• S'inscrire
    • Se connecter
    • Recherche
    • Catégories
      • Communauté Actualité Cinéma Jeux Lectures Médias Musique Quotidien Séries Société
    • Récent
    • Mots-clés
    • Utilisateurs
    • Groupes
    1. Accueil
    2. Miliam
    3. Meilleur sujets
    • Profil
    • Abonnements 0
    • Abonnés 1
    • Sujets 4
    • Messages 487
    • Meilleur sujets 282
    • Contesté 0
    • Groupes 0

    Meilleurs messages postés par Miliam

    • RE: Vos vacances idéales

      @want-wish
      Le nudisme c'est une personne qui se met nu à la plage (parfois ça arrive que ce soit des voyeurs) et quand elle rentre chez elle, elle est toujours habillée.

      Le naturisme c'est une philosophie de vie. C'est l'acceptation de son corps, des corps (et donc aller au-delà des diktats de la société), donc de la tolérance de l'autre. Tout le monde est a égalité en général, pas ou peu de bijoux et plus de discrétion. En fait, on essaye de diminuer la position sociale de chacun au sein de la société.

      C'est aussi vivre en communion avec la nature et des animaux, le respect de la nature (écologie, ne pas jeter des déchets par terre etc.). Et les voyeurs sont très mal reçus. C'est pas vraiment bien vu dans notre société latine car je pense que y'a des gens qui ont un problème avec la nudité et que y'a une certaine hypocrisie. Je suis contre le naturisme mais mater des pubs ultra-sexualisées à longueur de journée ou des pornos ça ne me pose pas de problème. C'est là que pour moi, y'a un problème. Quand le sujet vient sur la table, les idées que les gens ont c'est souvent d'ordre sexuel, qu'il doit y avoir des partouzes, que les gamins doivent y passer alors que... bah non. Je ne me souviens pas en avoir faite ah ah.

      Je ne parle même pas quand il s'agit des enfants alors que j'ai grandis là-dedans et des copains/copines aussi et on pratique toujours, on a pas de problèmes psychologiques liés à cela. Je n'ai jamais trouvé le naturisme comme étant malsain, au contraire c'est plutôt le regard des gens intolérants qui, pour moi, montre à quel point les gens ont un problème. Je trouve ça plutôt sain le naturisme, car ce n'est pas mentir, tricher et c'est rapidement assimiler que les corps des magasines ne sont pas la réalité par exemple. C'est pour ça que, personnellement, je n'ai que très rarement été complexée par mon corps.

      En fait, c'est comme si on était dans la rue mais à poil et aussi avec beaucoup plus de tolérance et d'acceptation de l'autre. Je pense que ça pourrait aider beaucoup de personnes complexées par leur corps. Et d'ailleurs, on distingue le corps ainsi que les parties de celui-ci, de la sexualité. Un corps nu n'est pas à sexualiser. Tout est dans comment on regarde l'autre.

      posté dans Sorties - Voyages
      Miliam
      Miliam
    • RE: Bernard Werber

      Un de mes auteurs préférés. J'adore son style d'écriture très fluide où on voyage facilement, les univers qu'il crée sont très intéressants. Je trouve qu'il est vraiment brillant (en sachant qu'il a écrit les fourmis lorsqu'il était adolescent) car ses livres amènent plusieurs dimensions de réflexion. Je pense que c'est un auteur vraiment unique en son genre doué d'une grande sensibilité et subtilité.

      J'ai lu : Les fourmis, les thanatonautes, l'empire des anges, nos amis les humains, le livre du voyage, l'encyclopédie du savoir et absolu, le père de nos pères... j'en ai d'autres de lui que je n'ai pas encore lu dont la prophétie des abeilles, le miroir de cassandre, demain les chats etc.

      posté dans Auteurs
      Miliam
      Miliam
    • RE: Le topic déprime (quand t'es triste)

      @Laly Courage ! Dis-toi que c'est quelque chose de provisoire. Le meilleur est peut être à venir :). Prends bien soin de toi !

      posté dans Carte blanche
      Miliam
      Miliam
    • RE: Into the Wild

      Je ne l'ai pas vu mais j'aimerai vraiment bien ! Il a l'air super !

      posté dans Films
      Miliam
      Miliam
    • RE: Les limites entre perception et interprétation

      @bingo

      Alors… le pervers narcissique est une classification psychanalytique. Il n’apparaît pas dans la classification psychiatrique tel que le DSM V. Notamment parce-que cela fait débat et pour certains professionnels de la santé cela n’existe pas. Pour d’autres si.

