Je rajoute Dagon à ma liste, verra bien ce que ça donne...

@peri La bonne vieille époque où on réalisait encore que les écolos étaient vert à l'extérieur mais rouge à l'intérieur.

@dirty-cop J'ai jamais vu le film, le verrai sans doute jamais mais je tenais à signaler que j'adore voir que tu crées plus de topics film, en plus tes présentations sont cools ! 😊

Au passage, Ben E. King ❤️ voilà.

Voilà je rattrappe mon retard cinématographique petit à petit et bien, Sin City je suis mitigée. Comme beaucoup je trouve les images, les couleurs, les effets vraiment beaux

Spoiler euh sauf junior avec sa tête de Marcien jaune louche autant j'ai plus de mal avec l'histoire, les histoires même. C'est pas de mauvaises histoires Spoiler mais c'est vrai que le côté un peu décousu et l'absence de lien me laisse perplexe. La version longue propose peut être une liaison autre que le bar
Bon faut aussi que j'admette encore une fois que Bruçe Willis n'est pas mauvais même dans ce film mais Spoileril m'énerve quand même un peu toujours😋

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Dans un Nigeria en pleine guerre civile, le Lieutenant Waters et son équipe de Navy SEALs sont chargés d'exfiltrer le Dr Kendricks, une humaniste américaine œuvrant dans un village Igbo. Mais ne pouvant se résigner à abandonner les villageois à leur sort, le Docteur refuse de suivre Waters et ses hommes, ce qui complique la mission du commando, qui devra se frayer un chemin à pied dans la jungle africaine pour escorter les Igbos jusqu'à la frontière camerounaise.

Antoine Fuqua à la réal (Training Day, Shooter, Equalizer...), avec Bruce Willis et Monica Bellucci dans les rôles principaux et Hans Zimmer à la BO.

Grand film de guerre, une plongée dans l'âme noire d'un pays africain ravagé par la guerre civile et livré à lui-même, où les pires exactions sans commises en toute impunité. C'est dans ce contexte infernal qu'une équipe de soldats d'élite devra, à contre-cœur, remplir une mission impossible, où la mort les attend à chaque tournant. Ils seront les témoins silencieux d'atrocités sans nom, épuration ethnique, massacre de masses, infanticides et viols avec mutilations, rien ne leur sera épargné.
Les Larmes du Soleil, un périple d'une rare violence, récit choc d'une déchéance humaine imminente. Chef d'oeuvre.

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Les Intranquilles, c’est l’histoire de Leila, Damien et Amine qui voient leur vie troublée par la maladie de Damien qui est bipolaire. Damien est un peintre de talent qui expose dans des galeries avec succès . Leila est relookeuse de meuble et jongle en devant s’occuper de sa famille et de la

Pie par tous les membres de la famille et ça touche profondément. On sent le malaise de Damien à travers la façon dont il s’exprime en travaillant et c’est très fort. Cela donne lieu à des scènes pleines de sens. Damien Bonnard est bouleversant, surprenant et une excellente découverte. Joachim Lafosse sait toucher les spectateurs comme personne. Leila Bekhti est formidable en mère courage et lionne. J’ai beaucoup d’affection pour ce film.

de Damien qui n’arrive pas à gérer son traitement et ses crises. Damien perd le sommeilu et se met en danger. Lui et les autres d’ailleurs. La confiance entre le couple s’étiole le jour où Damien fait une crise jusqu’à l’école de leur fils. Vont-ils réussir à recoller les morceaux ou se séparer ?

J’ai trouvé le film d’une réussite totale car il va en profondeur dans les problèmes d’une famille attachante et qui semble avoir beaucoup pour elle. En dépit de tout il y a de l’amour et du talent. La force du film est d’explorer le vécu de la maladie par tous les membres de la famille et ça touche profondément. On sent le malaise de Damien à travers la façon dont il s’exprime en travaillant et c’est très fort. Cela donne lieu à des scènes pleines de sens. Damien Bonnard est bouleversant, surprenant et une excellente découverte. Joachim Lafosse sait toucher les spectateurs comme personne. Leila Bekhti est formidable en mère courage et lionne. J’ai beaucoup d’affection pour ce film.

