre avec beaucoup de sucre et un doigt de slivovitz ou de rhum
Alors, tous les cafés ne proposent pas toute la variété des cafés imaginables en Autriche, évidemment. En cas de doute, fiez-vous à la carte.
Quelques spécialités hors catégories.
les Mozartkugeln (boules de Mozart), une institution. Ces petites confiseries rondes sont faites de pâte d’amande et de nougat à la pistache, puis recouvertes de chocolat noir.
Les liqueurs au chocolat Mozart : Mélange de chocolat, mais aussi de crème, les liqueurs au chocolat Mozart apportent directement des notes fortes de cacao en bouche. Le chocolat d’origine belge se fait bien ressentir. À cela s’ajoutent aussi de légers arômes de vanille et une saveur mielleuse combinée avec l’acuité de l’alcool qui provient d’un distillat de betterave.
L’huile de pépin de courges : mais attention, pas n’importe quelles courges. Celles qu’ils utilisent proviennent de Styrie. Cette huile est traditionnellement servie avec les salades (de mâche – de préférence) avec une pointe de vinaigre de cidre. Elle est consommée, chez les hommes, dans le but de limiter les risques de cancer de la prostate.
Le chocolat Zotter - la fabrique de ce chocolat se situe à moins d’une heure de route de chez moi. Ils y fabriquent toutes sortes de chocolat à croquer ou à fondre (dans du lait chaud). Il y en a vraiment pour tous les goûts : des amateurs de chocolats noirs (voire très noir) à ceux qui préfèrent les chocolats au lait plus doux en passant par ceux qui aiment les goûts exotiques et inhabituels (Caramels, fruits, pâtes d’amandes, alcool divers, piments ou noix).
les gaufrettes Männer - dans le même ordre d’idée que la chocolaterie susmentionnée, vous trouverez également en Autriche des gaufrettes légères et croustillantes : Ces gaufrettes légères et aérées, également appelées gaufrettes napolitaines (Neapolitaner) peuvent être trouvées dans toute l’Autriche et l’Europe, mais Manner Wien est une spécialité typiquement viennoise ; vous remarquerez d’ailleurs sur son emballage rose emblématique, la cathédrale Saint-Étienne comme logo de l’entreprise Manner. Les gaufrettes se composent de 5 couches de gaufrettes et de 4 couches de chocolat à la noisette.
Enfin, en vrac et vous serez peut-être surpris… L’Autriche est la terre natale de la boisson Latella (eh non, ce n’est pas italien ), du chocolat Milka et des Pèz !
L'idée étant que chacun de nous propose une question avec ses réponses.
Et chacun de vous devrait me faire une estimation du style : "je pense que ma question est facile / difficile / abordable... et qu'elle obtiendra entre X et Y % de bonne réponses".
Ensuite, moi, quand j'ai obtenu au moins une dizaine de questions/réponses, je fabrique le quiz et j'ouvre un sujet pour que tout le monde y participe (y compris ceux qui n'auront pas posé de questions)
Pour le décompte final et la composition du podium, je prend les résultats du quiz et j'y additionne un bonus en rapport avec la justesse de l'estimation faite au moment de proposer une question.
Une bonne estimation rapporterait 5 points de plus.
Une estimation approchante rapporterait 3 points de plus.
Une estimation complètement à la ramasse : - 3 points.
(ces bonus/malus pourraient être révisés en fonction du nombre de questions composant le quiz)
Vous pourrez aborder les thèmes tels que : la musique, le cinéma, les séries télés, la lecture ou encore les jeux.
Pour info, le niveau de difficulté (estimé par l'auteur de la question) est indiqué à chaque question par un petit smiley.
Facile : plus de 75% des participants devraient trouver la bonne réponse. Moyenne : entre 75 et 50% des participants devraient trouver la bonne réponse. Difficile : entre 50 et 25% des participants devraient trouver la bonne réponse. Très difficile : moins de 25% des participants devraient trouver la bonne réponse.
J'en fais chez moi !
Quelques astuces pour réussir ce plat :
des noix de st jacques fraîches et pas décongelées (et si on a pas le choix, faire décongeler les noix de St Jacques dans du lait).
veillez à ce que les noix de St jacques soit à température ambiante (les sortir au moins 15 mn du frigo avant de les cuisiner)
Mettre une belle noix de beurre au fond d'une poêle. Laisser le beurre fondre puis blondir très légèrement.
déposer les noix de St Jacques sur un côté et attendre quelques secondes. Si on observe bien, on peut voir la progression de la cuisson le long du côté des noix de St Jacques. Lorsque la noix est moitié cuite, on la retourne. On attend quelques secondes et on enlève du feu. Il faut savoir que la noix de St jacques n'aime pas qu'on la remue (on ne les fait donc pas sauter dans la poêle) et elle n'aime pas du tout non plus la surcuisson (sinon, elle devient caoutchouteuse). On surveille donc la cuisson de près.
on déglace au vin blanc ou au jus de citron. On verse la "sauce" sur les noix de st jacques et on consomme dans la foulée !
Pour ceux qui aiment quand c'est relevé, vous pouvez faire griller quelques rondelles de chorizo dans le fond de la poêle avant d'y faire cuire les noix de St Jacques, c'est super bon !