WARNING
Donc, comme annoncé la première fois, je suis en version gratuite, et mon lien ne sera accessible que pour les 10 premiers participants. je devrais pouvoir générer une nouvelle session en cas de besoin.
Si besoin, interpellez moi ici ou par mp, comme vous voulez.
Quels sont les meilleurs moments de votre année 2023 ?
Je n'ai pas eu le sentiment d'avoir de grands moments forts au cours de cette année.
Que retenez-vous de positif mais aussi de moins bon dedans ?
2023 a été une année de type Montagnes Russes. Notre déménagement dans une maison a été l'un des points positifs. Mais ça a été le symbole, pour moi, d'une acceptation et d'un renoncement : nous n'avons pas les fonds nécessaires pour acheter et nous finirons sans doute notre vie en tant que locataires. Or, j'aurais aimé devenir propriétaire d'un bien immobilier. Ma princesse a entamé une année scolaire qui devra se terminer sur un choix d'orientation scolaire qui n'est pas si facile à faire et ça génère du stress. Mon Prince a bénéficié d'un module de formation visant à l'aider dans l'acquisition de compétences liées au monde du travail. Nous espérions que ça déboucherait sur le module suivant complémentaire qui aurait du l'aider à se choisir une orientation professionnelle et une entreprise à intégrer avec un apprentissage... Mais les choses ne sont sont pas déroulé selon le plan. Il n'est pas vraiment près pour l'étape suivante qui est donc repoussée. En voie de conséquence, nous voilà à nouveau en mode "recherche d'une solution" pour l'aider à trouver "quelque chose" qui puisse l'aider, lui donner une raison de sortir de la maison... et lui donner le temps de mûrir et de se trouver un projet pro.
Du côté familial : La santé de ma maman s'est précarisé. Elle nous a fait de grosses frayeurs et je me suis sentie très impuissante. Le poids des kilomètres qui nous séparent a lourdement pesé sur mes épaules cette année.
Que vous a-t-elle apporté ? (Changements, réussites, accomplissements, projets, voyages...)
Pas de voyage cette année. Un choix assumé pour des raisons de logistiques et de gestion de plannings. Mais, malgré tout difficile à vivre finalement (d'autant plus que dans ma famille, on a finit par m'en faire le reproche). Juste quelques sorties aux restaurants pour "profiter de nos vacances". Et notre tentative d'aller passer un weekend prolongé en Slovénie pour découvrir l'une des magnifiques gorges du parc national Slovène s'est terminé en échec critique : il a tant plus que l'accès aux gorges étaient fermé.
Du côté des réussites : j'ai réussi à convaincre Mnemmeth d'aller ouvrir une assurance-vie à mon nom. Au cas-où, mais aussi et surtout pour que le moment venu - i.e. l'âge de la retraite, on puisse compenser un peu le fait que je n'aurais sans doute droit qu'au minimum. On a pris un produit financier raisonnablement à risques pour assurer un minimum de bénéfices dans une petite quinzaine d'année.
Nous avons également ouvert un compte qui reçoit, toutes les fins de mois, une somme prédéfinie et qui va nous servir à mettre quelques sous de côté pour nos projets de voyage (Irlande, retour en Ecosse, Japon...)
et au final qu'en retenez-vous ?
J'en retiens que j'attends 2024 avec une certaine impatience, dans l'espoir qu'elle sera plus positive. Nous avons d'ores et déjà des projets pour juillet 2024, pour l'anniversaire de Mnemmeth et je ne souhaite rien de plus que de les voir s'accomplir sans accrocs.
Je viens de finir la lecture de la Saga du Commonwealth de Peter F. Hamilton.
