Oui je possède des verres duralex.
Et non je ne suis pas et ne serait pas acteur du sauvetage de Duralex.
Pourquoi? Parce que c’est l’exemple type du fait qu’on ne s’improvise pas capitaine d’industrie comme ça (oui oui les salops de patron sur lesquels on adore vomir) et que la démocratie au sein de l’entreprise (promu par la Scoop) n’est pas en capacité de prendre les bonnes décisions pour l’entreprise, sa survie et ses salariés donc.
Sur le papier c’est beau. Mais quand les enjeux sont trop grand le collectif n’est pas capable de prendre et plus encore d’assumer les décisions qui s’imposent.
Je continuerai à acheter des verres duralex si ça existe toujours mais je ne mettrais pas 1ct dans modèle d’entreprise auquel je ne crois pas.
Après je ne suis pas certain que les investissements et le business modèle soit réellement viable.
L’impact énergétique sur la fabrication est monstrueux, ont-ils modernisé l’outil de production????
Le positionnement du produit, idem etc...
Bref, assurer la prospérité d’une entreprise ce n’est pas appuyer sur un bouton et ça roule. Contrairement à ce qu’on pourrait visuellement en penser.