      En théorie, le pervers narcissique fait partie de la classification des perversions. Dans cette classification psychanalytique, on retrouve deux types de pervers : le sexuel (qui apparaît dans le DSM) et le narcissique.

      • Le pervers sexuel regroupe les exhibitionnistes, voyeurisme, frotteurisme, masochisme, sadisme, pédophilie, fétichisme et transverstisme. C’est une déviation par rapport à l’acte sexuel normal. Il a besoin de l’autre pour « jouir » mais dans le sens psychanalytique du terme.

      • Le pervers narcissique, lui, est assez égocentrique et a une haute estime de lui. Il n’a pas d’empathie pour les autres et les instrumentalisent pour « jouir ». Leur capacité d’aimer l’autre est déficiente. Un coup il est fort sympathique et agréable, une autre fois pour x raison vous êtes limite la pire personne qu’il a rencontré et cherchera à vous détruire. Il manipule beaucoup et utilise des mécanismes d’emprise. Souvent il se tourne vers des personnes fragiles, détruit le psychisme de l’autre, joue sur les non-dits, le doublé-sens des mots, ment, insinue etc. Mais dénie la réalité pour se protéger des souffrances. La faute est niée, banalisée, rejetée sur les autres. Il n’y a pas de conflit pour lui. Et peut aussi se placer en victime. Les relations sont souvent sous emprise, assujettissement et asservissement.

      Ce qui est problématique c’est que le terme pervers narcissique est devenu un véritable fourre-tout. Ce n’est pas parce-qu’on a été avec quelqu’un de toxique qu’il est forcément pervers narcissique. Un mari violent n’est pas forcément pervers narcissique etc. Ça rejoint finalement le post de départ : les limites entre perception et interprétation.

      Pour les psychopathes, je l’ai expliqué plus haut.

      La différence entre psychopathes et sociopathes est très fine, porte à confusion. Ce qui les rassemble c’est un désintérêt pour les lois et normes sociales, pour les droits des autres, une absence de remords ou de sentiment de culpabilité, ainsi qu’une tendance à un comportement agressif.

      Les sociopathes seraient plus émotionnels. Par exemple ils auraient tendance à être plus nerveux, ont souvent des crises de colères, au niveau social et culturel c’est assez bas. C’est compliqué pour eux d’avoir un travail stable dans le temps. Ils n’est pas facile de former des liens avec les autres même si ce n’est pas totalement impossible. Les crimes et délits seraient plus désorganisés et improvisés.

      Les psychopathes, eux, planifient et manquent d’empathie. Enfin selon un de mes profs, ils ont de l’empathie mais pas de sympathie. Ils sont incapables de créer des liens. Ils charment souvent qui fait que ça leur permet de manipuler les autres. Ils sont intelligents, ont un travail stable, plutôt une bonne place dans la société. Ils contrôlent leurs émotions. Ils sont plutôt froids et calculateurs.

      Il est difficile de faire des généralités sur ces personnes atteintes de ces pathologies. Notamment sur leur histoire et comment ils en arrivent là. C’est au cas-par-cas. Qu’est-ce qui fait qu’on va avoir telle pathologie et pas d’autres ? C’est encore une question qui n’est pas complètement résolue dans le domaine de la Psychologie. L’inné, l’acquis ? L’environnement, la personnalité, l’histoire familiale, les comportements de la famille etc. Beaucoup de choses jouent dans notre développement en tant qu’individu.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Miliam
      Miliam
    • RE: Rage Against the Machine

      Je ne connais qu'une chanson et j'aime beaucoup Killing in the name. Une chanson hyper engagée, puissante... Top du top !

      posté dans Artistes
      Miliam
      Miliam
    • RE: Service gangrené

      @Calcifer
      Je comprends votre colère. C'est difficile dans pas mal de domaines. Comme partout, il y a des personnes qui triment, d'autres moins, d'autres peut être beaucoup moins.

      J'ai cette tendance à penser qu'il y a un changement sociétal qui s'opère. Les valeurs changent. Notamment, au travers du phénomène du Quiet Quitting. C'est le fait de faire son travail sans trop en faire (pas de surimplication surtout pas en dehors des horaires de travail, pas d'heures supplémentaires etc.). C'est faire son travail dans les règles du contrat de travail et du code du travail. En d'autres termes, c'est agir à la hauteur de son salaire.