Petite fiche :
La saga comprend deux livres : L'Étoile de Pandore et L'Étoile de Pandore : Judas démasqué
Les éditions françaises proposent un découpage en 4 tomes : l'étoile de pandore et l'étoile de Pandore 2 suivis de Judas déchaîné et Judas démasqué. Auteur : Peter F. Hamilton Genre : Science-fiction / Space Opéra Date de parution : 2004 Pays : Royaume-Uni
En 2380, l'humanité a colonisé six cents planètes, toutes reliées entre elles par des trous de ver. Le Commonwealth Intersolaire s'est développé en une société tranquille et prospère, dans laquelle la « régénération» permet à chaque citoyen de vivre pendant des siècles. C'est alors qu'un astronome est témoin d'un incroyable événement cosmique : la disparition d'une étoile à un millier d'années-lumière. Le Commonwealth décide d'en savoir plus. Contre l'avis d'une partie de l'opinion, il construit le premier vaisseau spatial plus rapide que la lumière : le Seconde Chance. Sa mission sera de découvrir quelle menace pèse sur l'espèce humaine...
The year is 2380. The Intersolar Commonwealth, a sphere of stars some four hundred light-years in diameter, contains more than six hundred worlds, interconnected by a web of transport "tunnels" known as wormholes. At the farthest edge of the Commonwealth, astronomer Dudley Bose observes the impossible: Over one thousand light-years away, a star... vanishes. It does not go supernova. It does not collapse into a black hole. It simply disappears. Since the location is too distant to reach by wormhole, a faster-than-light starship, the Second Chance, is dispatched to learn what has occurred and whether it represents a threat. In command is Wilson Kime, a five-time rejuvenated ex-NASA pilot whose glory days are centuries behind him.
Opposed to the mission are the Guardians of Selfhood, a cult that believes the human race is being manipulated by an alien entity they call the Starflyer. Bradley Johansson, leader of the Guardians, warns of sabotage, fearing the Starflyer means to use the starship's mission for its own ends.
Pursued by a Commonwealth special agent convinced the Guardians are crazy but dangerous, Johansson flees. But the danger is not averted. Aboard the Second Chance, Kime wonders if his crew has been infiltrated. Soon enough, he will have other worries. A thousand light-years away, something truly incredible is waiting: a deadly discovery whose unleashing will threaten to destroy the Commonwealth... and humanity itself. Could it be that Johansson was right?
Nous sommes en 2380. Le Commonwealth intersolaire, une sphère d'étoiles d'environ quatre cents années-lumière de diamètre, contient plus de six cents mondes, interconnectés par un réseau de "tunnels" de transport appelés trous de ver. Aux confins du Commonwealth, l'astronome Dudley Bose observe l'impossible : à plus de mille années-lumière, une étoile... disparaît. Elle ne se transforme pas en supernova. Elle ne s'effondre pas dans un trou noir. Elle disparaît tout simplement. Étant donné que l'emplacement est trop éloigné pour être atteint par un trou de ver, un vaisseau plus rapide que la lumière, la Seconde Chance, est envoyé pour savoir ce qui s'est passé et si cela représente une menace. Aux commandes, Wilson Kime, un ex-pilote de la NASA rajeuni à 5 reprises et dont les jours de gloire sont des siècles derrière lui.
Les Gardiens de l'Individuité s'opposent à la mission, un culte qui croit que la race humaine est manipulée par une entité extraterrestre qu'ils appellent le Starflyer / l'Arpenteur. Bradley Johansson, chef des Gardiens, met en garde contre le sabotage, craignant que le Starflyer n'utilise la mission du vaisseau à ses propres fins.
Poursuivi par un agent spécial du Commonwealth convaincu que les Gardiens sont fous mais dangereux, Johansson s'enfuit. Mais le danger n'est pas écarté. A bord du Second Chance, Kime se demande si son équipage a été infiltré. Bientôt, il aura d'autres soucis. A mille années-lumière, quelque chose de vraiment incroyable attend : une découverte mortelle dont le déchaînement menacera de détruire le Commonwealth... et l'humanité elle-même. Se pourrait-il que Johansson ait raison ?
Mon avis :
Le livre est présenté comme un Space Opéra. On s'attend donc plus ou moins à voyager entre les étoiles, à découvrir des mondes, des cultures et suivre un héro (ou un groupe de héro) en train de.. plus ou moins sauver le monde, voire la galaxie et de défendre une juste cause.. Mais.. en fait, c'est pas tout à fait ça.
