Les trucs insupportables
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@Jonesy peux-tu imager la couleur choisie par ton client ? Ça m'intéresse.
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Le dépanneur qui vient ,déballe ses outils,et renifle toute les 30 secondes ,sans se moucher une seule fois!
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@Jonesy a dit dans Les trucs insupportables :
Le client qui trouve que :
le vert-kaki-
caca-marron-mordoré qu'il avait choisit y a trois jours était mieux...
Ça vous dérange pas si on repart la dessus?Non çà me dérange pas..
Je te laisse réfléchir à ton épitaphe. Tu as 2h.De mon côté j'aime bien ceux qui veulent reprendre la main sur mon travail.
Genre la plaquette bien léchée et paginée faite sur InDesign, pleine de gabarits, de repères, de feuilles de style, en objets, caractères et paragraphes.
Et là le client souhaite qu'en plus des exports pdf, je lui fasse parvenir la maquette en format "word".Mais le pire que j'ai connu consistait en un magazine complet d'une soixantaine de pages pour lequel j'ai réalisé toute la forme (l'identité, les rubriques, les gabarits, le folio, tout)
Je bosse alors en indé pour une petite agence A, laquelle est en plus sous-traitée par une plus grosse boite B, laquelle rend compte du rendu final au client C (un gros institut public). Autant de niveau de validation qui pouvaient rendre les allers-et-retours ubuesques. Mes propositions pour chaque page devait littéralement passer 3 sas. Une pauvre rubrique pouvait parfois me demander entre 15 et 20 versions différentes (!).
On fait ça plusieurs trimestres, le marché arrive à son terme, et l'appel d'offre est relancée. Contre toute attente et malgré nos efforts, nous la perdons (quand je dis "nous" c'est "A"). Bon là je suis partagé entre l'agacement de perdre un marché, mais le soulagement d'être débarrassé d'un process/usine-à-gaz qui aurait fini par me ruiner la santé physique autant que mentale.
Et c’est là que "A" me demande mes fichiers natifs. Pour les envoyer à "B"... ou "C" (je ne sais plus et je m'en fous, c'est pas la question).
Ah oui mais non. Hors de question que je cède comme ça mes fichiers natifs, c'est littéralement le squelette du mag, l'outil longuement élaboré et pensé pour m'épargner de longues heures de travail superflux. Je me suis engagé à livrer des exports pdf, mais ces fichiers sont à moi, rien ne m'oblige à les céder. Et encore moins à la boite qui va reprendre la main sur mon boulot.
Dans une démarche on ne peut plus professionnelle, je soumet un devis pour les vendre, à un très bon prix, je le précise. C'est refusé."Non, mais ils vont pas les utiliser tes fichiers, c'est juste pour les archiver, un truc comme ça"
(ca c'est le directeur de prod de "A" qui s'est de toute évidence déjà engagé à tout livrer à "B/C", pensant que le gentil petit directeur artistique que je suis allait se montrer coopératif.
Per-du
)
Moi : "Bon ok, vous savez quoi ? Je vais vous les envoyer vos fichiers."
Et je l'ai fait... après avoir tout saboté comme un porc.
Gabaris modifiés, la definition des images écrasée, des vectos pixelisés (cradement), des polices altérées -voir manquantes-, des eps et png convertis en ignobles gifs, des valeurs pantones glissées un peu partout (j'ai même du coller de l'or par endroit), des repères et marges variables selon les pages, des profils d'exports fantaisistes (genre ça va sortir certaines images en 12 dpi, d'autres en noir et blanc, etc...) et pour finir j'ai sauvegardé le tout dans une version bizarre, celle que je jugeais la moins compatible avec tout ce qui existait alors.Voila, je me suis fait plaisir à rendre le tout le plus inexploitable possible. A tel point que repartir de la page blanche aurait demandé moins de temps que de rattraper mon carnage. J'ai envoyé le tout et n'ai plus eu de nouvelles depuis de B ou de C.
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@Peri a dit dans Les trucs insupportables :
Gabaris modifiés, definition des images écrasées, des polices altérées, voir manquantes, des eps et png convertis en ignobles gif, des valeurs pantones glissées un peu partout (j'ai même du coller de l'or par endroit), des repères et marges variables selon les pages, des profils d'exports fantaisistes (genre ça va sortir certaines images en 12 dpi, d'autres en noir et blanc, etc...) et pour finir j'ai sauvegardé le tout dans une version bizarre, celle que je jugeais la moins compatible avec tout ce qui existait.
mmh çà se réfléchit
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@LeaPierce C'est couleur caca vert, mais avec des paillettes.
Il parait que c'est très tendance en ce moment ...dire que c'est une grande marque ItalienneLe client :
"Vous savez,
si je suis à ma place, et que vous êtes à la votre,
c'est parce que je vois des choses que vous ne voyez pas encore" -
@Jonesy a dit dans Les trucs insupportables :
Le client :
"Vous savez,
si je suis à ma place, et que vous êtes à la votre,
c'est parce que je vois des choses que vous ne voyez pas encore"🤨 Le culot du type !!!
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Les gros ronfleur
Du genre "on dirait un moteur de camion qui dort à coté de toi" -
J'utilise un bloqueur de pub ainsi je vois 0 pub sur YT
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Aujourd'hui, c'est bricolage de jardin. Au programme nouvelle mangeoire pour les oiseaux et... je crois qu'il y a une place en enfer pour celui où celle en charge d'aligner ces pas-de-vis.
