@LeaPierce : j'ai déjà fait des topics de mes lectures, ce sont à chaque fois des flopics, ce n'est pas encourageant. Alors, je me fais plaise ici en mettant mes coms : un topic part vite dans les oubliettes, ici, vu qu'on revient assez souvent sur le topic, on peut revenir en arrière pour retrouver les coms 
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@Mai-Tai : je suis contente, je l'ai bien vendu alors que je n'ai pas cherché à édulcorer ma présentation. 340 pages que j'ai lu avec plaisir le soir, et cela ne m'a pas donné de cauchemar . Vu que nous avons quelques points communs, je pense qu'il te plaira aussi 
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Maintenant, je vais un peu laisser tomber le challenge pour lire...tu devines quoi? Celui que je t'ai promis de lire : un sacré pavé avec ses presque 700 pages !
@LeaPierce : désolée, ça ne m'intéresse pas de juste mettre un titre d'ouvrage. J'aime pouvoir commenter un peu mes lectures.
1- un livre non fiction : " La nuit de feu " de E-E Schmitt.
2- un recueil de poésie : " La poursuite du bonheur " de Michel Houellebecq.
3- un livre dont le titre comporte une couleur : " L'éléphant bleu " de Ysabelle Lacamp.
4- un livre qui donne faim : " La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules " de Philippe Delerme.
5- un roman publié avant 1900 : " Récits fantastiques " de Théophile Gautier.
6- un livre avec le mot "guerre" dans le titre : " De guerre lasse " de Françoise Sagan.
7- un livre qu'un popcorner vous a fait découvrir : " La mécanique du coeur " de Mathias Malzieu ( topic de Lea Pierce ).
8- un livre qui passe le test de Bechdel : " Les Inséparables " de Simone de Beauvoir.
9- un huis-clos : " Madrapour " de Robert Merle.
Robert Merle est un écrivain que j'apprécie parce qu'il arrive à parler de choses difficiles à entendre sans que cela ne nous plonge dans un insoutenable malaise.
J'ai lu de lui " Un animal doué de raison ", " La mort est mon métier " et " Fortune de France ". . Et maintenant " Madrapour " : un huis-clos qui se passe dans un avion où il est question, comme très souvent dans ses romans, des rapports et des travers humains au travers des questions existentielles, ses thèmes de prédilection.
Je ne vous cache pas que cette lecture a quelque-chose d'angoissant, on se sent enfermé avec les 15 passagers, on les écoute discuter et se disputer pour des choses parfois bien stupides et stériles. Mais la plume de Merle fait que l'histoire n'est pas indigeste. Avec ces passagers ( dans l'avion qui symbolise dans la vie ), c'est nous aussi qu'il décrit : nos émotions, nos futiles obsessions et nos côtés les moins glorieux.
Ce roman m'évoque un peu le mythe de Sisyphe : nous sommes bien comme lui, à trimballer inlassablement, tant que la roue du Temps tourne, notre bagage composé de nos croyances, de nos doutes et de nos certitudes, de nos peurs et de nos angoisses et de tout ce qui est vain dans nos vies.
Je comprends que cette lecture soit trop malaisante pour certains, elle dit ce que nous préférons ne pas voir : la part d'ombre de l'homme, sa superficialité et sa petitesse. Celle des autres, mais la nôtre aussi puisque nous ne sommes tous qu'humains.
Quelques passages qui donnent à réfléchir :
@Yennefer a dit dans La consommation de viande :
C'est valable aussi pour d'autres choses que l'alimentation.
Puisqu'on parle de l'aspect écologique.
Oui, par exemple pour tous les vêtements fabriqués en Chine ou Inde : difficile de leur échapper, mais on peut réduire la consommation de vêtements dont beaucoup seront très peu portés et encombreront inutilement nos armoires.
@LeaPierce : comme toi, j'associais le poisson aux viandes, parce que ce sont des protéines animales. Mais j'ai appris récemment que l'Académie attribue à la viande le sens de « chair des animaux terrestres et des oiseaux ». La chair du poisson (animal aquatique) n'est donc pas de la viande.
Voilà pourquoi certains végétariens mangent quand-même du poisson et des oeufs.
Quant aux produits laitiers : le lait est indigeste pour certains mais pas les fromages ( sauf exceptions ), surtout ceux à pâte dure comme le comté, le gouda, le parmesan, etc, en raison de leur teneur très faible en lactose.