Bande-annonce du film Les Intranquilles

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Drame historique et érotique, relatant l'ascension et la chute de l'empereur Caligula. Une reconstitution sur fond d'orgies et d'intrigues mêlant meurtres et trahisons.

Oeuvre traînant une sulfureuse réputation, dut notamment aux scènes de sexe crues montrées dans le film et à la très grande violence de certains passages. Le projet fut lancé par le producteur Bob Guccione (Créateur du magazine érotique Penthouse). Des acteurs prestigieux font partie de la distribution, Malcom McDowell (Caligula), Helen Mirren (Cæsonia Milonia) et Peter O'Toole (Tiberius).

Grand film, fresque historique d'une grande qualité, des décors somptueux, réalisation magnifiquement maîtrisée et des acteurs dirigés avec brio, notamment un McDowell possédé qui joue un Caligula glaçant et imprévisible, personnage effroyable d'un rare sadisme.
Il ne faut pas s'y tromper, malgré sa peu flatteuse renommée de superproduction du porno. Caligula est le chef-d'oeuvre de tous les excès, les scènes de sexe très cru et la violence presque insupportable s’insèrent parfaitement à l'intrigue, c'est même primordial quand on veut dépeindre la vie débauchée de la haute société de la Rome antique, ainsi que la cruauté sans bornes de son empereur.
Un chef-d'oeuvre donc, mais à ne surtout pas mettre entre toutes les mains.

Le film est bien aussi parce qu'il y a un personnage nommé Macron, marié à une vieille truie et qui s'en prend plein la gueule.

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"Lloyd Hopkins, inspecteur consciencieux et cynique du LAPD, laisse le travail prendre le pas sur sa vie privée. Il demande à être chargé d'une enquête sur le meurtre sauvage d'une jeune femme retrouvée dans un luxueux appartement d'Hollywood. Une lettre envoyée par l'assassin laisse supposer que ce meurtre n'est que le dernier d'une longue série remontant à une quinzaine d'années..."

Ecrit et réalisé par James B. Harris (producteur de Lolita, L'Ultime razzia...etc). Avec James Woods dans le rôle principal. C'est une adaptation du roman Blood on the Moon du roi du polar contemporain, James Ellroy.

Polar crépusculaire dans La Cité des Anges, Cop nous narre l'histoire sombre et dérangé d'un flic sans scrupule, individualiste et surtout obsessionnel, traquant sans répit un tueur en série qui n'est autre que le reflet pervers de sa propre personnalité. La réalisation bien que classique, rajoute une atmosphère noire et âpre à cet Hollywood malsain où la désillusion est reine et où justice ne peut être rendu qu'en se salissant les mains.

NB: When a cop cares too much. How far is too far ?
L'accroche de malade qui met direct dans le bain !

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Hélène rencontre Alexandre lors d’une soirée chez des amis et se met à l’attendre sans avoir le droit de l’appeler ou le contacter car il est marié. Elle perd ses repères avec la réalité, goût à son travail sur sa thèse, ne se préoccupe plus de son fils tant leur histoire l’obnubile et tout s’accentue lorsqu’Alexandre arrête de l’appeler pour un rendez-vous. Jusqu’à quel degré de perdition va la mener cette histoire qui ne l’engage qu’elle ? Alexandre va-t-il rappeler ?

Tout d’abord, il faut préciser combien les acteurs sont beaux. Le film a une certaine esthétique grâce à ceux. Mais l’histoire n’est pas belle en soit, il s’agit d’une dépendance qui mène Hélène à perdre pieds et contact avec la réalité. Rien n’est plus destructeur qu’une relation toxique. Laëtitia Dosch est magistrale et Sergei Polunin est hypnotique et inquiétant. L’acteur il faut le dire est aussi talentueux en danse que sujet à la controverse, ce qui est fort dommage. On est sous le charme de la musique du film qui contient entre autre Gilbert Becaud et sa version de C’est Merveilleux L’Amour.

Bande -Annonce de Passion Simple

@le-taxidermiste moi j adore 😁 tu peux lire les avis dans le sujet

J'ai toujours ce film dans un coin de ma tête, mais j'oublie toujours de le regarder. Faut vraiment que je m'y mette, j'adore ce genre de parodie de films de héros en collants.

@cœur-dorée a dit dans Autant en emporte le vent :

@peri Ah dommage. Les acteurs sont pourtant au top... mais ça peut arriver, on va dire que le film n'a pas parlé à ton âme.

