@Kallindra Disons qu'il y a des grilles également dans le privé, mais ça ne fonctionne pas tout à fait comme ça pour gravir les échelons.
Et oui, bonne chance @Cuillère, ça va le faire 
@Kallindra Disons qu'il y a des grilles également dans le privé, mais ça ne fonctionne pas tout à fait comme ça pour gravir les échelons.
Et oui, bonne chance @Cuillère, ça va le faire 
@Artelise a dit dans L'argent fait-il le bonheur? :
Parce que même si on ne contrôle pas tous les aspects de notre vie
Je trouve ça hyper important de prendre la pleine conscience et la pleine mesure de cela.
Ca a un aspect libérateur important.
@Hilda-Van-Holp Ton véhicule n'est pas pris via ton entreprise?
Ca te reviendrai sûrement moins cher à tout point de vue.
#réactiondepatrondetected 
Je vous remercie de vos réponses très intéressantes sur le sujet et au travers d'elle, on voit vraiment qu'il existe des approches assez différentes qui sont également le fruit d'expériences personnels.
Pour ma part, et je vais tenter d'apporter une réponse personnelle mais également la plus exhaustive possible.
Je viens d'un milieu populaire, donc forcément avec une certain vision fantasmée de l'argent et de la possession d'argent.
Je pense qu'on (et je vais parler pour mon couple car depuis maintenant longtemps nous traversons la vie en team duo) a vécu tous les types de situation.
Des étudiants désargentés au fin de mois difficiles au jeune couple avec un gros roulement d'argent mensuel, de la famille moyenne avec un seul revenu pour tout boucler au couple de quadra aisés avec ados.
Comme vous l'imaginez, on a donc fait le yoyo entre des situations confortables et des situations qui l'était beaucoup moins voir carrément précaires (de notre fait, ou du à des situation externes).
Chaque situation a demandé des ajustements plus ou moins important dans notre appréhension de notre vie, de nos envies, de la recherche du bonheur.
Plus facile dans un sens, plus technique dans l'autre à priori vous vous doutez. Mais on pourra y revenir.
En revanche, j'ai pu noter dans tout cela qu'il y avait une constante. La trajectoire vers l'aisance financière libère l'esprit de problématique matérielle de base. C'est certain. Et donc, en ce sens, on pourrait dire que l'aisance financière contribue au bonheur.
Cependant, à mesure que l'aisance financière éloigne les problématiques de base, elle comme l'eau d'une marre qui baisserait, elle fait apparaitre d'autres problématiques, plus existentielles, plus relationnelles, plus personnelles etc...
Pour ma part, j'ai du beaucoup travailler des complexes personnels par exemple.
En ce sens, le bonheur peut toujours se refuser à celui qui ne manque pas. L'argent ne fait donc pas le bonheur.
J'ai noté également que la perte de l'aisance financière après une période fast, conduit également à se recentrer sur ses priorités. Qu'est ce qui contribue à mon bonheur, qu'est ce qui ne sert à rien. Et cela ne conduit pas forcément à être moins heureux (j'ai des souvenirs de moment très heureux de ma vie quelque soit la période).
Nous avons donc pu observer que l'argent n'était pas un vecteur réel de bonheur pour nous.
Mais cela n'est possible qu'en ayant eu l'opportunité de régler l'ensemble des problématiques qui peuvent nous empêcher d'atteindre le bonheur.
Pour moi donc, ce n'est pas un vecteur de bonheur. En manquer ou pas créera plus ou moins de facilité, mais atteindre le bonheur, c'est avant tout être en paix avec soit même.
Et ça, c'est bien plus difficile (avis personnel) qu'avoir de l'argent.
Nous avons vécu avec très peu, nous avons vécu avec trop, mais notre bonheur a toujours été ailleurs en fait.
PS @Kallindra , ma maison au bord de l'océan n'est encore qu'un vecteur. Le bonheur, c'est ma femme et moi sur une plage au couché de soleil. J'ai pas besoin de maison pour ça 
@Hilda-Van-Holp Ah ok.
Mais tu pourrais faire en sorte que ton véhicule pro puisse faire le perso aussi.
Fiscalement, c'est juste un changement d'avantage en nature.
Et tu n'es pas assujettie à une charte comme moi pour le choix de la voiture 
@Kallindra a dit dans L'argent fait-il le bonheur? :
Donc non le salaire universel c'est de la connerie.
Si je peux me permettre, le revenu universel c'est un mirage, mais pas pour ce que tu exposes.
Que les salaires soit indexé au niveau d'études, de responsabilités etc... des métiers en question, c'est assez logique au final.
