Meilleurs messages postés par Jabba the Hutt

@Hilda-Van-Holp Ca dépend qui est aux commandes.
Quand c'est Dave Filoni par exemple, c'est bon.
Avec d'autres c'est parfois plus compliqué.

Mais même Disney avec lui même n'est pas logique.
Comme je le disais, par exemple, dans le canon Disney, avant la trilogie, la planète des Siths est Moraband -> The Clone Wars saison 6, production Disney de 2014.
Mais dans la postlogie, Disney aussi l'appelle tout à cout Exégol...

Alors que bon, dans le canon originel c'est Koriban la planète des Siths.

Et je parle même pas des utilisations plus que douteuses des personnages du canon.
Ca servait à quoi de ne pas utiliser Plaeguis dans la postlogie pour le ressortir en douce dans The Acolyte???, c'est quoi le projet derrière, d'autant qu'il était officiellement dans le canon depuis l'EP1?
Idem pour Obiwan, on veut absolument faire une série même à être en incohérence totale avec l'épisode IV (qui est quand même la base de la base de la licence). Non, Vader et Obiwan ne se recroisent pas après Mustafar.
On passe sur Boba Fet qui se trouve une âme de chevalier protégeant la veuve et l'orphelin...
Etc... etc... etc...

D'autant que certaines productions apportent des éléments hyper important dans l'ensemble du monde Star Wars.
Le mont Tantiss avec Bad Batch,
Thrawn avec Rebel et Ahsoka,
L'histoire des Mandaloriens avec Clone Wars, Rebels, The Mandalorian,
-etc...
Quand ils veulent et sont bien drivé, ils savent faire.

Et même parfois avec des éléments qui bifurquent mais s'intègrent bien pour autant. Je pense notamment au monde entre les mondes, Le père, le fils et la soeur ou encore Peridea.
C'est loin du Star wars de Lucas, mais pour autant ça fonctionne dans l'ensemble Star wars, ça rajoute, ça ne contredit pas.

J'adore Laura Felpin donc oui

@Shanna Le genre en soi, mais c'est la base les comédies romantiques

Mon coeur d'artichaud et moi même ne sommes pas du tout en accord avec toi sur le sujet

Ca fait du bien des films ou à la fin, c'est l'amour qui gagne toujours

@Shanna Ça m’avait franchement choqué en démarrant the walking dead.

Spoiler

Le mec qui rate l’apocalypse zombie causée par un virus (échappé d’un labo) parce qu’il est sur un lit d’hôpital et qui se réveille après la bataille sans savoir ce qui se passe.

Je fais partie de la génération qui a vu 28 jours plus tard au ciné, ça marque

J'ai vu le film.
Pas spécialement par ma volonté propre, plutôt mon fils qui voulait absolument le voir au cinéma.

Ben verdict, déçu.
Les dinosaures mutants, non mais voilà quoi
Et les incohérences tout au long du film....

Bref, un reboot ou encore une fois on fait des images mais un truc sans queue ni tête en surfant sur le nom d'une franchise.

En ayant les deux points de vue, je trouve dommage plusieurs choses:
-le manque d'adaptation de la méthode d'Astier (après on a tendance à reproduire ce qu'on a réussi donc...).
Ne pas partager le scénario avec les acteurs, ça me semble ubuesque.
Tu as un projet, tu regroupes des gens autour, mais jusqu'au dernier moment, tu leur dis rien de ce qu'ils vont faire, faut faire confiance au gourou.
L'intelligence collective est un levier de réussite phénoménal.

-le fait d'être rester rigide vis à vis des demandes de l'acteur.
Bordel, dans un grand projet (et un film me semble en être un) faut pas que chacun fasse ce qu'il veut mais chacun est en mesure d'apporter des choses à son niveau que le chef d'orchestre n'avait pas forcément prévu.
Savoir écouter et intégrer quand c'est nécessaire, c'est un gage de réussite.
D'autant qu'on de pilote jamais un grand projet pour soit même. Faut avoir l'humilité de mettre son égo de côté.

-La renonciation de l'acteur, parce que si tu participes pas, tu ne peux pas changer les choses quoiqu'il arrive. Et en plus c'est toi qui passe pour celui qui boude qui lâche l'affaire ou qui lâche les autres.

Au final, des problématiques de personne conduisent à une réalisation de moindre qualité (parce qu'un Kaamelott sans Perceval, on dira ce qu'on veut, c'est moins qualitatif).

On est quand même au top du top du nanar