Acteurs: Kevin Quinn, Claudia Lee, Patrick Fabian, Michael Jai White, Richard Branson Réalisateur(s): Andrew Stevens Année: 2021 Titre original: Send It! Nationalité: États-Unis Genre(s): Action, Aventure

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bande annonce en vo (j'ai pas trouvé en vf)

synopsis officiel

La vie d'un sportif extrême change à jamais après avoir quitté ses simples racines texanes pour participer au championnat de kitesurf le plus prestigieux au monde. En cours de route, une fille le défie bien au-delà du kitesurf.

non officiel (mon avis)

alors c'est un conte de fée moderne du paladin qui a une love story avec une voleuse. c'est américain donc bien caricaturé plutôt osé pour des américains mais pour ado. oui une love story mais aussi un film donc d'action. les paladin ça fait pas dans la dentelle mais les voleuses oui. et on as les 2 avec une mega surprise pour la fin

Spoilerle mec de virgin oui celui a qui vous pensez

perso j'adore . j'ai rêvé de l'histoire j'ai ris des clichés et je me suis pas ennuyé car de l'action et une love story même cliché c'est tout bon pour moi

a dernier spoiler a surtout pas lire si vous voulez voir le film

Spoilerles kite surfeur concurrents sont de vrais kite surfeurs

J'aime bien l'actrice Sara Giraudeau.
J'ai découvert la BA à la TV, j'ai bien aimé.
Je le verrai je pense.
Merci

@zazoute Tu as raison trop peu connu et c'est bien dommage .

bah non ce sont ses sentiments pour elle

Spoilerqui cassent le lien d'emprise entre le freeman et la sorcière qui l'a fait tueur à gages.

Film vu en début de semaine.
Il faut savoir que je n'ai jamais réussi à lire la saga littéraire. Je me suis arrêtée après le test de Paul par la cheffe des Bene Gesserits.

J'ai bien aimé l'esthétique, les complots l'acting en général. La scène de combat

SpoilerHarkonen qui défonce les Atreides
était risible par contre. C'est mon seul point noir du film. Je verrais la suite avec plaisir.

The Shadow est un film de 1994 avec Alec Baldwin

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L'histoire passe dans les années 30 en Amérique où le Shadow est un justicier.
C'est pas vraiment une super-héros car il n'a pas de pouvoir surnaturel mais il a la capacité à hypnotiser les gens et lire dans les pensées.

C'est plutôt un film de série B mais un bon film dans sa catégorie. C'est distrayant et c'est toujours un plaisir de voir Alec Baldwin.
Issu d'un BD comme souvent, l'adaptation n'est pas mémorable mais perso j'ai bien apprécié, c'est simple et avec une touche "à l'ancienne" qui est bien sympa.

@deckardnexus-6 a dit dans Grease :

bref l'Amérique des années 70-80

@cygoris a dit dans Grease :

les sixties américaines

Va falloir arrêter. A la limite je comprenais le premier, même si c'était curieux de le formuler ainsi le commentaire pouvait évoquer l'année de réalisation du film.

L'ACTION SE PASSE EN 1958. Et tout le film crie ANNÉES 1950 par tous les pores.

@jed ouaip sur Arte j allais faire remonter le topic, je l enregistre

Hum, je pense que leur unique but est que les Français puissent identifier ça rapidement comme une romance dramatique. Ils n'ont certainement pas en tête ou se fichent du jeu de mots et des implications militaires/politiques...
Mais je suis d'accord, le titre en VO est plus pertinent qu'en français... Et même les Français auraient compris en cours de film ce qu'est une ''purple heart'' puisque c'est expliqué. Donc j'en reviens à mon argument initial.

🆙 Y a-t-il encore d'autres popcorners qui ont vu ce film et peuvent donner leur avis dessus ?
Est-ce que vous considérez qu'il faut voir ce film ? Est-ce qu'il a représenté une expérience de cinéma inédite pour vous ?

(ma critique préférée dit que non mais que c'est un film vraiment barré, de mon côté je crois que j'ai plus de limite depuis The House That Jack Built, alors tout m'intrigue)

Vu 1/3.

L'intro feat. Sparks

Spoiler

est vraiment cool dansante et joyeuse puis c'est le drame : commence le film. Visuellement canon la photo est merveilleuse mais c'est tout.

La naissance d'Annette (brr... 😬) a signé la fin du visionnage d'un film devenu épouvantablement malaisant.

Pour moi un film sympa, au-dessus du lot, qui vaut le détour... mais qui honnêtement n'a pas eu d'effet whoa sur moi. Suffit pas de conjuguer stop motion + "pas pour les enfants" pour passionner, parce que ça a déjà été fait avant et en plus éclatant ou plus subtil...
Du coup je partage l'avis de Noodle :
@noodle a dit dans Coraline :

ça vaut pas du Burton...

@leapierce j'entends bien et je suis pas fan de films d'action donc quand je dis "plat" je veux dire que le film ne provoque aucune émotion, ni tristesse ni empathie, ni colère... Pour moi. Cela traite d'un sujet lourd et pourtant ça se regarde sans grand intérêt

@elenwey c'est du fantastique avec de la romance, de l'humour et un le tout est vraiment chouette ^^

@jed a dit dans Predator (série de films) :

@peri l'histoire c'est la survie face à un extraterrestre.

Ce qui est le cas avec Prey.

Pas un truc pseudo féministe.