      Ce qui est en contradiction avec ce qui est véhiculé par certaines cultures comme les Etats-Unis au travers du terme Hustle Culture. C'est la culture de la surperformance au travail. Se dépasser au travail, s'impliquer à 200% pour faire de grandes choses etc.

      Le Quiet Quitting c'est lever le pied au travail et établir une frontière très claire entre la vie professionnelle et la vie privée pour éviter de craquer afin d'avoir une vie plus sereine. Refuser des appels en dehors des heures de travail etc.

      En même temps, quand je vois comment mes parents, grands-parents etc. ainsi que d'autres proches ont morflés, ont de sacrés problèmes de santé à cause de leur travail, je comprends tout-à-fait que le rapport au travail change avec le temps et que les mentalités évoluent. Si c'est pour payer des problèmes de santé parfois conséquents liés au fait qu'on a trimé toute sa vie... quand on sait que selon les stats, certaines personnes meurent peu après le temps de leur retraite parce qu'ils ont eu des boulots pénibles par exemple... le travail est important mais la santé l'est beaucoup plus à mes yeux.

      Après entre être dans le Quiet Quitting et ne rien faire... c'est deux choses différentes.

      posté dans Études - Travail
      Miliam
      Miliam
    • RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)

      En ce moment, les gens m'exaspèrent et je ressens le besoin de vivre dans une maison dans la forêt tellement je n'en peux plus.

      Encore aujourd'hui, je vais au supermarché... Un client va voir mon copain en lui demandant Salut vieux, tu sais où sont les bières ? - Bon, même si on a trouvé ça un peu déplacé, on en a rigolé parce-que le mec n'était pas désagréable.

      Puis, un client âgé qui fait des commentaires sur les femmes. Avec la caissière on se regarde et on se comprend. Du coup, bah je dis ouais bah je trouve qu'on est vaaaachement patientes nous les femmes. Ce qui a fait rire la caissière.

      Enfin, le client pas loin de moi qui commence à dire que c'est la dernière fois qu'il vient ici (parce-que ça n'allait visiblement pas assez vite pour lui).

      Je passe, la caissière me donne mon ticket et je dis bien fort Bonne soirée et surtout bon courage hein !. Les caissières me répondent merci (mais un merci du style "on en aura besoin").

      De toute façon, dans ce supermarché près de chez moi, y'a pas mal de cas qui viennent. Et je trouve les caissières courageuses, parce-que niveau conditions de travail, c'est pas la folie que d'avoir des clients bien souvent mal élevés et grossiers.

      posté dans Carte blanche
      Miliam
      Miliam
    • RE: Shining (The Shining)

      Film culte ! J'aime beaucoup ! Et puis Nicholson ! OMG ! Quel acteur brillant !

      posté dans Films
      Miliam
      Miliam
    • RE: Les limites entre perception et interprétation

      @bingo

      Sur le plan hormonal, je ne sais pas. Par contre, je n’ai jamais parlé d’amusement en ce qui concerne les psychopathes. Et tous les psychopathes ne passent pas forcément par la case criminalité. Parler des délits c’est important aussi. Le psychopathe ce n’est pas le grand méchant sadique comme dans les films. C’est des stéréotypes et en aucun cas la réalité.

      Également, je n’ai jamais dit que certaines personnes sont prédisposées à devenir mauvais. J’ai expliqué que certaines personnes, en fonction de plusieurs facteurs (inné, acquis, famille, personnalité etc.) ont des facteurs de risque d’avoir une pathologie. Pathologie ne veut pas dire mauvais même dans le cas de la psychopathie. La notion de mauvais renvoi aux ressentis, au jugement. Là, je me dégage de tout jugement de valeur. Je n’ai pas parlé de facteurs de risque dans mon message précédent mais ça allait en ce sens. Je n’ai peut être pas été assez claire. En tout cas, cela reste des facteurs de risques et en aucun cas une fatalité. Certaines personnes ne déclareront jamais une pathologie mentale alors qu’ils avaient les facteurs de risque. Les professionnels parlent parfois de résilience par exemple, ou encore des ressources internes des personnes. Dans certaines pathologies, y’a des transmissions familiales à différents aspects et pas que au niveau de l’héréditarité. Y’a des personnes qui déclarent une pathologie mais y’a déjà des facteurs de risques qui peuvent être pris en compte quand on voit le fonctionnement familial par exemple. Mais ça ne veut pas dire que ces personnes vont déclarer une pathologie. Par contre, dans la psychopathie il me semble que y’a des facteurs héréditaires en effet. Après, la psychopathie ne relève pas de mon domaine de compétence donc je ne peux pas affirmer ou infirmer grand-chose. Mais ramener à des fondamentaux et savoirs que j’ai acquis dans ma formation.