Il faut le reconnaitre, c'est un récit complexe, avec de nombreux personnages et on se demande pendant un long moment comment les différents récits vont bien pouvoir se mêler pour nous raconter finalement UNE histoire. Mais c'est justement ça que j'ai apprécié dans ces livres : la richesse de l'univers, la diversité des personnages et le fait que, finalement, on ne se retrouve pas à suivre un seul et unique héros (ou un groupe de héros) mais que, au contraire, l'auteur se soit appliqué à nous tisser un récit ou chaque personnage aura son rôle à jouer (en bien ou en mal) à un moment donné de l'histoire.
Les personnages ne sont pas manichéens. Il ne sont pas caricaturaux non plus - enfin, pas trop. Ils évoluent. Ils ont leurs qualités, leurs défauts, leurs points forts, leurs points faibles. Certains sont courageux, d'autres moins. Et ils sont plus ou moins respectables, également.
L'auteur parvient avec brio à mêler la SF avec le récit policier, la romance (sans sombrer dans le culcul), le thriller psychologique ou encore la stratégie (tant politique que militaire) - et il y a même une touche de mystique (à la limite de la fantasy).
et tout ça fait que j'ai aimé.
ça change des scénarios classiques, je trouve.
Une chose à ne pas oublier lorsqu'on lit les livres : le découpage des éditions française qui proposent 4 tomes au lieu de 2 dans la V.O. Mine de rien, ça change l'approche que l'on peut avoir du récit et de l'évolution de l'histoire. Quand on ferme le tome 1 des éditions française, en réalité, on a pas terminé le livre.. on en est juste à la moitié et la bascule scénaristique, la vraie, n'a pas encore eu lieu.
Alors, parce que, j'avoue, j'ai hâte qu'on passe à la phase où on parle de recettes, je vous poste d'ores et déjà le @quizDisponible jusqu'au 17 décembre à 23h00...
Il y en avait plein non loin de notre logement de fonction (quand mon père était chef de gare) et j'aimais beaucoup aller voir les roseaux "en fleur" surtout lorsque, en fin de saison, ils finissaient par "éclore" en million de petites graines que le vent soufflait sur le paysage. ça faisait comme de flocons de neige, j'aimais beaucoup.
Auteur : Anne-Claire Duval
Broché (23 août 2023)
Editions : Ynnis éditions
Nombre de page : 205
Âge de lecture : A partir de 8 ans
4e de couverture :
Le pays du matin calme regorge de récits fondateurs. Depuis des siècles, ils transmettent des valeurs comme la sagesse, le dévouement, le courage et la bienveillance. De la création du monde à la naissance des astres, des frères et sœurs aux destins entremêlés aux créatures fantastiques qui peuplent les montagnes, découvrez ces histoires extraordinaires. Une lecture pour tous !
Mon avis :
Ce livre est un très bon moyen de faire plus ample connaissance avec la culture coréenne. Le livre présente 12 récits toujours accompagnés d'une courte introduction et d'une brève conclusion qui permettent de comprendre à la fois le contexte historique et culturel, et l'impact que l'histoire peut avoir encore de nos jours sur la culture, la société et le mode de pensée des coréens.
Le livre n'est pas très épais, rapide à lire et reste très certainement en surface, mais c'est une belle approche.
En guise d’introduction, je vous ai posé une question concernant les différentes couleurs de l’oignon.
Couleurs qui sont à quelques nuances près au nombre de 4 avec le blanc, le jaune / paille, le rose et le rouge. Mais savez-vous combien de variétés existent ? Eh bien, on en dénombre un peu plus de 1000 ! On ne les citera pas toutes ici, évidemment.
Je mettrais toutefois en avant quelques appellations contrôlées.
En France, tout d’abord, où nous comptabilisons deux AOC : l’oignon doux des Cévennes (2003) et l’oignon de Roscoff (2009). En Espagne, ensuite, avec l’oignon des sources de l’Ebre et son classement AOP obtenu en 2010. Enfin, nous parlerons du petit oignon de l’Agro nocerino-sarnese (AOP en 2008) et l’oignon rouge de Tropea (IGP 2008) qui nous viennent tous deux d’Italie.
AOP : Appellation d’Origine Protégée.
AOC : Appellation d’Origine Contrôlée.
IGP : Indication Géographique Protégée.
