Le topic déprime (quand t'es triste)
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@Egon
Sincères condoléances. -
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@Elenwey Merci à toi.
Il y a une semaine. Je n'ai jamais eu de réponses.Je vais suivre vos conseils ; je pense malgré tout être devenue le mouton noir de la bande.
Merci à tous. -
Ben voilà, pas le moral. J'ai des choses importantes à dire et je me sens enfermée comme dans une bulle partout.
Jusque chez moi et dans mon Messenger.
J'ai même pensé appeler prévention suicide pour discuter. Je vous rassure, je ne veux pas me suicider mais je ne sais plus que faire.
Je m'enferme chez moi car avec mes problèmes de santé, je fais peu de choses depuis juin. Mes sorties se limitent généralement à faire les courses.
Ici, il y aura un spectacle samedi et j'aurais aimé y aller. Je ne sais pas si j'en serai capable car il me faudra rester debout assez longtemps.
Voilà problème de pieds qui ont duré 8 mois et j'avais récupéré la forme. Fin juin, un autre problème au dos cette fois.
Et deux autres gros problèmes qui me minent chaque jour que je n'ose pas parler. -
@wawa007 plein de soutien à toi ! viens ici pour parler si cela te fait du bien !
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@Biquette
@Cynthia80 @Music
merci pour vos soutiens.
Oui, je passe pas mal de temps sur internet pour me changer les idées car tout ce que j'aime, je dois presque faire une croix dessus.
Pour vous donner un exemple, j'aimais faire des gâteaux mais ici, quand je fais un cake, c'est déjà bien. Je fatigue très vite. -
@wawa007 oui passe ici il ya toujours du monde !
pour le spectacle, ce serait possible d'y aller avec ta propre chaise pliante, en demandant d'abord à l'organisation ?
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@wawa007 Mince, c'est vrai que, malheureusement, quand la santé part en vrille, c'est difficile de voir la vie en rose.
Il faut se dire que ça peut être passager. Je suis de tout coeur avec toi.Il y a quelques années, j'ai eu des souci de santé qui se sont cumulés avec des difficultés au travail. Et puis le confinement est arrivé qui m'a permis de prendre soin de ma santé. Quant au travail, le problème s'est réglé de lui-même plus rapidement que prévu même si ce qui s'est passé me reste en travers de la gorge.
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@Antigua non, ce sera pas passager à moins d'un miracle.
Mais bon, il y a bien pire comme situation.
Heureusement, je n'ai plus les grosses douleurs insupportables que j'avais au début.
@Biquette oui, j'y ai pensé mais tout le monde sera debout, donc si je m'assieds je ne verrai pas grand chose.
Je pense prendre des médicaments pour la douleur avant d'y aller et éventuellement un taxi car je devrai me garer bien loin pour accéder. (un ou deux kilomètres) -
Et moi j'ai le covid... faut voir le positif : du temps pour venir sur le forum ! Je vous lis souvent, mais j'ai pas forcément le temps de répondre .
entreet
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J'ai compris pourquoi j'étais ignorée de mes collègues. Les bruits de couloirs, et puis, je suis arrivée durant une conversation qui mettait en avant que je travaillais trop, que j'étais corvéable à merci, que je m'amusais un peu trop à jouer la psychologue de comptoir auprès des élèves. Que je n'étais pas à ma place.
Cela me fait souffrir. Je vais essayer de rencontrer du monde. Mais où ? Je vais fréquemment dans les bars pour lire, écrire. Je n'ose pas forcément aller vers les inconnus. Parfois, je me fais draguer par des garçons bourrés. Se faire des amitiés à 30 ans... est... délicat...
Je vais éponger ma peine en vous lisant ce week-end !
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@Astyanax Je pense que le mieux est de fréquenter des clubs ou associations en lien avec tes passions, tu auras plus de chance de faire des rencontres.
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@Astyanax, ces collègues ne te méritent pas, ça ressemble à de la jalousie... au mieux de la bêtise à répéter des choses sans les vérifier (pourquoi ne pas en discuter directement avec toi ?!)
Tu mérites d'être entourée de personnes bienveillantes et qui reconnaissent tes qualités et ton investissement dans ton travail.
Je te souhaite de les trouver. N'hésite pas à aller dans un club qui propose une ou des activités qui te plaisent, cela prendra peut-être un peu de temps, mais tu trouveras sans doute plus facilement des personnes qui te ressemblent.
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Voilà, j'ai réussi à aller au spectacle. Un peu cassée ce dimanche mais au moins le moral est remonté.