      En fait, il y a le diagnostic de psychopathie mais il y a aussi la personne que l’on rencontre. Une pathologie ne définit par une personne et il ne faut pas, à mon sens, la déshumaniser peu importe la pathologie. Y’a une histoire de vie derrière qui explique le pourquoi du comment une personne est comme ça. Et ça peut parfois paraître tabou vis-à-vis du grand public mais c’est une réalité de terrain des professionnels de la santé qui travaillent dans la champ de la pathologie mentale.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Miliam
      Miliam
    • RE: Queen

      Mon groupe préféré. Il résume en partie mon adolescence voire mon enfance car j'écoutais déjà avec mon père dans la voiture. J'aurai aimé les voir en concert avec Freddie Mercury mais malheureusement ça n'a jamais été possible. J'ai vu le film où j'ai eu des étoiles pleins les yeux. L'univers musical est original, complet, très travaillé pour certaines musiques. Bryan May est incroyable, Freddie... y'a pas de mots pour décrire ce prodige et Roger Taylor... un musicien tellement complet et excellent. J'aime pratiquement toutes les musiques, je crois que mes préférées sont : You don't fool me, Flash, Bohemian Rhapsody, Save me, Dragon Attack...

      posté dans Artistes
      Miliam
      Miliam
    • RE: Que pensez-vous du jilbab et du qamis ?

      @ayamé
      Bah c'est ça aussi le problème, c'est qu'on regarde ça avec nos yeux d'occidentaux. Par contre, je ne pense pas que le voile empêche de se faire importuner dans la rue, à partir du moment où on est une femme de toute façon... J'ai une amie qui a croisé un mec qui lui a dit après de longues et pesantes allusions sexuelles : "je vais te dévoiler". Ce qui voulait clairement tout autant dire "je vais t'arracher ton jean pour te sauter et sans te demander ton avis". Quelle horreur !

      @Myra-flore
      Quel est le rapport entre le fait que des femmes portent un certain type de voile sans y être contrainte et "qu'elles aillent passer qq mois en Afghanistan" ? Porter le voile c'est plus une question spirituelle pour les musulmanes européennes, ce qui n'a rien à voir avec l'Afghanistan.

      posté dans Histoire - Religion
      Miliam
      Miliam
    • RE: Mode de vie : le minimalisme

      44b457ee-2eb5-4524-9611-1b4ddee8c2a8-image.jpeg

      Qu’est-ce que le minimalisme ? La définition du minimalisme selon le Larousse est « une recherche de solutions requérant le minimum d’efforts et de bouleversements ». Cette définition est somme toute très vague et laisse à chacun une grande marge de liberté pour (ré)inventer sa propre définition du minimalisme. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours accordé une grande importance à la liberté. En effet, je trouve important de s’approprier les choses, de s’en imprégner pour leur donner le sens qu’on souhaite leur donner. Ensuite, quand on s’est bien imprégné d’un concept, d’un raisonnement ou d’une idée, il est nécessaire de construire sa propre définition et de définir ses propres règles.

      Malgré cette marge de liberté, il me semble que le minimalisme s’appuie sur des bases universelles, des idées fondamentales dont on ne peut pas le désolidariser. Un peu comme le pot de confiture et son couvercle, vous voyez ? Un pot à confiture peut exister sans son couvercle mais il ne peut pas se fermer. S’il ne se ferme plus, la confiture va finir par pourrir. Au pire, on pourra en faire un verre ou un pot à pinceaux mais il ne sera plus un pot à confiture. C’est pareil avec le minimalisme 😉.