STG : Spécialité Traditionnelle Garantie.
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Un peu d’histoire.
On s’accorde à dire que les oignons que nous connaissons aujourd’hui seraient issu d’un même vaste territoire situé en Asie centrale qui s’étendrait de la Palestine à l’Inde. Oui, vaste, j’ai dit ! quant à savoir depuis quand on mange des oignons, il faut croire que ça remonte – au moins – à l’antiquité puisqu’il en est question dans les plus anciennes recettes de cuisine qui nous soient parvenues. Ainsi, cette plante potagère était consommée en Mésopotamie et en Egypte. On sait en outre qu’elle était très appréciée des Grecs, des Gaulois et des Romains.
Oki, mais appréciée à quel point, me demanderez-vous ?
Le voyageur, chroniqueur et géographe arabe Ibn Hawqal vous aurait répondu ceci : A l’excès !
Voici d’ailleurs ce qu’il a écrit au sujet des Siciliens :
« […] l'abus qu'ils font de l'oignon et le mauvais goût dérivant de leur habitude de manger excessivement de cet oignon tout cru ; car entre eux il n'y a personne, à quelque classe qu'il appartienne, qui n'en mange tous les jours dans sa maison matin et soir. Voilà ce qui a corrompu leurs intelligences, altéré leurs cerveaux, abruti leurs sens, changé leurs facultés, rétréci leurs esprits, gâté le teint de leurs visages et changé tout à fait leur tempérament, au point qu'ils voient tout, ou du moins la plupart des choses, autrement qu'elles ne sont en réalité. »
Voilà, il nous aura prévenu !
Tout comme il aura fallut attendre de découvrir l’Amérique pour que le maïs, le café, le chocolat, les pommes de terre et les tomates (entre autres) nous parviennent, l’oignon ne parviendra à se faire connaitre outre Atlantique au XVIe siècle. Des Caraïbes, il gagnera progressivement le Nord des Etats-Unis puis le Canada où il sera cultivé aussi bien par les colons que par les amérindiens.
Avec ces quelques informations, on peut donc déduire que le plus grand producteur au monde d’oignons – après la Chine – doit se situer au moyen Orient, en Afrique ou en Asie. Eh bien, non ! Ce sont les Etats-Unis qui en produisent le plus.
Après cette courte parenthèse contemporaine, revenons à nos connaissances historiques.
Je vous avais demandé pour quelle raison les marins consommaient des oignons. Vous aviez le choix entre plusieurs options : Prévention du scorbut ? Lutte contre la Gale ? soigner la rougeole ? Se prémunir de la Tuberculose ?
La bonne réponse était la réponse 1 : Ils consommaient des oignons afin de se prémunir du scorbut : En effet, en raison de leur teneur en vitamine C, les oignons étaient un moyen pratique de maintenir la santé des équipages lors de longs voyages en mer.
L'oignon en quelques questions.
C’est ainsi qu’on découvre que l’oignon est riche en vitamine C. Mais ses apports nutritionnels ne s’arrêtent pas là. Les autres vitamines retrouvées dans l'oignon sont les vitamines B1, B2, B3 (ou vitamine PP) et B5, la vitamine A, et la vitamine E.
Une vraie petite bombe d’énergie !
Mais justement, en parlant de bombe… peut-on être allergique à l’oignon ?
Des nombreux chercheurs se sont posés la question et de nombreuses études ont été menées, surtout depuis que l’on a pointé du doigts le fait que les industriels en mettaient un peu partout et à toutes les sauces.
La réponse et la suivante : oui, on peut être allergique, mais les cas avérés d’allergie à l’oignons sont des cas isolés et si rares qu’ils en deviennent anecdotiques. Par contre, l’intolérance à l’oignon existe bel et bien.
C’est pourquoi il existe peu de contre-indications à la consommation d’oignons. Toutefois, chez les personnes aux intestins sensibles et victimes du syndrome de l’intestin irritable (SII), l’oignon peut être à l’origine de symptômes digestifs désagréables. Dans ce cas, la consommation est à limiter ou à adapter à la tolérance digestive personnelle.