Je vous mets un aperçu du spectacle -
@Astyanax Je réagis modestement avec du retard à tes messages sur le sujet pour dire avec déception que je ne connais pas vraiment la recette miracle pour rencontrer des gens mais que je me suis reconnu dans les grandes lignes sur tes sensations du moment, du moins il y a quelques années. Pour avoir lu tes écrits sur le forum comme je le fais régulièrement pour tous en mode fantôme, on ne m'ôtera pas de l'idée que ta personnalité me semble passionnante à un haut degré et que de lire et écrire dans un bar c'est trop du style sa mère toi-même tu sais. Pour de vrai hein. Pas possible qu'uniquement des types shootés à la dose de Ricard viennent à toi. La situation va tourner. Quand, pourquoi, dans quelles circonstances, qui, quoi, quand, pourquoi, demain, je sais pas, quand, je sais pas, mais ça tournera.
Affectueusement. -
Merci à tous pour ces messages qui réchauffent le coeur. Qui ressemble assez loin à un vieux mouchoir dégueulant de morve.
Je vous lis ; je médite.
Je n'arrêterai pas d'écrire dans les bars ; le monde m'inspire, même s'il me laisse pour le moment, la tronche contre le sol. Je me place moi-même dans cette situation, étant réservée comme tout.
Je tenterai les clubs ; j'avais essayé jeune... J'étais sacrément mal à laise.
Comme dit Bertrand Cantat :
Elle se penche parfois de son nid d'hirondelle
Daigne me recevoir, ne me laisse pas de place pour m'asseoirBref, merci.
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@Astyanax J'ai clubbé pour me sortir la tête de l'impasse à merdes dans laquelle je m'étais fourré il y a 3 ans. Enfin si par clubber on entend bien d'une manière générale les bars de nuit, d'ambiance, et ce genre de barnum. Si ça ne rentre pas là-dedans c'est toutes les lignes suivantes qui tombent dans le ravin. Bref. Je raconte en quelques lignes pourquoi j'ai clubbé (enfin si par clubber on accepte l'idée que je tenais essentiellement en otage les serveuses du bar grâce à mes commandes pas peur de me retrouver dans la foule de danseurs/danseuses). J'y allais non pas pour un pipe-show mais pour me "rassurer". J'étais probablement au summum de mon sentiment personnel à mon égard à savoir que j'étais vide, un zéro total. Marre de mes contradictions, je me voyais clairement asocial, on me jurait la main en l'air que j'étais un monstre de sociabilité, j'étais clairement un timide maladif de fou furieux mais on me jurait le genou à terre qu'au bout de 10 secondes j'envoyais la saucée avec des discours ininterrompus. Putain. Branle-bas de combat général. Quelques semaines après une fin de relation dans des circonstances inédites et violentes par rapport à l'alarme émotionnelle que j'ai pris dans la face, je me décide donc à franchir le cap et moi perclus dans mes certitudes absolues que je suis un monstrueux laidron, timide, creux comme un joueur des Brooklyn Nets, je me décide à allez swinguer mon cul tout maigre sur le dancefloor. J'envoie le paquet, huile à barbe à la noix de coco, chino beige, parfum Azarro pour nous les hommes (payé 50 euros de moins grâce au comité d'entreprise sinon j'aurai tourné à l'eau de toilette Scorpio en bon prolo), petite lunette RayBan avec branche coloré en marron pour l'intellect, veste de tricheur qui donne l'illusion d'être costaud avec épaule à fort densité de rembourrage, le BG est dans la place et s'apprête à renifler de la donzelle. Au final tout ce que j'ai reniflé c'est de la coke. Sinon par rapport à mon ressenti, mon expérience, mon bilan par rapport à mon expérience de jet-setteur, je dirais que certes ça n'a pas gommé (pas encore) certaines de mes certitudes, mon estime de moi-même est assez basse mais j'ai quand même récupérer quelques points de confiance et que finalement il y avait un reflet dans le miroir. J'ai accroché à mon tableau de chasse non pas des petites culottes mais des heures de discussions de minuit à 8h du matin chez les inconnus. Beaucoup de sourires/rires chez mes interlocuteurs et particulièrement chez mes interlocutrices. J'ai bandé dans mon slip de bébé très fort si tu me permets l'expression. Car oui ça me remontait sacrément le moral. Parfois des rencontres sans lendemain et on s'en fou, parfois des filles que tu revois plusieurs fois en soirée, en boîte, en after et qui deviennent