      1. Le minimalisme, c’est avant tout réduire sa consommation

      La base fondamentale du minimalisme est la réduction de notre consommation , et ce dans tous les domaines de notre vie : possessions matérielles, relations personnelles, activités, loisirs, etc. C’est simple à dire ou à écrire mais moins simple à mettre en application dans un monde qui ne cesse de nous inciter à consommer toujours plus. Il faut pouvoir résister aux sirènes de la publicité et de la pression sociale. Et ce n’est pas une mince affaire, croyez-moi ! Parfois, on est tellement conditionné à avaler tout ce que la société nous propose qu’on ne se rend même plus compte qu’on est gavé.

      Pour éviter la surconsommation, commencez par dégager la publicité de votre vie et vous verrez les premiers effets très rapidement ! Si vous voulez continuer à regarder la télévision, faites-le en replay, cela vous évitera d’être tenté par l’achat de la dernière mousse au chocolat 🙂 Pour consommer moins, interrogez-vous sur la réelle nécessité de vous acheter tous ces objets ou ces affaires à chaque fois que vous allez faire du shopping dans un centre commercial le week-end.

      En avez-vous réellement besoin ? Ou est-ce une simple habitude pour lutter contre l’ennui ?

      Avoir moins, vivre avec peu d’objets est une chose que je pratique depuis quelques années et ça me fait un bien fou. Lorsque j’étais enfant, j’étais entourée de centaines d’objets (jouets, stylos, vêtements, jeux de société, déguisements, babioles en tous genres, etc). En effet, mes parents m’achetaient régulièrement de nouvelles choses. C’était leur façon de me montrer leur amour. En grandissant, j’ai commencé à étouffer sous le poids de toutes ces possessions. C’est bien simple, je ne savais plus où donner de la tête tellement j’avais de choix. En plus, ma chambre était tellement remplie qu’elle se dérangeait plus vite que son ombre. Et ça c’était très désagréable pour l’adepte du rangement que j’étais !

      Un jour, j’ai découvert les livres de Dominique Loreau et j’ai eu envie de m’alléger du superflu et de ne garder que l’essentiel. Je me suis alors mise à faire du tri ! Je me suis débarrassée (non sans mal) d’un paquet de choses qui ne me servaient plus depuis bien longtemps et j’ai tout donné à une association près de chez moi. Depuis, à force de désencombrer, je me suis perfectionnée et j’ai appris à mieux cerner mes véritables besoins. Aujourd’hui, il m’est devenu beaucoup plus facile de me séparer des objets inutiles.

      Adopter un mode de vie minimaliste, c’est aussi faire du tri dans ses relations, ses amis. J’ai réalisé que j’entretenais certaines relations par habitude et non par réelle envie. J’ai donc laissé tomber certaines amitiés et j’ai créé des nouvelles relations, plus épanouissantes et enrichissantes. J’ai fait la même chose pour mon emploi du temps : du vide. Moi qui avais l’habitude d’avoir toujours quelque chose à faire, comme si toutes mes plages horaires devaient être occupées, j’ai appris à ne rien faire de particulier. J’avais peur de m’ennuyer au début si je n’avais rien prévu et en fait, pas du tout. Cela m’a fait un bien fou !

      2. Le minimalisme implique de s’accepter et s’aimer tel que l’on est

      Quand on décide de se lancer dans le minimalisme, on apprend à se contenter de peu et à trouver du bonheur et de la satisfaction dans ce que l’on possède déjà. Et cette satisfaction va bien au delà de la simple consommation de produits matériels. Symboliquement, c’est aussi s’accepter tel qu’on est, avec toutes nos richesses. C’est pouvoir se dire qu’on est suffisamment bien tel qu’on est, qu’on a de la valeur sans avoir besoin d’artifices et que l’on n’est pas obligé de porter un masque social valorisant pour se plaire et plaire aux autres.

      Plaire aux autres, être conforme aux attentes de la société, à ses normes, aux attentes de nos parents, de notre conjoint, de nos amis requiert beaucoup d’énergie. Etre en accord avec ses valeurs, avec son moi profond, privilégier l’être à l’avoir et au paraître, est primordial pour avoir une vie plus épanouissante. Tout comme se détacher du regard des autres, de leurs jugements et de leurs attentes, pour écouter et se laisser guider par notre propre voix intérieure.

      Le minimalisme, c’est aussi prendre ou reprendre le contrôle de sa vie et refuser de se laisser diriger par des objets ou des normes sociétales. Je ne sais pas vous, mais personnellement j’aime me sentir libre et indépendante dans mes pensées, mes choix et les actions. L’idée de me faire dicter ma conduite ou ma façon de penser par une société qui ne me connait même pas et qui se moque de mon bien-être me fait froid dans le dos.