Et au nom de quoi ? Qui a décrété qu'un message social ne pouvait se greffer à un film Predator ?
(oui, car je parle bien de "greffe", d'un simple truc "en plus", et qui n'a donc pas vocation à se substituer au sujet principal : une partie de chasse).

Par ailleurs, je ne vois pas en quoi ça serait ici "pseudo" féministe. C'est féministe, sans ambiguïté, dans le plus pur sens du terme.

Là ça sert à rien, ça n'apporte rien.

Si, justement, ça sert le personnage principal. Ca l'étoffe, développe son rapport aux autres, justifie sa motivation.

Ca explique aussi que, contrairement à ses frères surs d'eux, elle choisisse de remette en question ce qu'on lui a appris, et ce pour s'adapter à un ennemi inédit.
Consciente de son désavantage en terme de force physique par rapport à ses frères, elle aborde la confrontation avec plus de prudence, d'observation, et opte finalement pour la tactique visant à retourner les armes du predator contre lui.

Disney l'a mis juste car c'est dans l'air du temps.

Tout comme McTiernan avait mis dans le premier film des militaires bodybuildés, aux torses huilés et épilés à la cire (chose qui ne se fait plus depuis 30 ans).
C'était aussi dans l'air du temps, une mode très "80ies", initié par Rambo.

C'est un Disbey qu'il faut avoir vu, mais qui pour moi est surtout porté par le personnage du Génie, a qui il doit son succès.

Le génie c'est l'exemple même du personnage secondaire qui va prendre la lumière devant les principaux

Je n'ai jamais vraiment trouvé de charme aux autres personnages, car il faut avouer qu'ils n'ont pas énormément de relief (la palme revenant au père de Jasmine). Jasmine et Alladin sont trop lisses, limite poupées Barbie, même le singe et le perroquet ont plus de personnalité qu'eux.

Si on enlève le génie le tout est assez conventionnel et sans saveur. Même s'il y a le dépaysement du Moyent-Orient et une belle chanson titre avec "Ce rêve bleu"

Un bon Disney donc, mais qui pour moi n'est pas au niveau de beaucoup d'autres et qui ne tient la route que grâce au génie doublé par le regretté Robin Williams

Je viens de voir le film et j ai bien aimé l'ambiance, l esthetisme, le coté un peu désuet qui comme @Shanna m'a fait penser à Amélie Poulain.
Le fait que ce soit effectivement très manichéen ne m'a pas choqué outre mesure,quel conte de fée ne l'est pas ?
Pour ce qui est de la sexualité ça prend 10 secondes dans tout le film donc pour moi pas de quoi en faire tout une fromage.
J ai trouvé ça plutot sympa, c est assez original

Vu.

Alors derrière comme devant la caméra la forme est super : la réal est impec les jeunes Haim et Hoffman crèvent l'écran les choix musicaux sont topitos...

Mais c'est vide. C'est chiant. Un ennui infini de 2h qui en fait 6. Pas du tout client de ce ciné. Je bâille et j'oublie.

Musa est un film espagnol, belge, irlandais et français, réalisé par Jaume Balagueró, sorti en 2017.

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Spoiler alert : ça ne parle pas de roudoudous

El pitcho : no es muy creible. 🤔 Alors c'est un type qui vit un évènement très traumatisant (qqun meurt dans ses bras). Un an après ça, il fait un rêve étrange, donc lui et tous les autres protagonistes du film sont instantanément convaincus qu'il est victime d'une malédiction surnaturelle. 😑

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J'étais intéressée par ce film car il s'agit d'un des rares de Jaume Balagueró, qui s'est fait connaître pour les films [●REC] (je n'ai vu que le premier, mais il m'avait bcp plu).

1ère déception : le film n'a pas été tourné en espagnol (mais en anglais). Non mais c'est cohérent hein, ça se passe à Dublin, mais j'avais envie d'entendre de l'espagnol moi. 😞
2ème déception : je m'attendais totalement à un film d'horreur du genre Insidious, alors que... aucun rapport ! C'est une espèce d'enquête dans laquelle rien ne tient debout, conduite par un héros pas attachant, autour du thème des muses donc. J'ai d'ailleurs pas bien compris à quelle légende ça faisait référence (par exemple j'ai pas vu le rapport avec les muses de la mythologie grecque). Je sais pas, c'est des muses de la poésie là... Quand elles vous susurrent un vers de Baudelaire dans l'oreille, attention vous allez mourir dans pas longtemps. 🤷

Le meilleur moment : le générique de début, qui est visuellement très beau.

une image (non spoilante) de ce génériquegénérique.jpg

Le film ne m'a pas emballée, alors bon, j'en parle surtout pour savoir si certains d'entre vous l'ont vu et si vous pouvez m'éclairer sur son intérêt (je suis prête à tout entendre, je suis sans doute passée à côté de ce qui valait le coup...).

Vous connaissez ? Qu'en avez-vous pensé ?

@leapierce, y avait pas trop de suspense à ce niveau-là je trouve effectivement ^^

Edit : du coup ça m'a donné envie de le revoir, ça faisait plusieurs fois que j'y pensais. J'avais mieux profité des paysages sur grand écran, mais sinon, j'aime toujours autant. C'est plein de douceur et de poésie, le personnage de Walter me parle toujours autant. C'est une aventure fantaisiste qui faits des allers-retours entre rêve et réalité, avec beaucoup de sensibilité et d'humour. Définitivement un film pour les rêveurs... ⭐