Si la consommation d’oignon ne vous pose pas de problème, reste une question que l’on pourrait se poser face aux étals de nos marchés préférés : si on veut un oignon fort en goût (ou moins fort, du coup), sur quels critères devons-nous le choisir ?
On aurait sans doute tendance à se fier à sa couleur, ce qui n’est pas totalement faux, puisque l’on sait que certaines espèces d’oignons sont plus doux que d’autres. Pourtant, pour un même oignon – de même espèce et origines – on constatera malgré tout une différence d’intensité gustative en fonction de leur taille. Ainsi, plus l’oignon sera petit, plus les arômes seront intenses. Sa fermeté sera, quant à elle, un gage de sa fraîcheur et d’un bon état de conservation.
Un peu de culture…
Le titre : Glass Onion a été interprété par The Beatles.
Le thème principal du film : « Glass Onion : une histoire à couteau tiré » est une intrigue policière.
L’auteur Allemand Günter Grass (1927 - 2015 ) a écrit un ouvrage qui a pour titre : Pelures d’oignon (Beim Häuten der Zwiebel)
Il s’agit d’une œuvre autobiographique publiée en 2006. Elle commence avec la fin de son enfance à Dantzig et le début de la Seconde Guerre mondiale et se termine l'année de la publication de son livre Le Tambour. Dans ce roman, l’oignon devient une métaphore du souvenir. Les pelures de l’oignon symbolisent notre passé, nos expériences et notre personnalité. En les épluchant, on cherche le cœur, mais il reste insaisissable. Une réflexion profonde sur la mémoire et l’identité.
L’expression « en rang d’oignon » fait-elle référence à la culture de l’oignon ?
L'expression « se mettre en rangs d'oignons » n'a pas grand-chose à voir avec les rangées d'oignons du jardin. Elle fait plutôt allusion au fait que le baron d'Oignon, maître de cérémonie à la cour des Valois, avait l'habitude de crier, lorsqu'il assignait leur place aux seigneurs : « Messieurs, serrez vos rangs ». Entre eux, les seigneurs se moquaient des rangs d’Oignon.
Enfin, en conclusion de ce quiz, j’avais mis en avant un proverbe allemand qui l’on pourrait traduire par : « Qui cultive les oignons n’en sent pas l’odeur »
Ce proverbe signifie que lorsque nous sommes directement impliqués dans une situation ou un travail, nous pouvons ne pas remarquer certains aspects négatifs ou désagréables qui sont évidents pour les autres. Cela peut également être interprété comme une métaphore pour dire que nous sommes souvent aveugles aux défauts ou aux problèmes de notre propre situation.
Voilà, j'espère que ce thème vous aura plu.
Pour le thème suivant, j'hésite..
Préférez vous parler de poivrons ? des œufs (de Pâques) ? ou avez vous une suggestion à me faire ?
Aujourd'hui, notre petite Lara a accepté de monter dans la voiture de son propre gré. Elle est toujours nerveuse et inquiète lorsque l'on roule, mais elle semble s'habituer petit à petit à ce mode de déplacement.
ça m'agace !
J'envoie un mail disant expressément : "je suis flexible, pourriez-vous me faire des suggestions de dates pour un rendez-vous?" Et on me répond : "vous pouvez m'appeler à ce numéro pour fixer un rendez-vous."
mais punaise, si j'avais voulu utiliser mon tel pour fixer ce rendez-vous, j'aurais pas commencé la conversation avec un mail.
Je n'aime déjà pas les conversations téléphoniques. Et j'ai toujours un mal fou à comprendre les dates à l'oral.
Il y a un truc que tu devrais prendre en compte afin de t'aider à avancer :
quand un mec parle des ses conquêtes féminines, ça en fait un mec cool.
quand une fille fait la même chose, ça en fait une salope.
Si elle n'ose pas te parler ouvertement de son passé, du nombre de ses conquêtes, de la façon dont les choses se sont déroulées (avec des ruptures plus ou moins simples et plus ou moins franches) c'est peut-être qu'elle a peur de te laisser une mauvaise impression et que tu "juges" son comportement de manière négative et que ça te repousse.
si tu as tendance à la jalousie, ce que tu avoues d'ailleurs, et qu'elle a su rester en bon termes avec deux ou trois de ses conquêtes, alors peut-être qu'elle n'ose pas t'en parler.