      3. Le minimalisme nous aide à prendre conscience que notre temps est précieux

      Notre société nous pousse à travailler plus pour gagner plus, à remplir nos carnets d’adresses et nos agendas de nombreux amis et activités en tous genres. Ainsi la plupart des gens pensent que c’est cela profiter de la vie : travailler plus pour gagner plus d’argent, pour acheter plus d’objets, pour faire toujours plus d’activités et collectionner les relations comme les timbres. La quête du bonheur au travers de la consommation est une course sans fin et vous allez forcément la perdre !

      Depuis quelques années, je prends de plus en plus conscience que mon temps est précieux et limité et que je n’ai pas envie de le passer à faire des choses qui n’ont pas de véritable sens pour moi. Il n’est pas facile de s’arrêter et de se concentrer sur l’essentiel lorsque l’on est dans le brouhaha incessant de la vie. Il est donc important de faire des retraites de temps en temps pour faire une mise à jour de sa vie et s’interroger sur la qualité de celle-ci.

      Lien de l’article : https://une-vie-simple-et-zen.fr/qu-est-ce-que-le-minimalisme/https://lesbonnespoires.fr/wp-content/uploads/2019/02/minimalisme_header.jpg

      Quelques vidéos qui vont plus loin :

      Et vous, que pensez-vous du minimalisme ? L’êtes-vous ? https://lesbonnespoires.fr/wp-content/uploads/2019/02/minimalisme_header.jpg

      posté dans Maison
      Miliam
      Miliam
    • RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)

      Je m’aperçois depuis quelques jours que je ne suis pas comme d’habitude. Je ne me reconnais pas trop. Ce qui m’a fait dire cela, c’est que je m’énerve facilement et pour des choses que je trouve parfois insignifiantes ou même, je ressens que je suis tendue. J’ai du mal à lâcher prise. Là où d’habitude j’ai plutôt un recul et je prends les choses autrement. Je suis même assez calme et posée.

      Pour exemple, récemment j’ai eu l’AG de ma copro et j’ai eu affaire à un voisin faisant de la manipulation psychologique aux autres copropriétaires (culpabilisation, menaces etc.) parce qu’il a des différents avec le syndic dont il est responsable et non-pas le syndic. En temps normal, je serai passé au-dessus ou j’aurai glissé des subtilités en mode bienveillance mais j’y suis allée assez frontalement. En ce moment, j’ai du mal à rester dans mon crédo de la bienveillance.

      D’autres exemples encore me viennent en tête.

      Cela fait plus d’un mois que je suis malade à cause des enfants qui me refilent leur crève. Je dors mal, mon sommeil est perturbé, je ne fais plus de nuit complète et correcte depuis des semaines. Du coup, je me sens plus irritable, parfois des petites choses vont me contrarier.

      Dans ma famille, c’est compliqué aussi. Entre le décès de mon chat qui m’affecte pas mal (d’ailleurs, ça va être les premières fêtes sans lui, j’en ai déjà les larmes aux yeux rien que d’y penser), mon frère qui ne va pas bien du tout au niveau de études (il frôle le burn-out) alors je suis là pour lui car il ne veut pas en parler aux parents pour ne pas les inquiéter. Aussi, j’appréhende toujours les fêtes dans ma famille car je sens que c’est un sujet tendu. Encore avant-hier, je demande à mes parents si je les voient le 24 (car le 25 on se voit mes parents, les parents de mon conjoint et mes parents ne m’ont rien dit pour le 24). Notamment parce que mon conjoint voulait qu’on se fasse Noël tous les deux vu que le 25 on voit nos parents. Je ne savais pas trop car vu le passif de ma famille, c’est toujours compliqué. J’en ai marre que ce soit compliqué. J’aurai bien dit oui à mon conjoint mais je sentais que je ne pouvais pas dire oui par rapport à ma famille. Quand je demande si je viens le 24, mon père me dit que oui et ne s’offusque pas. Ma mère qui me rappelle des heures plus tard (parce qu’elle se pose certainement des questions et a des inquiétudes - d’ailleurs, rien que de le savoir ça me saoûle) et j’ai cru que j’allais déclencher une guerre pour avoir posé cette question. Elle a commencé à monter en pression toute seule, en usant de manipulation pour savoir pourquoi j’ai posé cette question (et ça, ça m’agace - puis-je poser une question sans qu’il n’y ai de retombée ?). Heureusement, j’ai su gérer. Surtout qu’elle a une problématique autour de l’abandon, elle a du mal à gérer ses émotions… le relationnel avec ma mère est compliqué bien que je l’aime. Elle a des comportements toxiques liés au fait qu’elle a peur d’être abandonnée donc son appel ne m’étonne guerre car c’est clairement en lien avec ça. Mais j’en ai marre de payer ses comportements car elle a des problèmes depuis des années, que j’en ai beaucoup souffert, qu’elle en est consciente que y’a quelque chose qui ne va pas mais ne fait rien pour régler ses problèmes. Et plutôt que de lui dire la vérité, gourde que je suis, je lui ai menti en lui disant que j’étais très fatiguée et que je n’avait pas fait attention. C’est un demi-mensonge dans un sens car il est vrai que je suis très à l’ouest en ce moment car je me sens épuisée, fatiguée. Je sais, c’est pas bien, c’est con même. Pourquoi lui cacher les choses ? Mais ma mère a des côtés imprévisibles et je ne sais pas toujours comment réagir.