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Un collègue m'a fait remarquer que mon agenda était super beau, jusque là c'est cool
. Je réponds poliment en expliquant pourquoi je choisis cette marque d'agenda etc. Et là... le collègue prend mon agenda et l'ouvre... non, pire, il le feuillette et carrément s'arrête sur des pages et commence à les lire !
Il a dû voir la tête que je faisais parce qu'il m'a dit "haha je suis peut-être indiscret pardon", mais j'étais tellement estomaquée que j'ai juste répondu "eh bin..." (et dans ma tête je criais OUI C'EST EXTREMEMENT INDISCRET, mais incapable de le dire vraiment).
Il n'y a rien de honteux dans mon agenda, mais bon, ya genre mes rdv médicaux, et des quantités d'autres trucs totalement perso. Enfin je sais pas si c'est moi qui ait un pb avec l'invasion de la vie privée, mais je sais pas, pour moi c'est inconcevable de faire ce genre de trucs.
J'en reviens toujours pas que ça l'ait pas gêné une seconde de commencer à lire mon agenda oklm. -
@shanna tu as besoin. De t'affirmer un peu, dire son désaccord ça a rien de belliqueux. T'imagine tout le bordel si chacun prenais la mouche à chaque fois que le voisin est pas d'accord ?
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@barbouille Non mais je ne disais pas que dire mon désaccord équivaudrait à être belliqueuse, je disais que ça exigerait d'être belliqueux que de tuer mon collègue (la suggestion de Dirty Cop)
.
En temps normal je n'ai pas de difficulté à exprimer mon désaccord, c'est juste que là j'ai été très surprise par le comportement de mon collègue, prise de court quoi...
Enfin c'est + de la naïveté que du manque d'affirmation de ma part, j'ai tendance à tomber des nues (naïvement donc) quand un de mes collègues fait un truc idiot ou indélicat. -
@shanna bon au moins il s'en est rendu compte alors c'était peut-être pas obligatoire d'en rajouter encore une couche.
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@shanna pardon je ressors des commentaires d'il y a 10 ans (je suis récente j'ai le droit
) je voulais juste dire que tu m'as fait beaucoup rire.
Quelque chose qui m'agace au plus haut point, c'est le manque de civisme sur la route et le manque de politesse, dans la rue, au bureau...
Exemple => Sortie de gare aux heures de pointe, tu vas pour passer la porte, quelqu'un arrive, tu tiens la porte pour la personne et la laisse passer, la personne en question pense apparemment que tu as été créé pour ça : lui tenir la porte. Donc pas de merci et bien sûr les 15000 autres qui attendent pour la passer cette porte, se mettent eux aussi en tête que tu es LA teneuse de porte officielle. Un cale-porte vivant quoi...
Autre chose, les vendeurs/vendeuses qui te suivent dans tout le magasin en insistant lourdement, j'ai tendance à tout reposer et ressortir aussi sec.
Et les gens qui te piétineraient bien volontiers pour avoir leur fichu métro. Parce que bon vous comprenez, il n'y en a que toutes les 4 minutes.................
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@missbagheera quand tu y es habitué cest quand il ne ronfle plus que ca te reveil.
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@orabig Le nombre de fois où j'ai été reprise parce que j'écrivais "oups, au temps pour moi"
La langue française et ses nuances..
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Quand on veut faire la grasse matinée, mais que le voisin décide de percer des trous sur un mur porteur.
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Au supermarché quand on se dirige vers une caisse libre, mais qu'au dernier moment quelqu'un passe devant avec son chariot plein.
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Quand on s'aperçoit que la caissière a 2 de tension, mais qu'il est trop tard pour changer de file.
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Ceux qui ralentissent tellement en arrivant au feu vert qu'il finit par passer au rouge.
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Dans les transports en communs, ceux qui parlent trop fort au téléphone en racontant leur vie. Ceux qui bloquent la sortie avec leurs sacs de courses, poussette et/ou enfants agités. Ceux qui stationnent à gauche sur les escalators (alors que tout le monde sait que l'on stationne à droite et l'on avance à gauche). Ceux qui veulent rentrer sans attendre que tout le monde sorte (...)
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@yoyo a dit dans Les trucs insupportables :
Ceux qui ralentissent tellement en arrivant au feu vert qu'il finit par passer au rouge.
Ils ont pourtant raison. C'est un truc que m'avait dit mon moniteur d'auto-école et que j'ai jamais oublié : à l'approche d'un carrefour, si le feu est vert pour toi, il faut quand même bien ralentir et être sur tes gardes, parce que s'il y a un feu et non pas une simple prio à droite ou un simple panneau, c'est généralement parce que la visibilité n'est pas bonne, et surtout parce que tu ne peux pas présumer que tous les autres automobilistes vont respecter les feux rouges et conduire parfaitement bien. Il faut toujours garder à l'esprit qu'un conducteur soûl ou juste imprudent peut débouler à toute allure, en grillant son feu rouge, et te percuter de plein fouet.
Bref, c'est pas parce que toi tu conduis bien que les autres le font aussi, et ceux qui ont des accidents sont rarement ceux qui roulaient doucement. -
@shanna ce conseil la je l applique surtout de nuit et ça m'a évité l'accident une ou 2 fois
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@icescream C'est vrai que c'est surtout valable pour la nuit ou quand on conduit dans des coins un peu désertiques, où il y a + de chances que les autres automobilistes grillent des feux. En plein jour, on entend et on voit mieux venir les autres voitures.