Si tes sentiments pour elles sont sincères, alors laisse-lui son jardin secret, fait preuve de davantage de confiance. La jalousie ne me semble pas une bonne base pour construire un couple et encore moins le faire durer.
Le café – entre tradition et … tradition.
Surtout ne passez pas en Autriche, sans prendre le temps de vous arrêter quelques minutes dans un « Café » (le lieu aussi nommé Kaffeehaus) pour savourer un « Kaffee » (la boisson).
Ne faite pas l’erreur, toutefois de vous contenter de demander un « café » au serveur. En France, évidemment, on comprendrait que vous voulez un espresso. En Autriche, il vous faudra préciser quel type de café vous souhaitez qu’on vous serve entre les différentes appellations suivantes :
Mokka - Café noir sans lait ni sucre, préparé à la machine à expresso
Kleiner Schwarzer (ou kleiner Mokka) Mokka simple dans une petite tasse
Grosser Schwarzer (ou grosser Mokka) Mokka double dans une grande tasse
Kleiner Brauner Un Mokka simple avec du lait ou de la crème fouettée dans une petite tasse
Grosser Brauner Un Mokka double avec de la crème fouettée dans une grande tasse
Melange Moitié café, moitié lait servi avec de la mousse de lait
Häferlkaffee Café filtre avec beaucoup de lait servi dans une « Häferl » (grande tasse)
Franziskaner Melange (moitié café, moitié lait) avec de la crème fouettée à ne pas mélanger avec…
… le Cappuccino venu d’Italie et qui consiste en un espresso surmonté d’une mousse de lait. Il est à noter que dans certains lieux, on vous proposera un peu de * * Schlagober (crème fouetté) à la place de la mousse de lait.
Verlängerter* Kleiner Schwarzer allongé avec la même quantité d’eau chaude
Einspänner Un petit Mokka dans un verre avec beaucoup de crème fouettée (c’est le café que l’on appelle « viennois » en France)
Fiaker Un grand Mokka dans un verre avec beaucoup de sucre et un doigt de slivovitz ou de rhum
Alors, tous les cafés ne proposent pas toute la variété des cafés imaginables en Autriche, évidemment. En cas de doute, fiez-vous à la carte.
Quelques spécialités hors catégories.
les Mozartkugeln (boules de Mozart), une institution. Ces petites confiseries rondes sont faites de pâte d’amande et de nougat à la pistache, puis recouvertes de chocolat noir.
Les liqueurs au chocolat Mozart : Mélange de chocolat, mais aussi de crème, les liqueurs au chocolat Mozart apportent directement des notes fortes de cacao en bouche. Le chocolat d’origine belge se fait bien ressentir. À cela s’ajoutent aussi de légers arômes de vanille et une saveur mielleuse combinée avec l’acuité de l’alcool qui provient d’un distillat de betterave.
L’huile de pépin de courges : mais attention, pas n’importe quelles courges. Celles qu’ils utilisent proviennent de Styrie. Cette huile est traditionnellement servie avec les salades (de mâche – de préférence) avec une pointe de vinaigre de cidre. Elle est consommée, chez les hommes, dans le but de limiter les risques de cancer de la prostate.
Le chocolat Zotter - la fabrique de ce chocolat se situe à moins d’une heure de route de chez moi. Ils y fabriquent toutes sortes de chocolat à croquer ou à fondre (dans du lait chaud). Il y en a vraiment pour tous les goûts : des amateurs de chocolats noirs (voire très noir) à ceux qui préfèrent les chocolats au lait plus doux en passant par ceux qui aiment les goûts exotiques et inhabituels (Caramels, fruits, pâtes d’amandes, alcool divers, piments ou noix).
les gaufrettes Männer - dans le même ordre d’idée que la chocolaterie susmentionnée, vous trouverez également en Autriche des gaufrettes légères et croustillantes : Ces gaufrettes légères et aérées, également appelées gaufrettes napolitaines (Neapolitaner) peuvent être trouvées dans toute l’Autriche et l’Europe, mais Manner Wien est une spécialité typiquement viennoise ; vous remarquerez d’ailleurs sur son emballage rose emblématique, la cathédrale Saint-Étienne comme logo de l’entreprise Manner. Les gaufrettes se composent de 5 couches de gaufrettes et de 4 couches de chocolat à la noisette.