@ANNE5983 : l'oeil droit de la vieille devient l'oreille gauche de la jeune ( elle regarde derrière son épaule droite ).
Avant, j'arrivais à loucher, plus maintenant. Je propose une illusion plus simple, qui ne pique pas les yeux .
@Jabba-the-Hutt : re ah bon ! Je n'ai jamais eu la réputaton d'être lymphatique .
@chickais a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :
lymphatiques Ami(e)s NUPES,
Ah bon ? Je croyais qu'ils étaient plutôt des excités qui ne pensaient qu'à bordéliser. 
Que dire après mes VDD avec lesquels je suis complètement d'accord.
Ô monde cruel qui nous plonge dans des crises qui se succèdent sans fin, vite, avant que nous ne sombrions trop bas dans le duo peur-désespoir, lissons le plus possible et donnons aux oeuvres un air de bisounours ! C'est bien ça, pour donner une illusion de réconfort, non ? 
@Marcel : on s'est donné le mot pour les champignons. Ce soir, après un peu de soupe de légumes, il y aura crèpes aux champignons ( avec ail, oignons, crème et fromage ) et sans jambon mais c'est parce que je n'en ai plus. Et crèpe sucrée en dessert.
Mon fils est ravi. Il a remarqué que je faisais assez souvent des crèpes ou des pancakes en ce moment. Sa réflexion : " t'as des envies, tu fais une grossesse nerveuse ? "
@Marie-Thérèse : uuuh, l'expression de son visage en dit long !
@apis-32 : certains de mes repas sont du régime crudivore aussi .
@chickais a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :
Par contre penser que seuls les week et JF sont des moments de regroupements familiaux, ça doit être bien triste de n'attendre chez toi que ces moments pour être ensemble
Quand je parle de regroupement familial, je l'entends au sens élargi du terme. Tout le monde travaillant, ma belle-mère réunissait tous ses enfants plus parfois sa fratrie le dimanche et cela n'était pas triste du tout, bien au contraire. On est famille chez moi. ( Je pouvais participer parce que je travaillais de nuit et 1 we/2, avant 1 sur 4 ! ). J'ai fait de même quand je me suis rapprochée de ma propre famille avec mes parents et ma fratrie. Nos enfants étaient contents de se retrouver.
Je ne vois pas le rapport avec Germinal mais inutile de me l'expliquer, je ne comprendrais pas tes arguments.
Le rapport entre individualisme et ( sur ) consommation, ce n'est pas moi qui ai eu l'idée de ce concept.
" Un des nombreux problèmes engendrés par la société de consommation, c'est l'individualisme qu'il entraîne ". Je te laisse faire tes propres recherches à ce sujet pour le comprendre .
Et t'inquiète, tu ne m'as pas froissée du tout. Je sais que nous ne nous comprendrons jamais, mais aucune importance puisque nous sommes en virtuel et que tu ne viendras jamais dans ma vie réelle perturber mes chakras .
@Artelise : en psy, les ateliers d'art thérapie sont essentiels. Y sont surtout pratiqués dessin, peinture et poterie. C'était le moment où les patients pouvaient oublier leur situation, s'évader symboliquement des murs de l'établissement pour laisser s'exprimer leur nature profonde. On voyait la joie sur leur visage de nous montrer d'eux autre-chose que leur maladie.
@Marcel : le dimanche matin, moins de monde dans les magasins. Les gens seuls préfèrent les heures de plus forte affluence.
@Music : la famille est la 1ère organisation sociale, la base de toute société. Elle est aussi un socle de solidarité qui par effet boule de neige, se répercute au-delà de ses frontières. Et la solidarité donne de la force à un ensemble de personnes.
Comment contrecarrer cette force qui représente un danger pour le gouvernement ? En favorisant l'individualisme via la ( sur ) consommation et comme cela ne suffit pas, en s'attaquant à la famille en voulant faire bosser les gens WE et F. Car ce sont là des jours qui permettent les regroupements familiaux et entretiennent la cohésion du groupe. J'exagère ? Si peu. #complotiste.
Oh ciel, pourquoi je ne me la ferme pas : y'en a 1 ou 2 qui vont me tomber dessus ( au hasard chickais ) !
Pas grave, je sais lâcher l'affaire quand ma paix intérieure est menacée #individualiste. .
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