      Une amie qui est exécrable quand on fait des soirées alors qu’en l’espace de plus de 10 ans que je la connais, elle n’a jamais été comme ça. Du coup, je suis un peu énervée mais j’essaye de me raisonner donc finalement je suis aussi inquiète pour elle. Depuis sa nouvelle et fraîche relation, je la trouve changée et pas forcément dans le positif. Je me demande si elle est vraiment heureuse pour casser ses amis ou passer ses nerfs dessus. Et quand on lui dit ce qui ne va pas, on se trompe et ce n’est pas vrai.

      Une autre amie qui me fait des reproches parce que je n’ai pas pris de ses nouvelles durant un mois alors que j’ai eu beaucoup à gérer ces derniers temps. Elle pouvait m’envoyer aussi un message pour prendre de mes nouvelles, ce n’est pas interdit. Je lui ai expliqué calmement ce que je vivais ces derniers temps mais je ne me sens pas vraiment comprise. Et sa réflexion du début « pas de nouvelles, bonne nouvelle ? » m’a assez affecté. Elle m’avait déjà reproché que je ne lui envoyait pas de messages il y a quelques mois alors qu’elle ne répondait pas à mes messages. À un moment, j’ai abandonné, je me suis dit que comme elle est en dépression, elle a peut être besoin d’être seule et elle reviendra quand elle reviendra. Et bien non, pour elle je devais lui en envoyer même si elle ne répondait pas car elle lisait quand même les messages. Elle m’avait dit s’être sentie abandonnée etc. En gros, je me suis pris des reproches limite comme si je n’ai pas assuré dans mon rôle d’amie. Pour moi, je l’ai vécu comme quelque chose d’injuste. Notamment parce que quand j’étais aussi en dépression, je n’avais pas de nouvelles de sa part et je n’en ai jamais fait toute une histoire parce que je me disais qu’elle avait sa voir. Je le ressens comme étant faire des histoires pour rien mais je me dis aussi qu’elle est en dépression et que ce n’est pas facile pour elle, qu’elle ne se rend pas compte etc.

      En fait, je ne me sens pas que en colère mais assez triste, fatiguée, usée. J’en ai marre de faire en fonction des gens, d’être touchée par leurs comportements alors qu’en soi je ne devrai pas être touchée par ça. Y’a plus grave dans la vie. Et puis, j’ai du mal à récupérer alors en ce moment, je crois que j’accumule pas mal. Du coup, le point positif c’est que je prends soin de moi et je me remets en question, je travaille aussi sur moi.

      posté dans Carte blanche
      Miliam
      Miliam
    • RE: L'Armée des douze singes (12 Monkeys)

      Film culte ! Il faudrait que je me le regarde une nouvelle fois car je m'en souviens plus. Par contre, j'avais adoré quand je l'avais vu.

      posté dans Films
      Miliam
      Miliam
    • RE: Stéréotypes, clichés et idées reçues... sur vous