Enfin, en vrac et vous serez peut-être surpris… L’Autriche est la terre natale de la boisson Latella (eh non, ce n’est pas italien ), du chocolat Milka et des Pèz !
Je ne sais pas si ça va te rassurer ou pas.
Mais moi, quand je participe aux Battles (vote ou, comme pour la première fois ici, en tant que candidate), ce qui me motives, c'est la curiosité. Celle de voir comment les / mes adversaires vont interpréter le thème, de quelle manière ça les interpelle, ce que ça leur évoque. Je garde à l'esprit, toujours, qu'on a pas la même culture, pas la même sensibilité, pas la même façon de penser et que c'est ça qui fera la richesse de la Battle.
Quand je vote pour une proposition, je vote évidemment avec ma propre sensibilité, ma propre réflexion, ma propre approche du thème. ça ne veut pas dire que l'autre proposition était "nulle" ou "HS". ça veut juste dire que l'autre m'a davantage parlé - à moi - (et parfois, ça tient pas à grand chose ) Et puis, c'est un peu comme quand j'arrive dans une pâtisserie et que j'hésite entre tarte au citron et tarte au citron meringué.. un jour, je vais préférer l'une et le jour suivant, ça sera l'autre. Question d'humeur, de météo, d'heure, de lumière... ^^ bref, ça se joue à rien et j'en ai conscience quand je vote dans les Battle. Il ne s'agit donc pas de juger le gout de la personne qui a proposé l'extrait, pas pour moi, en tout cas.
Je partage en grande partie le point de vue de @Kallindra.
Je n'ai strictement rien contre cette partie de la population et j'estime qu'ils ont autant le droit de vivre leur vie comme ils l'entendent comme n'importe qui d'autre. Mais je pense que le communautarisme peut avoir un effet pervers : d'une certaine manière, ils revendiquent une certaine forme d'identité ou d'existence en marge de la société, ils mettent sans cesse l'accent sur leur différence. Comment peut-on, dans ces circonstances finir par les considérer comme faisant partie intégrante de la société ? Il y a là une forme de paradoxe qui me gène.
Curieusement, ça me fait penser à ma petite soeur.
Mariée depuis des années, elle s'appuyait tellement sur l'affection de son mari que le jour où il a fait un faux pas, elle s'est effondrée. Littéralement. Elle a sombré dans une dépression telle qu'elle ne parvenait plus à manger. Il a fallut l'hospitaliser.
La dépendance affective que cela a révélé m'a laissé pantoise et je me suis posée la question : est-ce vraiment de l'amour ? Le terme de "béquille affective" ne m'étais pas venue à l'esprit, mais est-ce ce là le rôle que le mari de ma soeur jouait (et joue toujours - puisqu'ils sont de nouveau en couple) ? le fait est qu'il s'était déclaré très peu de temps après que ma soeur se soit séparée du père de ses deux premiers enfant (compagnon violent). A-t-il juste servit de béquille ? C'est à méditer, je crois.
Sinon, pour en revenir au sujet de l'animal de compagnie. Je ne sais pas si il existe vraiment des animaux qui nous servent de béquille affective dans le sens qui vient d'être exprimé. Mais je sais, d'expérience, à quel point leur présence peut parfois nous être indispensable sans pour autant que l'on s'appuie sur leur seule affection pour avancer dans la vie. Lorsque je vivais seule avec mon chien, nous nous apportions une affection et un soutien mutuel. Mais s'il m'aidait à mieux supporter ma solitude, il ne comblait pas mon besoin de contact humain.
Je sais ce que c'est que d'avoir des animaux chez soi sans pour autant s'y attacher d'un point de vue affectif. Ma grand-mère avait des chats chez elle. Ils avaient vocation de chasser les souris. Ni plus, ni moins. Et ils n'avaient pas plus de valeur à ses yeux que les lapins qu'elle élevaient à des fins gastronomiques.