En revanche, le revenu universel est un leurre.
Parce qu'avoir un revenu commun à tous, déjà ça ne va pas empêcher ceux qui veulent plus de continuer à bosser etc.... et donc gagner plus.
Mais surtout, parce que cela va juste conduire à une inflation des prix pour se recaller sur un nouveau niveau de vie moyen égale à revenu universel + salaire moyen.
Et donc, ceux qui seront aux revenus universel simple... ben l'auront dans l'os.
@Marcel Je suis pas certain justement que ça fonctionne...
Il me semble qu'il y a quand même un bon gros problème de recrutement au sein de la fonction publique en général.
@LeaPierce Mais ça, ça s'appelle le droit au chômage en fait.
Le but du revenu universel c'est de tout fusionner pour optimiser la gestion de tout le bordel social étatique pour fournir un revenu de base qui permet de vivre à tout le monde (j'ai bien dit tout le monde hein, même Bernard Arnaud, sinon c'est pas universel).
C'est pas un revenu au cas ou.
Mais ça ne résiste pas 10 minutes au besoin sociétaux et au comportement humain.
Si on veut que les besoins de base soient assurés, plutôt qu'un revenu, on ferait mieux d'étendre énormément le parc étatique de logements et de créer un panier alimentaire de base.
@Egon Le Swag de Popcorn est avec toi de toute façon 
Même si les sujets d’argent c’est toujours casse gueule, je pensais pas foutre autant de boxon 
@Miss-Audrey Je viens de voir que tu n’es pas VIP.
Faudra donc attendre un peu pour ma réponse. 
@Antigua Oui, décrypter le processus de sélection et répartition des effectifs est totalement délirant 
Il y a parfois des décisions totalement incohérentes reflet d'un processus totalement arbitraire et déconnecté des réalités du terrain et des personnes.
C'est à mon sens un des gros problèmes de la gestion RH dans le publique.
Pourtant, en terme RH etc... le publique est souvent bien mieux doté. Tout le paradoxe de fonctionner avec plus de monde dans des processus totalement inadaptés et de cramer de la ressource pour rien.
@Miss-Audrey a dit dans L'argent fait-il le bonheur? :
Tu veux dire des complexes et de la culpabilité d'être sorti de ton milieu social d'origine ? Si oui, je serais curieuse que tu développes un peu plus, si ça ne te gêne pas et si tu parles bien de ça
Je me suis permis de répondre en MP
@Shanna Je pense, mais je peux me tromper, que ce n'est pas une question de moyen mais surtout de process mis en place.
En dehors naturellement de la mise en place de gratification pour les projets complexes etc... C'est un sujet connexe. Mais si c'était fait correctement, les demandes d'affectation serait différente de la part des profs.
Tu as besoin de quoi au juste pour traiter correctement le sujet?
-Une bonne remontée d'information sur la situation de chacun?
c'est facile à mettre en place via les équipes de direction de chaque établissement. Ca devrait être leur rôle d'ailleurs.
-> tu as une bonne matière première: ressource existante, qualification, particularité à prendre en compte, demande d'affection etc...
-Une base de donnée nationale facile à mettre à jour et bien exploitable?
Ca me semble être la base que tout bon informaticien devrait maitriser. Et c'est facilement trouvable et déployable.
-Une bonne capacité d'analyse croisée des données récoltées
Même Excell sait le faire en fait donc c'est pas vraiment une question de moyen. Faut juste trouver l'outil qui va faire ce que tu veux.
Et là, on a déjà traité 90% des cas au bas mot sans avoir encore consommé vraiment de moyens.
Ensuite reste les 10% de conflits qui vont ressortir de l'analyse croisée.
Là seulement tu commences à taper dans les moyens humain à ta disposition pour analyser finement et prendre des décisions plus ciblée qui en plus pourront être mieux expliquer.
Pour moi le souci, c'est pas le manque de moyen.
Le sujet, c'est qu'on fait mouliner des gens comme des hamsters dans des roues sans aucune notion d'efficience global de l'action menée.
Parce que quand tu regardes les études sur l'efficacité de l'action publique, tu t'aperçois que les indicateurs qui déterminent l'efficacité de l'action, ne sont pas justement basés sur l'efficacité réelle de l'action, ou seulement une vision partielle.
Sur la gestion RH, l'indicateur d'efficacité c'est pas le nombre de poste vacants comblés, c'est pas le nombre d'enseignant recrutés.
En fait, c'est pas que, c'est aussi le nombre d'enseignant fidélisés (ie la durée moyenne en poste), le niveau de satisfaction des enseignant vis à vis des affectations, le nombre d'enseignant qui vont faire de la cooptation, etc...