des copines de fêtes tant que tu continues, parfois des opportunités de galipettes cendrées qui ne rencontre pas de concrétisation parce que. Parce que je voulais juste m'assurer que j'existais. Avoir plus, une nouvelle copine, un plan de zizi ou que sais-je encore n'était pas une option à ce moment-là. J'ai voulu tester mon aptitude à non pas séduire, charmer ou autres, mais à intéresser. Et le bilan à ce niveau-là est plutôt très positif. J'ai fait ça 6 mois environ quasi chaque week-end. Mon budget brosse à poil de sanglier et d'huile à barbe a explosé. Il a explosé alors que pourtant quelques lignes plus haut j'ai juré par tout les saints que la séduction ne rentrait pas en ligne de compte. Finalement je m'étais bien pris au jeu et une petite confiance m'animait. Inédit. Incroyable. J'en garde de bonnes rencontres sans jamais les provoquer, de bons numéros de téléphones sans jamais les avoir demander, de bonnes opportunités que je n'ai jamais sollicité. Et des compliments. Des compliments qui réchauffent le coeur. Les compliments de nos proches, sincères ou juste pour nous remonter le moral, nous faire plaisir? J'ai testé avec des nouvelles personnes, dans les bars, boîtes etc. Uniquement avec celles et ceux en capacité de discuter + de 4 heures d'affilée sans se fatiguer. Sincère ou non, je repartais avec ma petite tuture dans mon bled pommé heureux. C'est un univers en mode roulette russe, certes il y aura des soirs ou tu te diras "putain c'est la dernière fois que j'y vais" et d'autres ou....
Il n'y aura pas que des gars qui prennent le whisky pour du Jafaden Multifruits. Et surtout dans ce bar, dans cette boîte, il n'y aura pas d'autres Astyanax. Les débuts peuvent être hésitant, la peur du ridicule être présente, la sensation d'être l'erreur de casting côtoyé le stress. En tout cas moi je ressentais ça tout le temps. Presque tout le temps. Déjà une victoire. Pas à pas. Step by step comme disent les délinquants. Quand à toi, si tu tentes l'expérience, alors vogue vers ce club, retourne-y encore, écris comme tu parles, parles comme tu écris et alors tu auras comme sur le forum de nombreuses personnes qui vont te kiffer. Dés ta première sortie en club? Le promettre serait t'induire en possible erreur. La 2éme fois? Je ne sais pas. La 3éme? Je ne répondrai pas. La 4éme? En vérité pas bien grave. L'essentiel c'est de prendre des points de confiance, se méfier sans crier au loup dés le contact établi. Tout un équilibre. Franchis la porte et souviens toi, il n'y aura pas d'autres Astyanax dans ce club. C'est ta première force. Et pas la moindre. -
Absolument adorable et impromptu.
J'allais souvent en club, et je me souviens des soirées entières dans les fumoirs avec des inconnus.
Ton message était sacrément chaleureux, drôle, et pointu. Cela me fait penser au bouquin que je lis actuellement : L'Homme qui danse de Victor Jestin. Sauf que tu étais dans une quête bien différente.
Au fond tout ces gens rêvaient de quitter cet endroit. La boîte n'était que leur lieu de passage, leur lieu de chasse. Il suffisait de les regarder pour le comprendre. La plupart se fichaient de la danse, cela se voyait dans leurs yeux, dans leurs corps pressés ; ils ne pensaient qu'à trouver quelqu'un et s'enfuir avec. Dans leur urgence à jouir il ne profitaient de rien, bâclaient la fête pour vite conclure, coucher, se délester de leur désir. J'aurais voulu les retenir, que la nuit ne se termine jamais, qu'une sorte de lave ou de brume entoure la boîte et nous force tous à y faire notre vie, à y dormir, à y rester.Mais...
Je parlais des clubs proposés par les membres ici-même quelques messages plus tôt : lecture, trucs, trucs, trucs. Je te rattrape au fond du ravin, n'aie crainte.
Aller au club seule, je ne sais pas si j'oserais. J'attends de voir si j'attrape quelques personnes avec mon exotisme de planquée.
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@Astyanax Doux Jésus. Suis-je bête.
L'intention était là, la compréhension moins.
Je me déconnecte et je pars en boîte sur le champ.Edit: J'ai quand même pas de chance, même quand je veux être sérieux à peu près, chui hors-sujet. C'est un signe bon dieu.
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@Koursk
Je te sers un Rhum-Oasis Tropical Zéro, 2ème table à droite après le bar