Mais mes parents ont adoptés chiens et chats dès qu'ils ont pu et j'ai grandit avec des animaux à la maison. J'ai pu expérimenter très tôt toute l'affection qu'ils sont capable de nous donner, leur empathie et leur absence totale de jugement... quoique ... Fripouille (une chatte) boudait ostensiblement si on la laissait seule à la maison durant plus de 24h. Elle était du genre à attendre notre retour, planter des yeux accusateur dans les yeux de ma mère avant de lui tourner le dos et quitter les lieux d'un pas d'impératrice profondément offensée.
Je n'ai jamais aimé l'expression animal de "compagnie", ça a une connotation de servitude, ça sonne comme "dame de compagnie". Or, pour moi, un animal qui vit dans un foyer, est bien plus que ça. Peut-on parler d'un membre de la famille ? d'une certaine façon, oui.
J'ai longtemps eu tendance à conserver, aucazou.
Mais il m'est devenu évident que le cumul d'objets et documents divers et variés était incompatible avec mes lieux de vie - qui n'ont jamais été très vastes.
D'autant que j'ai un côté assez paradoxal : je n'aime pas ranger et faire le ménage. Mais je ne supporte pas non plus que le bordel ambiant encombre mon espace vital car je me sens oppressée dans ces cas-là. Donc, ben, nécessité faisant loi, je devais bien ranger mon petit bordel de temps en temps.... ou du moins, tenter de le faire compte tenu de ce que j'avais tendance à accumuler.
J'ai donc fini par faire un travail sur moi-même et je m'efforce depuis quelques années de me débarrasser du superflu et des objets devenus inutiles.
Les vêtements trop petits vont directement chez Caritas (sorte d'Emaüs local) ainsi que les jouets des enfants et les jeux de société dont nous nous sommes lassés.
Pour m'aider dans cette démarche, je m'efforce de respecter un principe : si un objet conservé "au cas où" n'a pas été utilisé depuis plus d'un ou deux ans, il doit être évacué.
Reste le cas de mes livres... dont je n'arrive pas à me séparer ^^
Alors, il faut savoir que en tout premier lieu que je n'ai pas quitté la France parce que je ne l'aimais pas. D'ailleurs, je continue d'être un grande défenderesse de sa culture.
Si j'ai quitté la France, c'est par amour.
Mon mari a perdu son emploi en France et trouvé une belle opportunité professionnelle en Angleterre et je l'y ai suivit. Et c'est exactement le même processus qui nous a conduit en Autriche deux ans plus tard.
Nous ne connaissions de la langue de Goethe que les grandes bases : bonjour, aurevoir, s'il vous plait, merci... On a très vite appris à dire "je ne parle pas allemand" ^^
Heureusement, l'entreprise de mon époux nous a financé à tous les deux des cours pour apprendre les bases. Ensuite, ben, j'ai apprit sur le tas, contrainte et forcée par la nécessité.
au bout de 15 ans, je m'en sors pas trop mal, du moins à ce qu'on me dit.
j'ai encore beaucoup de mal lorsque les gens s'adressent à moi en parlant vite et/ ou avec un accent marqué. Il vaut mieux, également, que ça reste dans des domaines que je connais.
Niveau intégration, nos deux enfants ont toujours été intégrés au système scolaire local.
En ce qui concerne mon cercle social, il est très intimement lié à internet. Mais il faut savoir que j'ai un profil particulier. Mon isolement social dans mon pays d'accueil est donc davantage lié à mon caractère et ce que je suis qu'à des difficultés qui pourrait être lié à la culture autrichienne. Les gens y sont relativement accueillant et les lieux de rencontre ne manquent pas.
Une des difficultés auxquelles il faut faire face et à laquelle s'attendre, surtout si on souhaite une expatriation sur le long terme, comme c'est le cas pour nous, est liée au système bancaire qui exige un passif assez long pour pouvoir accéder aux systèmes de crédit. Sinon, ben, l'Autriche étant un pays européen, il n'y a pas vraiment de choc des cultures et de soucis de compréhensions ou d'a priori négatifs.
Voilà pour un bref aperçu de mon expérience personnelle sur le sujet.