      @shanna

      Comme tout professionnel de n’importe quel domaine, je perçois des choses. Comme le boucher sait voir une bonne viande, un menuisier un bois de qualité… oui je remarque des choses chez les gens. C’est tout-à-fait normal mais ce n’est pas de l’analyse. Et non, je n’analyse pas, je n’ai pas d’avis à donner sur les gens ou les problèmes qu’ils peuvent me confier. L’analyse se déroule dans un cadre bien précis. Je n’analyse pas mes amis, ma famille, les gens. Un ami c’est un ami, la famille c’est la famille, le boulot c’est le boulot. Je ne sais pas si les gens se rendent compte à quel point ça peut être déjà épuisant en consultation alors si je devais m’amuser à analyser les gens que je croise… j’aurais pas fini.

      posté dans Sciences Humaines et Sociales
      Miliam
      Miliam
    • RE: Clara Luciani

      J'aime vraiment son univers musical. Les paroles sont bien choisies et j'aime bien son engagement notamment envers la cause des femmes. Ses chansons sont bien écrites notamment Cœur que j'affectionne beaucoup. Y'a des influences assez rétro dans ses chansons et j'aime bien. J'ai ses deux albums et j'aimerai bien la voir en concert.

      posté dans Artistes
      Miliam
      Miliam
    • RE: Écologie : pourquoi c'est l'unique voie ?

      L'écologie, bien qu'il y ai beaucoup de Greenwashing (comme les voitures électriques, certaines grandes anciennes qui se mettent au green alors que quasiment rien ne l'est chez eux etc.), est pour moi une voie importante. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de la politiser, mais plus de la mettre en pratique +++.

      Je ne pense pas que l'on puisse changer du tout au tout mais je reste convaincue qui si tout le monde fait un effort, que chacun prenne ses responsabilités... eh bien que ça ai un impact. Quand je sors dehors, le nombre de gens qui jettent leur masque, leur mac do, les bouteilles remplies de pisses jetées sur le bord de la route par les routiers et j'en passe. Je ne parle même pas des grosses entreprises qui n'en ont rien à faire, tout comme la France et ce qu'elle fait en Chine ainsi que dans d'autres pays concernant ses propres déchets...

      Et ce qui me fait penser que si tout le monde fait un effort, c'est quand il y a eu le confinement. Le trou de la couche d'ozone était sur le point de se reboucher. Je ne dis pas que les gens doivent rester confinés, mais je pense qu'en changeant nos habitudes et que les gens agissent enfin comme des adultes responsables... bah on peut changer ce qu'il se passe dans notre environnement.

      L'écologie ça concerne tout le monde même celui qui n'est pas d'accord avec ce domaine. Avoir de l'eau potable et buvable au robinet sans qu'on puisse se choper des maladies, avoir un environnement respirable et globalement sain, avoir des fruits et légumes de bonne qualités en évitant les pesticides qui sont responsables de maladies que tu peux choper, avoir des cosmétiques sains sans aucun composants cancérigènes ce qui évite d'avoir de gros soucis de peau et des cancers, et pourquoi pas non-testés sur les animaux (ça montre bien que y'a un problème si on en teste plus les animaux que sur les humains, c'est que y'a quelque chose à craindre finalement)... ? Qui n'a pas envie de ça ? Qui a envie de manger et de consommer de la merde à en développer des maladies ?

      Parfois je comprends ces écolos extrêmes car quand je vois les gens se comporter, comme des enfants pourris gâtés et méprisants "les éboueurs sont là pour ça" et j'en passe; Par contre, quand les éboueurs font grèves, c'est insupportable de marcher dans leur propre crasse. J'y pense, mais ça m'arrive de vouloir mettre des claques à certains, que leurs parents ne leur ont jamais mise. Pourtant je n'aime pas la violence, mais je ne comprends pas comment on peut être aussi... bah de se comporter comme un connard et n'en avoir rien à foutre.

      posté dans Écologie - Nature
      Miliam
      Miliam
    • RE: Bonnet de nuit

      @Carl_Jung
      Oui c'est ça. Après j'aime bien ceux présentés par Ayamé.

      @ayamé
      Ah oui ! Un foulard ça peut être intéressant aussi ! Je voulais m'en trouver un lorsque j'ai les cheveux un peu gras histoire de tenir un jour de plus.

      posté dans Maison
      Miliam
      Miliam
    • RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)

      @LeaPierce
      Je n'arrive même plus à être polie x). Mais oui, j'y penserai !

      Merci à toutes pour vos messages ❤ !

      posté dans Carte blanche
      Miliam
      Miliam
    • 1
    • 2
    • 3
    • 4
    • 5
    • 6
    • 14
    • 15
    • 4 / 15