Je ne l'ai peut-être pas non plus vu dans de bonnes conditions. Faudrait que je lui redonne sa chance.

@biquette Oui ça a sûrement joué pour le casting de Tom Cruise, lui et la fille de Kubrick étant scientologues.

TO CATCH A THIEF

Alfred Hitchcock - 1955 - 1h46

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Distribution
Cary Grant: Georges Robert dit « le Chat »
Grace Kelly: Frances Stevens
Charles Vanel : Bertani
Brigitte Auber : Danielle Foussard
Jean Martinelli : Foussard, le père de Danielle
John Williams : H. H. Hughson
Georgette Anys: Germaine
Jessie Royce Landis : Jessie Stevens, la mère de Frances

Le début:
Cary Grant, dit le "chat" coule une douce retraite jusqu'à ce que des cambriolages dans son style, en fassent le principal suspect. Il décide donc de mener lui même l'enquête pour piéger l'imposteur.

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mon avis:
Qui est le faux chat ?
C'est le jeu de piste auquel AH vous convie dans ce film. Comme toujours AH sait brouiller les pistes et il n'est pas évident de deviner qui usurpe son pseudonyme. Mais ce film a surtout 2 particularités, c'est un film quasiment français puisque tout se passe sur la cote d'azur et que les 3/4 des acteurs sont français et surtout qu'il y a Grace Kelly, tellement belle, et presque princesse de Monaco, qui est parfaitement à son aise dans ce cadre qu'est la "French Riviera". On sait aussi sa fin tragique sur ces routes sinueuses où ironie du sort elle roule à tombeau ouvert dans le film. Une actrice qui doit tout à AH, les 3 films où elle tourna étant l'essentiel de sa carrière et étant 3 chef d'oeuvre.

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VO ou VF ? on peut hésiter car ici la plupart des voix sont celles des comédiens français, seuls les 2 vedettes et les 2 anglais sont doublés. Or hélas ces doublages sont épouvantables, surtout pour la mère de Grace et l'agent d'assurance qui sont affublés d'un accent anglais déplorable. Donc VO sans hésiter

text alternatif

un film un cran au dessous des grands films du maître, mais un film plaisant qu'on déguste sans se lasser.

@peri Mais c'est tellement drole !!! 😂

@dirty-cop je note,merci pour le conseil 👍

@shanna je l'ai vu et je me rapelle de la mélodie du film... Pour être franche, je ne me rapelle pas en détail du film
...

Comédie musicale et chorégraphie nouvelle époque, farfelue qui sied bien à Amalric, ce côté lunaire. On baigne dans un univers gentiment patachon, un joli passe-temps loin des infos !

ça y est j'ai réussi à le voir!
Ba je suis bien content de l'avoir vu. J'ai passé un réel bon moment.
L'ayant trouvé brouillon au premier abord, après réflexion je comprends pourquoi il marque autant.
J'adore ce genre de films où la psychologie et les sentiments des personnages sont bien exploités.
Le film explore l'univers du subconscient ou de la "folie" de belle manière. Les points inexplicables restent en suspens laissant libre court à l'interprétation de chacun. Cela peut déranger, j'ai trouvé ça pertinent.

SpoilerPour mon interprétation personnelle, j'ai adoré la façon dont les "problèmes mentaux" de Donnie sont évoqués. Plus qu'une maladie, on s'aperçoit que c'est plutôt une élévation plus forte de l'esprit pouvant conduire à une vision et un ressenti parallèle de l'univers qui nous entoure. Bref, ça m'a renvoyé à beaucoup de choses que j'ai vécu et m'a conforté dans de nombreuses réflexions.
Franchement bien.

@dirty-cop a dit dans The Offense :

@biquette a dit dans The Offense :

l'image lisse de Sean Connery à l'époque

Hahaha, essaye de regarder un vieux 007 de Sean Connery avec les yeux d'aujourd'hui, lisse c'est le dernier mot auquel je pense. Magnifique époque.

ben suffisamment lisse et conforme à la vision masculine de l'époque pour que Sean Connery ait envie/besoin de casser cette image dans les films des années 73-74

hop, je ressors le classique...

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j'aime The Offense non pour la violence montrée, mais pour ce qu'elle suggère pour le flic...