Et d'ailleurs on voit qui qu'en considérant seulement certains indicateurs et en occultant les autres, on finit par dégrader même les premiers car on mène les mauvaises actions.
@orabig a dit dans La semaine des 4 jours :
@jabba-the-hutt C'est vrai. Mais ce n'est pas parce qu'il y a plein de cas où la situation actuelle n'est pas idéale qu'il faut s'interdire d'aller de l'avant et de tester des trucs !
Ça s'appelle creuser les inégalités.
Et pour le coup, je ne parle pas pour moi, je fais partie des privilégiés.
@Shanna Tu sais que jusqu'à il y a peu, dans les grands groupes privés on gérait des projets à plusieurs milliards d'euros avec Excell 
On est pas sur du logiciel hyper cher, mais ça sait presque tout faire.
@orabig C'est pas ce que je dis.
Ce que je dis, c'est qu'on a pas digéré les 35h encore et que le passage aux 4 jours vont encore avantager les mêmes. Ça va encore accentuer le sentiment qu'il y a de plus en plus une France à de multiples vitesses.
Et je ne suis pas certain que la France a besoin de ça aujourd'hui.
Faire en sorte que tous les travailleurs aient vraiment accès aux 35h n'est pas du nivellement par le bas.
Au contraire c'est un progrès social énorme.
@Elenwey Ah merde, désolé de l’apprendre.
Ça nous est arrivé dans les mêmes conditions, un long retour, tu arrives chez toi et tout est sans dessus dessous.
Je connais bien les sentiments que vous pouvez avoir là 
Ton chez toi a été fouillé par des étrangers c’est particulièrement désagréable. Des gens sans vergogne qui vivent de larsins sur le dos des autres.
Heureusement ce n’était pas quand vous étiez là.
Courage à vous.
@orabig Ça marche déjà pas avec le télétravail....
Dans plein de boite, la mienne compris, on a demandé aux gens d'être super adaptable, de gérer le business en TT etc...
Ils ont reussit, putain l'adaptation des gaulois réfractaires a été phénoménale dans l'ensemble.
Les boites ont même plutôt bien fonctionné avec parfois des années très bonne, c'est le cas de la mienne.
Et maintenant, faut expliquer que le TT finalement c'est pas top....
Le monde du travail est complètement schizo.
Alors vouloir demontrer le bienfait des 35h....
Les patrons ne connaissent que l'intransigeance des règles du code du travail.
Faut pas démontrer, faut imposer. Mais faut passer les lobbys et se souvenir que le pire employeur de France..... ben c'est l'état.
@Miss-Audrey Porte toi bien et reviens nous en pleine santé!
@parhasard Je ne sais quoi trop répondre à cela si ce n'est que tout ce qui est avancé ici correspond à des statistique macro sur des générations et à un décryptage du contexte économique actuel en comparaison à ce qui a pu être.
Donc en macro, une génération peut s'en sortir bien mieux que les autres tout ayant au sein de celle-ci, des individus qui s'en sortent très mal.
Ca veut juste dire génériquement, plus d'individus s'en sortent plus mal dans les autres générations.
Mais oui, il existe des X, des Y, des Z qui s'en sortent et s'en sortiront mieux que certains boomers. Ils sont juste beaucoup moins nombreux et auront de manière générale beaucoup plus d'adversité structurelle et systémique en face d'eux.
A profil égal, il est plus dure aujourd'hui de s'en sortir qu'en 1980.
Tu as l'air de prendre le sujet à titre perso, il n'y a pas d'accusation. Juste des éléments qui doivent mener à une prise de conscience sur ce que vivent les actifs et surtout les jeunes aujourd'hui.
Concernant le travail qui payait, oui, faut voir que début 70 quand un employeur déboursait 100 pour du salaire, le salarié touchait en net avant IR 69.
En 1990, quand l'employeur déboursait 100, c'était 60 pour le salarié, toujours net avant IR
Aujourd'hui, quand l'employeur déboursait 100, c'est 54 pour le salarié, et toujours net avant IR.
Ca veut dire que sur un salaire médian (50% des français gagnent moins, 50% des français gagnent plus) de 2183 euros (donnée Insee), un employeur débourse 4042 euros et un salarié de 2025 devraient toucher entre 2425 et 2789 euros si il était traité comme avant.
On peut tout à fait imaginer la différence de trajectoire de vie.
Ce ne sont pas vraiment les salauds de patron qui taillent les actifs...
Voilà là réalité à laquelle les actifs et surtout les jeunes qui doivent faire leur vie sont confrontés.